Ironie Sociale

 Introduction auteur : Edmond Rostand titre de l’œuvre, de l'extrait : Cyrano De Bergerac acte III, Scène 10 époque d'écriture : IX° siècle, 1897 mouvement esthétique : romantisme genre de l’œuvre, forme  du passage: comédie héroïque en 5 actes, en alexandrins forme : dialogue thème  : scène de séduction, de cour registre, ton : pathétique (pitié de Cyrano) Question posée : En quoi cette scène romantique a-t-elle été détournée ? Précieuse : c’est une femme qui organise des salons

Commentaire littéraire I - Une correspondance fictive A- Indices épistolaires Mise en page (date, lieu, émetteur, récepteur) Enonciation (je/vous) Temps utilisés (temps du discours : présent, passé composé) B- La fiction orientale Invention d'un calendrier Noms choisis à consonance perse " Smyrne " ; " Ibben " ; " Usbek " Comparaison du régime français à leur " sultan " ; " politique orientale " C- Le double destinataire Le 1er est Ibben (le fictif) Le 2ème est le lecteur

LXXVI — Spleen 1 J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, De vers, de billets doux, de procès, de romances, Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, 5 Cache moins de secrets que mon triste cerveau. C’est une pyramide, un immense caveau, Qui contient plus de morts que la fosse commune. — Je suis un cimetière abhorré1 de la lune, Où comme des remords se traînent de longs vers 10 Qui s’acharnent toujours sur mes morts les plus

Il évoque aussi le fait que l'Abbé attend un bénéfice simple qu'il ne mérite pas (ce fait sera définit plus tard). Dans le troisième paragraphe il nous explique l'évolution du mot « Abbé ». Voltaire utilise le terme « pauvres pères spirituels » (ironie, antiphrase), en effet, les abbés dont vœux de pauvreté ce qui par conséquence les font vivre comme des pauvres, on peut noter là répétition du terme « pauvre » qui montre l'importance de la valeur de pauvreté chez les abbé cependant venant de Voltaire

par effet réflexe, retour ironique sur les premiers termes -> énumération de la ligne 1 = antiphrase ! C’est une armée, un instrument de mort -> « meilleur des mondes » = antiphrase ! c’est la guerre et la barbarie => tout cela accentue avec ironie le regard candide du héros … De la dysharmonie au tableau d’un massacre * Si l’on regarde de plus près le 1er paragraphe, on s’aperçoit alors de notre erreur d’interprétation : - « canons » introduit ironiquement dans la liste des instruments

mort. .Grande franchise -> défaut des hommes. Plan : I/ Portrait d’une femme original. a) Une femme de caractère. b) Des allusions crus. c) Des allusions féminines. II/ Dénonciation efficace. a) Dénonciation de la condition féminine. b) Ironie de la maréchal et voltaire. Plan 2 : I/ Femme à forte personnalité. II/ Discours habile et convainquant. II/ Réquisitoire caractéristique des lumières.

_Candide_, chapitre 3 : commentaire Au XVIIIe siècle, les philosophes des Lumières écrivent dans le but de dénoncer les travers de la société. Voltaire, un personnage clé de ce mouvement, poursuit ce même but quand il publie Candide en 1759. Dans ce conte philosophique, à travers le personnage éponyme, Voltaire émet une critique virulente de la société dans laquelle il vit. Dans le texte étudié, extrait du chapitre III de cet ouvrage, Candide, chassé du palais du baron, se trouve confronté à la

« Le jardin de Candide»,chap.30, Candide, Voltaire (depuis « Candide, en retournant dans sa métairie » jusqu'à la fin) Guide pour préparer une fiche de révision Intro : Présentation de l'auteur et de l'oeuvre Situation (résumé bref des aventures de Candide)et présentation de l'extrait (LECTURE) Question possible : (la plus vague =>) Les enjeux de ce texte ? annonce du plan du commentaire : Axe I : Les enjeux traditionnels du dénouement d'un conte Axe II : Les enjeux argumentatifs

Candide, Chapitre I Introduction: Candide paraît en 1759. Cet ouvrage fait partie de la lignée des contes philosophiques que Voltaire écrit comme Micromégas ou Zadig. A travers des histoires irréelles, l’auteur nous livre une vision sur son monde et son époque. La forme de l’apologue imaginaire lui permet d’éviter une censure pointilleuse et lui permet de plaire au lecteur avant de l’instruire par ses réflexions. Candide conte l’histoire du héros éponyme (qui s’appelle Candide aussi, comme le

expressions proches mais dont le sens n’est pas identique. « vieillards », « vieille » renvoient à l’âge biologique, à la fatalité de l’âge ; connotation péjorative, renforcée par la suffixation en « ard ». « gens âgés » « anciens » renvoient au statut social ; termes moins brutaux, adoucis (valeur euphémistique), effet d’atténuation ; connotation affectueuse, bienveillante, respectueuse ; « anciens » évoque la sagesse, l’expérience. La narratrice préfère se ranger dans la deuxième catégorie ; c’est