Jacques Prévert Pour Toi Mon Amour

Les roses dorment debout,  Et sont des bouches ouvertes  Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rêve  Tient des femmes sa clarté ;  La perle blanche, sans Eve,  Sans toi, ma fière beauté, Ressemblant, tout enlaidie,  À mon amour qui te fuit,  N'est plus que la maladie  D'une bête dans la nuit." Les femmes sont sur la terre est un poème d'amour écrit par Victor Hugo en 1856 faisant parti du recueil Les contemplations. Victor Hugo est né en 1802 à Besançon et est mort en

dans la construction, est articulé autour de cette dichotomie que l’on pourrait matérialiser par un trait noir et épais entre les vers 9 et 10. Le poème peut donc être sépare en deux parties : la première composée des vers 1 à 9 (compris) qui lie amour et vie et la deuxième des vers 10 à 11 qui lie absence de sentiments et mort. La transition qui oppose ces deux parties/thématiques est assurée par un « Mais » assez marqué en début de vers 10. Tout d’abord nous constaterons que le trait (dont il

Anouilh voit le jour en 1910, à Bordeaux. Pour lui, c'est en 1923, à 13 ans, que se manifeste son amour pour le théâtre pendant ses années de lycée. Durant ses jeunes années il fait de nombreuses rencontres littéraires, il est le disciple de Jean-Louis Barrauld, il lit Claudel, Pirandello, Shaw, il assiste émerveillé à la représentation de Siegfried de Jean Giraudoux. En 1929 il rencontre Jacques Prévert en travaillant dans une agence de publicité. Son premier succès vient vers ses 22 ans avec L'Hermine

mieux comprendre le poème, l’auteur et ‘’Orion’’. Puis pour la seconde guerre mondiale, les deux poèmes que j’ai choisis représentent bien la poésie engagée sur XXème siècle. Ces deux ouvres sont mes poèmes préfères. Le premier est un poème de Jacques Prévert de 1946 sous le nom « Barbara » et le deuxième date de 1953 appelé « Le Déserteur » écrit par Boris Vian. Ce sont deux poèmes populaires qui montrent que même avec peu de moyens, il est toujours possible de se battre pour la liberté et la paix

la mer pour berceau,Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eauMais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes. Pierre de Marbeuf (1596-1645) , Recueil des vers Jacques prevert Sables mouvants Démons et merveillesVents et maréesAu loin déjà la mer s'est retiréeEt toiComme une algue doucement caressée par le ventDans les sables du lit tu remues

lève aussi un poing rageur Lily Au milieu de tous ces gugus Qui foutent le feu aux autobus Interdits aux gens de couleur Mais dans ton combat quotidien Lily Tu connaîtras un type bien Lily Et l´enfant qui naîtra un jour Aura la couleur de l´amour Contre laquelle on ne peut rien On la trouvait plutôt jolie, Lily Elle arrivait des Somalies Lily Dans un bateau plein d´émigrés Qui venaient tous de leur plein gré Vider les poubelles à Paris. Pierre Perret:Lily Pierre Perret a écrit cette

pluie par terre et sur les toits Pour un coeur qui s'ennuie, O le chant de la pluie Il pleure sans raisons Dans ce coeur qui s'écoeure Quoi! Nulle trahison?... Ce deuil est sans raison C'est bien la pire peine de ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine mon coeur a tant de peine Paul Verlaine La montagne qui accouche une montagne en mal d'enfant Jetait une clameur si haute que chacun au bruit accourant cru quelle accoucherait sans faute d'une cité plus grosse que Paris

Ce n'est pas dans la connaissance qu'est le bonheur, mais dans l'acquisition de la connaissance. Prévert, Jacques "Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple." Rabelais -"Il ne suffit pas d'être heureux ; encore faut-il que les autres soient malheureux" Rivarol, Antoine (Rivaroli) -"On a de la fortune sans bonheur, comme on a des femmes sans amour" -"Le plaisir s'accroît de sa rareté" -"Nous avons tous assez de force en nous pour supporter le malheur

Pierre de Ronsard Amour me tue. ( Recueil : Premier livre des Odes 1545) Amour me tue, et si je ne veux dire Le plaisant mal que ce m'est de mourir : Tant j'ai grand peur, qu'on veuille secourir Le mal, par qui doucement je soupire.Il est bien vrai, que ma langueur désire Qu'avec le temps je me puisse guérir : Mais je ne veux ma dame requérir Pour ma santé : tant me plaît mon martyre.Tais-toi langueur je sens venir le jour, Que ma maîtresse, après si long séjour, Voyant le soin qui ronge ma pensée

leurs amours et leur joie de voir le printemps revenir. On retrouve ce lyrisme, c'est à dire cette expression puissante des sentiments intimes du poète, à la Renaissance, comme par exemple chez Pierre de Ronsard, qui exacerbe sa souffrance liée à son amour dans ses Sonnets pour Hélène. Plus récemment, à l'époque du Romantisme, Victor Hugo nous livre son cœur dans son recueil Les Contemplations, faisant part de ses amours de jeunesse comme de ses peines les plus noires. Alfred de Musset également, expriment