Ironie De Beaumarchais

jeu de l'Amour et du hasard de Marivaux où l'écrivain de la comédie expose au public les mariages forcés que l'on rencontrait jadis. Mais aussi Beaumarchais avec « Le mariage de Figaro » qui dénonce la situation de la femme au XVIII siecle, la critique des privilèges ou encore de la justice et de l'ordre social sous formes de procédés comiques (Ironie, Satire...) Les aspects comiques présents dans un pièce de théâtre méritent une deuxième écoute plus subtile qui doit interpeller le spectateur.

l'auteur se feint d'être l'avocat de l'esclavage des noirs. Il propose ainsi en neuf paragraphes bien séparés, neuf arguments. >Un réquisitoire en forme de plaidoyer >Pamphlet (court extrait satirique qui attaque avec violence les institutions) >Ironie >Dénonce le détournement de la religion MARIVAUX, La colonie, scène 13 Marivaux, né le 4 février 1688 à Paris où il meurt le 12 février 1763, est un écrivain (auteur dramatique) et dramaturge français. La Colonie, œuvre composée par Marivaux en 1750

romans/apologues (Le Petit Prince de Saint-Exupéry, L'Alchimiste de Coelho) ; utopies (l'abbaye de Thélème dans Gargantua, Les Voyages de Gulliver de Swift...).Pensez aussi à d'autres genres de la fiction : pièces de théâtre à teneur argumentative (Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L'Île des esclaves, La Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco : Rhinocéros) ; romans : Hugo, Les Misérables ; Zola, Germinal ; Camus, La Peste...Au moment de rédiger, pour éviter de répéter le mot « fiction » et

transgression, il tourne les paroles du maître en dérision. « Plaindre », « monsieur Iphicrate » à une portée ironique : écart entre ses paroles et sa signification derrière. Il est provocateur : « je vous plaît mais ne peux m'empêcher de rire » * Ironie, se moque de lui (surtout à la dernière ligne). A. va conquérir sa liberté III. Une scène emblématique 1. Entre comique et tragique (pathétique) Interférence des 2 registres. L’angoisse d’Iphicrate diffère de la nonchalance d’Arlequin

critique de T. en plus de donner des nouvelles de E.) B) Un langage ironique → Présence de pointes d'ironie dans le discours de Do. Visant T. « fort dévotement » → elle emploi un adv renvoyant a la religion mais l 'applique a la nourriture → ironie qui créer un décalage comique Do insiste aussi sur un détail justifiant le vin bu par T. «  Pour réparer le sang qu'avait perdu madame » → justification absurde puisque c'est E. qui aurais due boire le vin. → Do fait semblant de croire a une intention

il ne faut point se lasser de répéter que le Moyen-âge ne fut point une époque triste, comme d’aucuns s’obstinent à le prétendre ; et le peuple parisien ne cesse point de se moquer de tout. Il immortalise la Farce même aux murs des cathédrales. Son ironie n’épargne ni le Christ, ni les Saints, ni la Vierge, pourtant si fêtée. On le voit successivement apprenti, garçon, maître, chef de jurande, apothicaire, chirurgien, avocat, juge, moine, pape, mais ne cessant jamais d’être renard, toujours gambadant

situations, événements et personnages pour les mettre au service de la dénonciation ou du plaidoyer, pour apitoyer (pathétique : Fantine dans Les Misérables) ou pour mieux dénoncer (Javert dans Les Misérables), ou encore pour faire rire (comique, ironie). • L’auteur peut simplifier et grossir pour rendre sa démontration plus évidente : l’avarice d’Harpagon dans L’Avare est considérablement grossie par rapport à la réalité ; Candide n’a pas de réelle profondeur psychologique et sa naïveté permet

situations, événements et personnages pour les mettre au service de la dénonciation ou du plaidoyer, pour apitoyer (pathétique : Fantine dans Les Misérables) ou pour mieux dénoncer (Javert dans Les Misérables), ou encore pour faire rire (comique, ironie). L’auteur peut simplifier et grossir pour rendre sa démontration plus évidente : l’avarice d’Harpagon dans L’Avare est considérablement grossie par rapport à la réalité ; Candide n’a pas de réelle profondeur psychologique et sa naïveté permet à Voltaire

philosophiques, dictionnaire, conte philosophique, roman | -discours argumentatif, bcp de mode de raisonnement -ironie (implique le lecteur | -Voltaire, Traité sur la tolérance (1763), Lettres philosophiques (1734), Candide (1759) -Montesquieu, Lettres persanes (1721), De l'esprit des lois (1748) -Diderot, Encyclopédie (1751-1772), Jacques le Fataliste (1765) -Beaumarchais, Le Mariage de Figaro -Rousseau , Marivaux | XIXè | Le Romantisme | Le Romantisme rejette l'esthétique

une allitération du son « t » qui montre sa détermination. Au v.32, on décèle beaucoup d’ironie et de sarcasme car RB lui dit d’aller prier Dieu alors que c’est un monstre et que quelques vers plus haut il le comparait même à un allié de Satan. Ironie retrouvée aux vers 34-35. Au vers 40, la gradation doublée de l’anaphore de « comme » avec un rythme ternaire, amplifie la colère de RB. Il va joindre le geste à la parole, il devient violent (didascalies) et la libération du valet ne peut être