Jason

paralangages tels que la gestuelle qui peut avoir différente connotation, dans un passage « Stacey » a remarqué que « Jason » l’admirait donc il se gratte la tête ce qui peut sous-entend qu’il est embrassé, à travers l’expression du visage, comme les sourires pour éprouver de la satisfaction, les regards la manière de regarder peux suscité la fascination ou bien l’admiration ici de « Jason » par rapport aux femmes. Les apparences et les postures du personnage sont interprétées différemment selon les attitudes

Lecture analytique n° 3 de Médée d’Anouilh (Corrigé du commentaire donné en DM n°4) De « N’approche pas, Jason ! Interdis-leur de faire un pas ! » à « Le rideau est tombé pendant qu’ils parlaient » (fin de la pièce) Introduction : Auteur : Jean Anouilh. XXe siècle Sous l'Occupation, Jean Anouilh continue d'écrire. Il ne prend pas publiquement position, mais publie des textes non politiques dans un journal collaborationniste ce qui lui sera ensuite reproché. Dans le même temps, il a

mystérieux, un commis aux ascenseurs, qui se nommait Jason et une jeune princesse qui se nommait Kalia. Elle était d'une beauté splendide et aux cheveux blond boucler. Le manoir était hanté par la sorcière Georgia, il faisait très froid et sombre. Il y avait une très grosse tempête dehors. Kalia devait se rendre au 13e étages. Tout à coup, l'ascenseur c'est mis à trembler et c'est arrêté. Kalia c'est mis à crier et Jason l'a entendu. Jason a pris les escaliers pour rejoindre Kalia mais, elle

Médée est désertée par Jason, son mari, pour une autre femme, la fille du roi de Corinthe, Créon, elle ne baisse pas la tête et ne se résigne pas à accepter son sort, comme une autre femme de son époque l’aurait fait. Au contraire, elle s’emporte violemment, et le désir de vengeance l’habite complètement. Effectivement, elle n’accepte pas son statut d’infériorité ou de femme vaincue et veut prouver sa puissance et sa forte personnalité : « […] pas un de ces gens-là [Jason, Créon et sa fille, future

à bout de souffle. Tu es Lucy c'est ça ? Je suis Jason, le cousin de Cassy. Je suppose que je suis en retard, mais je n'ai pas pu faire plus rapidement. Est-ce que ça dérange si James, ajouta-t-il en me désignant le garçon qui venait de le rejoindre, mange avec nous ? J'ouvris de grands yeux, hébétée. Il venait de débiter ses questions à une vitesse tellement rapide, que je n'avais pas eu le temps de répondre à une seule. Ok, alors, Jason ? On se calme, dis-je en souriant, Oui, je suis bien

consulte montre la nessécité du temps de reflexion dans sa prise de decisionl3 mon perfide : substantif pour designer Jason adjectif péjoratif qui renvoie a la haine de Médée pour Jason suite à sa trahison.Déterminant possessif mon évoque un attachement passéune femme substantif pour designer Creuse il permet le maintient d’une certaine distance et d’abolir le potentiel lien en elle et Jason elle ne dit pas « sa » femme alors qu’il allaient se marier l4 fureur de mon âme le pluriel et la connotation du

confrontation entre Jason et Médée. Pour commencer, attardons-nous sur les différents personnages de la pièce, présentés suivant l'ordre dans lequel ils apparaissent sur la scène. La nourrice : Dans la mise en scène de Jacques Lassalle, la nourrice semble triste et plaintive. Nous sommes dans la scène d'exposition où elle explique l'intrigue de la pièce ainsi que le passé de sa maison. Elle est pleine d'humilité et d'humanité ; elle est prise par les sentiments, en colère contre Jason et apeurée

d’Œdipe de Sénèque : affrontement d’Oedipe et de Créon, v. 660 – 708. 2. ANTIGONE : affrontement d’Antigone et de Créon, v. 446 – 581. 3. MÉDÉE : a. extrait de Médée d’Euripide : affrontement de Médée et de Jason, scène finale. b. extraits de Médée de Sénèque : affrontement de Médée et de Jason, v. 431 – 578 Médée tue ses enfants, scène finale. 4. LES ATRIDES : extrait de Thyeste de Sénèque : affrontement de Thyeste et d’Atrée, v. 969 – 1112. 5. ÉLECTRE : a) extrait des Choéphores d’Eschyle :

irréparable quia fait perdre au héros son identité sociale. Chez Médée: - l'exclusion sociale (a) - l'exclusion affective(b) - dichotomie du personnage (c.) a. au début, Médée n'a plus de foyer paternel ni conjugal. Elle est répudiée par Jason, qui lui enlevé une maison et une famille. (sans ca la vie romaine n'est plus rien)> Cette perte, elle l'a vécue 3 fois de suite dans son histoire (a Colchos, a Iolchos, a Corinthe). Elle a perdu les 3 lieux de son assertion sociale possible (humaine):

celle-ci et la Nourrice. Tout d'abord, la première partie, Médée s'exprime dans une tirade inquiétante et menaçante contre ses persécuteurs. Elle parle de Jason, sa fiancée et surtout Créon : « La faute repose tout entière sur Créon [...] », en effet Médée l'accuse de tout ses maux. Dans cette tirade, l'héroïne parle aussi de ses crimes commis pour Jason « l'enlèvement de la glorieuse parure de notre royaume, le dépeçage du petit compagnon d'une vierge impie, l'étalage de sa dépouille aux yeux de son père