James Waterston

Analyse de documents : Capitaine américa En quoi cette bande dessinée représente bien l'idéologie américaine? Le document proposé est la couverture d’un comics américain appelé Captain America. Il s’agit du numéro 2, paru en avril. Captain America est un super-héros, dont les premières aventures sont publiées en 1941, pendant la 2nde Guerre mondiale. Il s’agit de l’histoire de Steve Rogers, soldat chétif mais déterminé, qui participe à une expérience médicale secrète qui le transforme en surhomme

à cause ou grâce au contrat des chaussures des joueurs. Non seulement, une star peut recevoir de son sponsor (Nike ou Adidas) plus de 10 millions par an, mais elle touche aussi sur les ventes de ses modèles personnalisés.   Un joueur comme LeBron James a tout de même vendu pour 300 millions de dollars de sneakers en 2013 aux Etats-Unis. De quoi bien arrondir ses fins de mois !  A titre de comparaison, lorsque un joueur de NFL arrive à décrocher un contrat d'un million de dollars par an pour un modèle

polar. 1) PERSONNAGE James : C’est le héros de l’histoire il à 12ans Lauren : Sa demi-sœur elle intégrera CHERUB aussi Mac : Directeur de CHEUB Et plein d’amis que James se fera à CHERUB 2) RESUME Né de père inconnu, James vit avec Lauren sa demi-soeur et une mère obèse et alcoolique, dans la banlieue de Londres. Après une bagarre plus violente que d'habitude, James est renvoyé de l'école. Le même jour, sa maman décède. Les deux enfants sont placés dans un orphelinat où James s'attire rapidement

couverture est le Portrait de Jeanne de Bauer du célèbre peintre belge Fernand KHNOPFF (1858 – 1921). Ce peintre aura une enfance brugeoise qui marquera à jamais son œuvre du sceau de la nostalgie et du regret d’une ville idéale. Il fait la connaissance de James ENSOR à Bruxelles et connaîtra une notoriété internationale. Ses peintures rendent hommage à Georges RODENBACH, l’auteur de Bruges-la-morte. Son univers est très spiritualiste. Deux types de femmes caractérisent son œuvre ; la femme sphinx et la femme

et se poser à Hawaii où il est accueilli comme un dieu mais il décide de fuir au plus vite les îles Sandwich, gêné, pour regagner la côte anglaise mais un mat se casse, l’équipage du capitaine Cook et donc obliger de regagner les îles Sandwich où James Cook connaitra la fin de sa vie, écrasé et mangé par les indigènes. Il y a quelque chose de pas courant dans ce livre car l’histoire commence par un extrait de la fin du livre. On ressent que le capitaine Cook est curieux et est prêt à y laisser sa

français invitée à jouer des rôles imaginés par Mac Tyer dans un «jugement » plus rap que nature! Diam’s est juge, Kery James avocat de la défense, Mac Kregor le suspect, Faf La Rage procureur, Lino d’Arsenik en concierge, Tunisiano en témoin…C’est une première, doublée d’une réussite. Enfin, dans son projet «Patrimoine du Ghetto», il crée encore l’événement. Dans un duo épique avec Kery James, ces deux figures du rap hardcore délivrent, derrière une fiction, un message de paix à l’attention des quartiers

understanding of reality that is based on experience and observation. This stands on the opposite side Romanticism. Henry James was of the main figures who belongs to realistic school. His Novel Daisy Miller, stands as a corner stone in the approach of realism. Thus, to what extent, H. James was able to apply the rules of realism in this novel ? In his novel, Daisy Miller, Henry James was using a simple, understandable style. He had been introducing experinces of his characters in the plot as it really

L'île du crâne L'écrivain : ANTHONY HOROWITZ Langue originale: Anglais Traductrice : Annick le Goyat Éditeur: Hachette Collection : Verte Aventure Date de parution originale: 1988 Date de parution: 1991 Dessinateur: Benoît Dartigues Genre : Fantastique Cela se passe dans l'école de groosham Grange. A l'approche de Noël. Mots clés : école mystérieuse. Biographie : Anthony Horowitz est né à Londres en 1957. Il a commencé a écrire en 1983. Il a écrit de nombreux romans pleins d'humour

rassurer sur l'héroïsme de son mari. Des années plus tard, une femme tente également, sans succès, de se faire passer pour une descendante de Murdoch. Son personnage apparaît dans plusieurs des films sur le naufrage. Un débat a éclaté en 1997 lorsque James Cameron l'a représenté se suicidant dans son film Titanic, reprenant une rumeur non avérée. Un autre débat tourne autour du bien-fondé des ordres qu'il a donnés pour éviter l'iceberg. Il est en effet désormais avéré que le Titanic serait resté à flot

nous servir de phare, pense Bouveresse. Tous les êtres sont croyants, mais nous devrions pouvoir penser nos croyances, les questionner, se demander ce qu’elles valent et à quoi précisément elles nous servent. Il est possible d’avoir, comme William James, une forme de « sympathie bienveillante » à l’égard de la croyance. Après tout, les grandes batailles entre la science et la religion sont derrière nous. S’il y a bien quelques poches de résistance dans quelques sectes, nous pouvons parler d’un phénomène