Jacques Duvall

Marie Daubrun ». Baudelaire n'a pas voulu nous simplifier la tâche en indiquant clairement quelle muse avait inspiré chacun de ses poèmes. C'est donc la sagacité du lecteur qui est sollicitée pour découvrir ceux qui font partie du cycle de Jeanne Duval, ceux qui appartiennent au cycle de Marie Daubrun ou ceux qui célèbrent Mme Sabatier. | |Première publication | | | |TITRE

donna son nom au Spleen Baudelairien. Baudelaire malgré son génie précoce, était une âme tourmenté. Il avait goûter au paradis artificiel et avait connu la passion de l'exotisme. En effet il entretenait une relation avec son amante métisse Jeanne Duval, qui lui servit de muse pour son recueil les fleurs du mal. Il fit plusieurs tentative de suicides, . Au total. De plus, son corps était malade, atteint de la syphilis et était très endetté. En 1949, il perdit son ami Edgar Poe, 3 ans plus tard il

chevelure 1861 Le Spleen de Paris 1869 II.Les fleurs du mal. Quels sont les sources d'inspiration du recueil ? Jeanne Duval est la principale muse de Baudelaire,elle représente pour lui l'ignorance intacte, l’animalité pure, avant ces deux autres amantes Apollonie Sabatier et Marie Daubrun. Baudelaire ne se servira pas uniquement de Jeanne Duval en tant que principale source. A travers de nombreux poèmes nous pouvons observer un coté exotique qui est mit en parallèle avec son voyage

il ne cite pas le nom, peut-être la mulâtresse Jeanne Duval car, selon le poète, cette femme était « couchée [sur un] divan », or nous savons que Banville, un poète parnassien contemporain de Baudelaire avait composé une pièce poétique pour Jeanne Duval s’intitulant « le Divan ». On sait par ailleurs que Baudelaire a vu dans sa maîtresse la femme sensuelle, la « muse vénale ». Il existe pourtant une difficulté d’interprétation : Jeanne Duval était haïtienne et donc noire de peau, ce qui est en opposition

Baudelaire offre une image ambivalente de la femme, tantôt angélique, tantôt satanique : faut-il donc adorer ou fuir cet être ? On ne peut parler de la femme sans évoquer les trois cycles qui le composent : - le premier cycle est celui de JEANNE DUVAL, mulâtresse qui fut la compagne du poète, celle dont il prit soin jusqu’à sa mort. En dépit des disputes, des trahisons et des séparations, Baudelaire resta lié sa vie durant à cette petite figurante de théâtre, qui consuma sa vie dans les excès d’alcool

présente le texte et le thème du texte Ce poème, « Le Balcon » est extrait du recueil de poème « Les Fleurs du mal ». Dans ce poème, Baudelaire, poète symboliste du XIXème siècle, évoque ses soirées et ses nuits, en compagnie d'une femme (Jeanne Duval) ; celle ci tient le rôle principal et une place centrale dans son œuvre et sa vie. Ce poème composé de six quintiles en alexandrins appartenant au registre lyrique. 2 – On présente le plan en précisant les parties et l’ordre où ils vont apparaitre

lin que La Réunion et dès son retour à Paris, écrit ses premiers textes. Du luxe à la pauvreté Après 10 mois d’absence, Baudelaire exige sa part de l’héritage paternel et vit dans un luxe bohème. Il s’éprend de la comédienne antillaise, Jeanne Duval surnommée « la Vénus noire » qui lui inspira de nombreux poèmes et qu’il ne quittera jamais durablement malgré des heurts fréquents et d’autres amours, notamment, une adoration quasi mystique pour Apollonie Sabatier. Ses parents alors terrifiés par

allant du spleen, état dépressif chronique, à l'Idéal, aspiration vers un ailleurs transcendantal.    « Une charogne » présente une situation atypique : un couple en promenade, Baudelaire et une femme, représentant peut-être sa maîtresse Jeanne Duval, la Vénus noire, qui « au détour d'un sentier » rencontre un cadavre d'animal en décomposition. Poème  étrange curieux s'il en est qui semble s'inscrire dans la tradition des poèmes d'amour « classiques ».     Dans un premier temps nous analyserons

CHARLES BAUDELAIRE A son retour, Baudelaire, majeur et en possession d'une belle fortune provenant de l'héritage paternel, se loge au 10, quai de Béthune, puis à l'hôtel Pimodan (17, quai d'Anjou). Il fréquente alors Jeanne Duval, une Antillaise, il fait la connaissance de Théophile Gautier et dépense sa fortune sans compter. Sa famille n'acceptant pas ce choix de vie le pourvoit en conseil judiciaire en 1844 qui lui mesure ses ressources jusqu'à sa mort. Sa vie sera désormais empoisonnée par des

poèmes comme L'Albatros ou Parfum exotique ont certainement été inspirés par ce voyage. En 1842, Bénéficiant de l'héritage paternel, Baudelaire dépense sans compter : l'alcool, l'amour, et l'art. Il fait la connaissance de la "vénus noire" Jeanne Duval qui lui inspirera de nombreux poèmes, dont La Chevelure et Le Serpent qui danse. En 1844, sa famille s'indigne de sa vie de débauche. Baudelaire devient alors journaliste, critique d'art et critique littéraire. En 1847, Il rencontre Marie Daubrun