Jacques Le Goff

des entreprises du Commerce et de la Distribution (FCD) LEVY Patrick Union des Industries Chimiques (UIC) PASQUIER Jacques Confédération paysanne LUCAS François Président National de la Coordination Rurale Union Nationale MARECHAL Samuel JA (jeunes agriculteurs) - Membre conseil administration BEULIN Xavier FNSEA FEREY Pascal FNSEA Organisation Non Gouvernementale LE GOFF Lylian Fondation Nicolas Hulot (FNH)/ France Nature Environnement (FNE) GOSSEMENT Arnaud France Nature Environnement

Un des exemples, et pas des moindres utilisés par Yves Citton pour appuyer son discours est celui de Jacques le fataliste et son Maître, grande œuvre de Diderot, dans laquelle Jacques le valet suit son maître sur les routes leur donnant tout le loisir de discuter ensemble et échanger leurs points de vues. La vengeance de Mme de La Pommeraye contre le marquis des Arcis, racontée dans Jacques, décrit le tour joué par Mme de La Pommeraye au marquis, en lui racontant une histoire auquel il croit et

autres hommes (525b), corrective parce qu’il peut rétablir la justice dans les âmes dont la méchanceté n’est pas irrécupérable. Cette distinction semble présager la distinction chrétienne, bien que tardive (pas avant la fin du XIIe siècle, voir Jacques Le Goff, La Naissance du Purgatoire), entre l’Enfer et le Purgatoire, qui est le lieu de la purification du crime par le châtiment. En inventant la culpabilité, en fondant sur l’angoisse de mort le mythe d’un tribunal éternel, Platon ne fait pas en effet

face aux épidémies. Le lettré Raoul Glaber a laissé un témoignage écrit de la famine qui a sévi en Bourgogne vers 1033. Dès lors la famine est un problème récurrent. Les Occidentaux vivent dans la « hantise de la faim » selon l'expression de Jacques Le Goff 3. Pourtant au XIIe et au XIIIe siècles, les grandes famines sont plus rares 4 La grande famine de 1693-1694 est due à un printemps et un été trop pluvieux en 1692, suivis en 1693 d'une récolte très médiocre, causant une sous-alimentation qui

venir en aide et la rencontrer. La légende de Mélusine remonte au Moyen-âge. Jean d’Arras serait le premier à en avoir fait un roman. Il y conte l’ascendance et la décadence de la famille Lusignan du Poitou, provoquées par la fée Mélusine. Jacques le Goff désigne Mélusine comme étant « la fée de l’essor économique médiéval ». Mélusine est une fée mi-humaine, mi poisson. Sa nature doit toutefois rester cachée des humains. Elle est une sorte d’intermédiaire entre le monde mystérieux, inhumain

 Fiche de Lecture « La dette publique, une affaire rentable. A qui profite le système ? » André-Jacques Holbecq et Philippe Derudder André Jacques Holbecq, présenté comme un « économiste citoyen », très impliqué dans le mouvement altermondialiste depuis plusieurs années. Et Philippe Derudder, ancien grand chef d’entreprise qui s’interroger sur les contradictions du système. On écrit « la dette publique une affaire

regroupement de quelques historiens et de syndicats peu enclins au dialogue ». Les premiers historiens allant à l'encontre du projet sont alors rejoins par de nombreux noms représentatifs de la pensée historique francaise. Parmi eux, le médiéviste Jacques Le Goff ou encore Pierre Nora qui écrit une lettre ouverte au ministre de la culture et dans laquelle il qualifie le projet d' « inutile », ayant une « origine impure et strictement politicienne » et qu'il conclut en déclarant que : « En fait d’histoire

de RTT (réduction du temps de travail). De quoi inspirer à nos gouvernants comme aux dirigeants de nos entreprises des envolées lyriques sur la nécessité de réhabiliter cette pauvre valeur travail, mise à mal par une société de pétanqueurs - dixit Jacques Barrot, patron du groupe parlementaire UMP - qui ne rêverait que de préretraite et de doigts de pied en éventail. « Vous n'y êtes pas du tout ! »leur rétorquent les Français, éberlués. C'est qu'ils l'aiment, leur boulot. Ne le placent-ils pas juste

seigneur et ses vassaux dans le texte). Comme nous allons le voir dans une seconde partie, ce lien personnel né du serment vassalique structure donc un groupe social (le seigneur et ses hommes/vassaux), et crée en même temps, selon l’historien Jacques Le Goff, une sorte de « hiérarchie d’égaux ». Originaire du clientélisme romain, et d’une coutume des rois germaniques, le serment vassalique correspond à un échange de services que l’on pourrait qualifier de personnel. Seigneur et vassal, une fois

J.-PH. GENET, M.ROUCHE, Le moyen âge en occident, Hachette supérieur. -Jean Favier, Dictionnaire de la France médiévale, Fayard. Ouvrages généraux : -Catherine Vincent, Introduction à l’histoire de l’occident médiéval, Le livre de poche. -Jacques Le Goff, La civilisation de l’occident médiéval, Les grandes civilisations, Arthaud. Ouvrages spécialisés : -Jean Gaudemet, L’église dans l’empire romain (IV e –Ve siècles), Sirey. -Elisabeth Magnou-Nortier, Remarques sur la genèse du Pactus legis