J'arrive

que j'ai sélectionnées, selon le plan choisi. Je ne rédige pas, je n'écris que quelques mots qui me serviront de repères. J'apprends de façon globale ces informations. Si possible, je choisis aussi quelques images. Je m'entraîne : je vérifie que j'arrive à mener l'exposé avec les notes que j'ai écrites, que je connais bien mon sujet (presque par cœur) et que je respecte le temps donné par le professeur. Le jour de l'exposé, je m'aide de la feuille pour ne rien oublier mais je ne lis pas mes notes

des bobines, de s’occuper des serveurs dans l’usine… [pic] Une bobine d’acier C) Organigramme des services [pic] Organigramme principal [pic] Organigramme Qualité produit 3°) Résumé du stage a) Lundi 11 J’arrive à 8 heures à l’usine le premier jour de mon stage. J’ai ensuite rendez-vous à l’administration pour me faire signer des documents et pour une réunion de quelques minutes à propos du stage. Ensuite, mon maître de stage, Daniel Atze, me présente son

dans ma tête, c'est une explosion et toi tu ne fais rien pour que ça s'arrange. Tu me fais perdre la tête à la démesure. Je n'avais jamais ressenti ça avant et je perds mes moyens. C'est fou comme une personne peut devenir dépendante d'une autre, j'arrive plus à me passer de toi. Tu hantes chaque seconde mes pensées. Tu m'expliques comment tu peux avoir une telle emprise sur moi ? J'aimerais tellement te dire dans les yeux tout ce que je ressens mais je n'aurais pas cette force-là. Je n'ai plus assez

Le pire dans tout cela c'est que je sais que tu ne vas pas revenir , t'es passé à autre chose , pourtant je suis toujours là à attendre , & à espérer de toute manière c'est tout ce qu'il me reste . Tu sais avec ta gueule d'ange & tes sourires là j'arrive jamais à dire non , à me dire que je dois moi aussi passer à autre chose , et puis y'a ce vide en moi , celui que tu as laissé en partant mais à ce qui parait « Les blessures d'amour ne peuvent être guéries que par celui qui les a faites . » faut

C’est un homme bien. Mais il est d'un égoïsme insupportable. Il revient de son travail et s'allonge dans le canapé devant la télé. Je rentre aussi de mon travail, mais j'arrive à la maison deux heures plus tard, et, chargée comme une mule avec les courses de l'hypermarché. Je vais à la salle, lui crie dessus, l'insulte, gesticule mes bras en l'air, casse un ongle. Lui, ne bronche même pas. Alors, je m'assois sur une chaise dans la cuisine et me mets à pleurer. Après un certain temps il apparaît,

Elle est svelte, oh! comme une rivière. Léopard et renard, oh! traînent son char Orné de laurier, oh! et d'herbe autour. Habillée d'orchidée, oh! elle part Cueillir des parfums, oh! pour son amour. "D'un noir bosquet, oh! j'habite au fond; J'arrive en retard, oh! sur l'ardu passage. Je me dresse, oh! au sommet du mont; Je vois flotter, oh! sous moi les nuages. Il fait nuit noire, oh! en plein jour; Car au vent d'est, oh! la pluie est tombée. J'attends mon ami, oh! sans songer au retour

village, ça pourra leur passer les nerfs ! Il ne faut pas s'arrêter à des détails futiles. Reivax : En espérant qu'ils n'aient pas déserté depuis le temps... Zangdar : Rhaaaaâ ! J'en ai marre de ton pessimisme ! Allez, on y va ! Reivax : J'arrive, j'arrive... Zangdar : Encore une nuit dehors... C'est à devenir fou ! Reivax : Heu. Nous avons eu de la chance de trouver cette caverne. Zangdar : J'espère que c'est notre dernier bivouac ! J'ai horreur de ça ! Reivax : Oui moi aussi ! J'aimerais

détacher le change et constate qu'il n'y a ni selle, ni urine. Je prends donc l'initiative d'enlever tout de suite le change et demande donc à Mr D d'attraper la barre de lit du coté ou je ne suis pas et de se basculer. Il y parvient sans problème et j'arrive a enlevé la protection que je mets aussitôt à la poubelle. Une fois cela fait je demande à Mr D de se remettre sur le dos et installe une serviette pour préserver sa pudeur. Je prépare ensuite mon gant avec du gel douche et commence par le devant

pierre; mes enfants ne viennent plus écouter mon souffle. Un jour, je réchaufferai une dernière fois mes os, avant que mon fils ne verse les cendres au bord d'un chemin et les regarde danser un instant dans le vent. Infidèle. De mon fauteuil, j'arrive encore à entrebâiller ma fenêtre et je suis ainsi placé que je puis sentir par bouffées, l'odeur fade du formol qui s'échappe de la morgue. De temps à autre ,je lève les yeux vers le premier étage. Il y a là des chambres doubles pour des vieillards

distances avec ma vie, de me prouver que les amis c’est bien mais c’est pas éternel. Je vous aime vous comprenez ? Mais je vous aime tellement que je vous donne tout et je ne veux plus, je ne peux littéralement plus. Je vous donne trop, et je suis déçue. J’arrive plus à être heureuse ici. Non, vous inquiétez pas ce n’est pas de votre faute et c’est même loin de l’être. Mais avoir toujours les mêmes problèmes, parler toujours aux mêmes personnes, c’est ennuyant. Et en vous quittant je fais surement la pire