Inégalités Sociales En Inde

grosse fuite de cerveau ▲ Le défi urbain Urbanisat° rap et forte depuis 50ans → grosses mégapoles (Johannesburg, Kinshasa) MS urbanisat° rap + fort étalemt urbain d'où pb d'infrastructures (eau potable, transports, électricité, routes) ▲ Le défi social Bcp de bidonvilles, bcp vivent avec 1$ par jour, sous alimentation, pauvreté → mortalité infantile élevé + faible espérance de vie (55 ans) Maladis, guerres, crise écoq → IDH faible + bcp maladies liées à qlté de l'eau. # Un continent qui évolue

secteurs d’activité dans lesquels les IDE sont autorisés ont été élargis (remise en cause de certains monopoles publics notamment) Ceci a pour effet d’accroître la concurrence entre les nations pour attirer les IDE et favorise le « moins disant social ». En fait, les arguments évoqués dans les années 70 pour justifier le contrôle des entreprises étrangères au nom de la défense de la souveraineté nationale semblent avoir été oubliés. Ceci s’explique par l’émergence d’un nouveau consensus

émergents ou de pays à fort potentiel. La valse des entrants et des sortants des listes est perpétuelle au fil des bonnes ou mauvaises performances ou des renversements politiques.   recouper2 – excepté pour les indétrônables Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud (BRICS) qui y apparaissent systématiquement – ou de repérer des critères d’élaboration réellement communs. Ces listes mêlent de grands et de petits pays (en termes de taille et de population), des pays rentiers et producteurs

majeurs de la mondialisation adoptent diverses stratégies organisant la division internationale du travail à leur profit. Ces stratégies constituent des menaces sur la vie économique et sociale du pays d’origine des délocalisations : montée du chômage, pression à la baisse des salaires, remise en cause de la protection sociale, développement de la catégorie des travailleurs pauvres. Sur le plan de la politique économique, l’insertion internationale a donné naissance à la contrainte extérieure : les marges

multiplication de ces zones ces dernières années. Etats Participent à l’organisation da mondialisation en adoptant lois/mesures ntmt fiscales, sociales qui influencent activités et localisation des entps. Financent les orga internationales, votent les décisions. B. Les lieux de la mondialisation Le centre Pouvoir écoq : places financières, sièges sociaux des FTN. Pouvoir pô : ONU à NY, Washington etc. Pouvoir culturel : UNESCO à Paris. Très forte démographie ds ces centres, réseaux urbains et

taux d’alphabétisation et le degré d’éducation. - L’IPH (indice de pauvreté humaine) qui comprend l’IDH ainsi que l’accès au service de santé, l’accès à l’eau potable et la part des enfants de moins de 5 ans souffrants de malnutrition. III Les inégalités entre les 4 grands groupes de pays A Les pays développés Ce sont des pays démocratiques à économie de marché principalement centrés au nord dont le niveau de vie est 13 fois supérieur à celui des pays les moins avancés B les pays

divers secteurs - excellent baromètre pour ce qui est du climat des affaires (permet d'ajuster une politique) • Offre des éléments de comparaisons entre les pays. Ex : - PIB par habitant $ 2006 : France 27 734 $; UE 24 326 $ ; EU 37 798 $ , Inde 3 300 $; Chine 6 605 $ Le PIB peut, d'une certaine manière, être considéré comme un indicateur de bien être; cependant, cet agrégat comporte de nombreuses limites. Les limites du PIB comme indicateur de bien être : • Il exclut automatiquement

1 sur 18 La géopolitique de l’émotion - Dominique Moisi Préface: Peu à peu le monde voit l’histoire se dessiner au niveau des pays émergents (Chine/Russie/Brésil/Inde> BRIC), face à un déclin du continent Américain et une fatigue du continent Européen. Ce sont ces pays différents de ceux qui dominaient le monde auparavant qui ont l’avenir de notre économie entre leurs mains. Cet essai est à l’origine d’une demande d’un professeur d’Harvard de l’auteur. I.Le choc des émotions L’auteur a recourt

d'assurer un développement économique qui tienne compte de l'impact environnemental et social des modes de production, de consommation et de répartition des richesses. Mais le développement durable s'accomode-t-il de la volonté de produire toujours plus de biens et de services ? On sait qu'une croissance économique productiviste engendre une formidable expansion, mais également des dégats environnementaux et sociaux. Il convient donc de s'interroger sur les conditions d'une compatibilité entre croissance

cette tendance n’a fait que s’accroître dans ces pays qui détenaient une longueur d’avance sur le reste de la planète, en matière de technologies de pointe et de recherche scientifique. Cela est lié à un niveau d’éducation plus élevé, des progrès sociaux plus rapides, une économie enrichie par les trente glorieuses d’après-guerre, mais surtout aux politiques menées par les pays industrialisés. En effet, le régime démocratique et le choix d’une économie de marché par les gouvernements semblent être