Jacob Riis

sera possible de compter sur l’effet de surprise. Jacob Riis (1849-1914), reporter à la police de New York, a mené une campagne pour dénoncer les conditions de vie épouvantables dans les taudis de la ville, qui constituaient un « nid » de criminalité. Cette campagne consistait en des articles accompagnés de photographies, des livres et des conférences. Bien que ses personnages posent, un effet de réalisme émane de ses photographies. Cf. Riis, Repaire de bandits (v. 1888). Tirage à la gélatine

Images coup des poings qui servent à qqch. Photo indépendante de l’art. Jacob RiisVa travailler avec les journaux et va rendre compte de la pauvreté à la fin du XIXe aux US. Livre How the other half lives. Coup de poing qu’il veut associer à la photo. Va bcp travailler sur Illis Island. Montrer situation difficile des populations immigrantes. Ne va pas se gêner à mettre en scène or cela va poser pb. Le travail que fait Riis, consiste à mettre en scène les situations des familles et du travail. Effet

bourg quittées pr la banlieue en apparts. habitatº ds arrière cours. Pb. hygiène. Promoteurs construisent immeubles de rapports dt apparts loués aux familles immigrés : pas de contrôle public + recherche profit => logmts déplorables, ss installº sanit. Riis, How the other Half lives: ses révélatº encouragent mvt de réformes : législatº municip constr lgmts.  2 expos univ => Philadelphie 76 (Indpce), Chicago 93: résumé prgrès tech et ind (1) téléph et éclairage élec, 2) cités de rêves ac monumts supteuux

contrevenu avec la réglementation antidopage[12]. Années 90-2000 : EPO, transfusions sanguines et testostérone[modifier] Tour de France 1996 : Les aveux du vainqueur[modifier] Au cours de sa victoire dans le Tour de France 1996, Bjarne Riis avait hérité d'une réputation équivoque en matière de dopage. En témoigne le surnom de « Monsieur 60 % » dont il avait alors été affublé en raison de son hématocrite supposé[13]. Le 25 mai 2007, il reconnaît s'être dopé à l'EPO pendant sa carrière

dossier n’est en rien un aboutissement. Il est un premier pas pour l’ORM et l’EJL et, nous l’espérons, l’affirmation d’une exigence forte pour les temps journalistiques qui s’annoncent. Une exigence et un choix qu’Olivia Colo, Wilfrid Estève et Mat Jacob ont énoncés —très clairement et de façon quasiment militante— dans un ouvrage récent : « Interroger le monde. S’interroger sans cesse. Le photographe doit se demander ce qu’il veut faire. Pour témoigner au mieux. Être dans le questionnement plutôt

Des journalistes – que Theodore Roosevelt a baptisés muckrakers (fouille-merde) – enquêtent sur les municipalités, les entreprises et même les églises. Ray Stannard Baker dénonce la condition de travail des Noirs dans les mines. Le photographe Jacob August Riis publie un reportage sur la promiscuité dans les taudis de New York. Idea Minerva Tarbell dénonce les monopoles de la Standard Oil Company. Tous veulent susciter un mouvement d’opinion qui pousserait à des réformes. Le mouvement national de réformes

point de ne pas posséder une maison, c’est-à-dire de pouvoir se payer le voyage. Les plus pauvres sont finalement restés en Italie du Sud ou en Sicile. 2. Ils viennent aux États-Unis trouver le travail qui ne leur permet pas de vivre en Italie, mais Jacob Riis évoque aussi le « rêve américain », disant que les Italiens espèrent un « salaire princier ». Les historiens ont relativisé ce facteur. 3. Leurs maigres ressources leur ont permis d’acheter un billet à un « padrone » installé en Amérique. On voit

de vie des immigrés dans les taudis de New York au xixe siècle en leur faisant consulter les photographies publiées par Jacob Riis dans son ouvrage de photoreportage How the Other Half Lives, publié en 1890 (nous en avons tiré un extrait dans l’exercice « Vers le bac », p. 31). Elles sont consultables sur Internet avec lien suivant : http://tigger.uic.edu/~pbhales/fasi/riis%20sequence.html Leçon 2 p. 26-27 L’émigration des Européens au xixe siècle La problématique de la leçon est :

L’Afrique du Sud se perd en conjectures sur l’état de santé de Nelson Mandela, 92 ans, hospitalisé depuis mer­ credi à l’hôpital de Milpark, à Johannesburg, pour des examens «de routine» selon la famille. L’inquiétude a aus­ sitôt saisi le pays et Jacob Zuma, le chef de l’Etat, a dû appeler hier «au calme et à la retenue». De son côté, Des­ mond Tutu, prix Nobel de la paix comme Mandela, a déclaré que «tout peut arriver». Et ce, même s’il l’a trouvé «étonnant» pour son âge, lors d’une rencontre la

Aujourd’hui le site est transformé en musée, sur un mur commémoratif, The American Immigrant Wall of Honor, sont écrits plus de 500 000 noms d’immigrants et de familles passés par Ellis Island pour entrer en Amérique. Doc. 3 : Une ville cosmopolite Jacob Riis est un journaliste danois qui débarque aux États-Unis en 1870. Il connaît la misère et s’intéresse très tôt aux questions sociales et aux quartiers pauvres. Dans son œuvre majeure, How the Others Half Life, il décrit les conditions d’installation