Jan Dibbets

moyen-age est anonyme car ils considerent que ce sont des œuvres inspirées par Dieu. Notre Dame de Paris 1160/1260, accueil l’Evêque. Mouvement gothique né au nord (Allemagne surtout), associé au pouvoir politique. Les epoux Arnolfini 1434, Jan Van Eyck, H/bois Œuvre flamande typique de la renaissance : moins biblique, plus civile, le portrait se developpe. Marchand de drap avec sa femme enceinte dans leur chambre nuptiale, se tiennent la main avec pudeur. 1er autoportrait dans un reflet

autres, dans un ordre perspesctif. Comme dans LA MADONNE RUCELLAI de Duccio, les anges ont leur regard tourné vers la Vierge et l'enfant et non vers le spectateur qui regarde le tableau. L'HOMME AU TURBAN ROUGE, est une oeuvre réalisée en 1433 par Jan Van Eyck. Comme sur la plupart de ses oeuvres, une inscription authentifie le tableau mais contrairement à d'autres portraits, il n'y indique pas le nom de son modèle. C'est pourquoi certains experts pensent qu'il s'agirait d'un autoportrait. C'est

laïcisation des éléments naturels, et d'autre part que les éléments naturels s'organisent eux mêmes en un groupe autonome. Illustration 1: La madone à l'écran d'osier, Robert Campin, vers 1420-1425 Illustration 2: La Vierge au chancelier Rolin, Jan Van Eyck, vers 1433. Illustration 3: détail Le paysage est donc rentrer en peinture par la petite porte, ou plutôt par la « petite fenêtre » . Malgré tout la représentation du paysage jusqu'au 16ème siècle nécessite un prétexte souvent religieux

œuvres de, Jan Van Eyck « Les époux Arnolphini » (1434), Léonard De Vinci « La dame à l’hermine » (1488 à 1490), Le Titien (1488 à 1576) « Portrait de Clarisse Strozzi », « La Vénus d’Urbin », « La vierge au lapin », Lavinia Fontana (1552 à 1614) « Portrait d’Antonietta Gonsalves », « Autoportrait », Edouard Manet « Olympia » (1863), Mariano Vargas « Lady’s with dog » (2003). Puis nous verrons en quoi ces œuvres se ressemblent ou se différencient. [pic] « Les époux Arnolfini », Jan Van Eyck (1434)

humain par les artistes. La peinture sur chevalet apparaît. Elle désigne la production personnelle du peintre, en dehors d’une quelconque commande, qu’il peut vendre aux particuliers et qui comporte généralement des autoportraits, des natures mortes… Jan Van Eyck améliore la technique de la peinture à l’huile. [pic] [pic] La Joconde (Léonard de Vinci) L’école d’Athènes peinte par Raphaël (vers 1509 et 1512) • La renaissance est une période où de nombreuses avancées

renaisse en Europe car il regroupe plusieurs nouvelles technologies et manières de peindre. On remarque tout d’abord que la peinture est une peinture à l'huile. La peinture à l'huile est un médium redécouvert de l'antiquité par le peintre flamand Jan Van Eyck dans sa peinture Les époux Arnolfini qui permet de nuancer les couleurs. Ensuite la peinture est posée sur un nouveau support qu'est la toile, la toile est venue remplacer le bois car elle se conserve mieux même malgré l'humidité. Cette idée

Leviste * Goût pour le fantastique * Animaux hors commun (lion, licorne) * ‘’ plus nobles (lapin blanc, chien, singe) * Ornement > motif fleuris et anciens * perspective * Image très symbolique > fin moyen-âge Jan Van Eyck « Les époux Arnolfini » 1434

sensation de vertige. Le cerveau ne pouvant mesurer un espace infini, il traduit cette vision par une légère sensation de vertige ou un tournis. Elle fut utilisée dans de nombreuses œuvres connues, et ou reconnues. Par exemple, les « époux Arnolfini » de Jan Van Eyck, peinture sur bois datant de 1464. Ce peintre flamand avait pour obsession le réalisme et la perspective. Il utilisa la perspective conique, qui a pour particularité de relier l’œil de l’observateur au contour d’un objet en forme de cône. Perspective

lumière et d’ombres en jouant sur les clair-obscur etc. sans oublier bien entendu la perspective ! Et pour arriver à tout ca, de nouvelles techniques vont apparaitre également, telles que le fameux sfumato de Léonard de Vinci, la peinture à l’huile avec Jan Van Eyck ou encore l’utilisation de toiles au lieu de bois, ainsi que la peinture sur chevalet. Entre 1470 et 1475, la peinture gagne en originalité par une nouvelle application du sens de l’espace, par sa façon de traiter les têtes des personnages

Un tableau de maître ne sert à rien, il ne sert pas à dissimuler un défaut sur un mur, il ne sert pas à faire beau, il ne sert à rien... à part peu être à montrer à ses invités à quel point l'on est puissant et riche («Les Époux Arnolfini», de Jan Van Eyck, 1434), ou à se questionner sur les motivations de l'artiste, sa perception du monde («Impression Soleil Levant», Monet, 1872). Paul Valery explique dans «Notions générales sur l'Art» (1935) que l'Art «ne joue aucun rôle dans le fonctionnement