Je Contemple Souvent Le Ciel De Ma Mémoire

«deja vu» que provoque la lecture de Lulle a celui qui a quelques notions sur la production theologico-mystique de l'eremitisme et du cenobitisme orientaux, et 2 3 2 Cfr. Vita coetanea, et prologue au Livre de 1'ami et de 1'aime. Lulle porte souvent temoignage de ce fait. Rappelons qu'il ecrit indifferemment cn catalan, en latin ou en arabe. Cfr. Liber de quinque sapientibus, et le Liber de Spiritu Sancto (Mains, meme edition, meme volume). 3 R. LULLE ET G. PALAMAS 55 nous pourrons, a

craint que de la soeur les flammes téméraires Ne raniment un jour la cendre de ses frères. Mais tu sais bien aussi de quel oeil dédaigneux Je regardais ce soin d'un vainqueur soupçonneux ; Tu sais que de tout temps à l'amour opposée, Je rendais souvent grâce à l'injuste Thésée, Dont l'heureuse rigueur secondait mes mépris. Mes yeux alors, mes yeux n'avaient pas vu son fils. Non que par les yeux seuls lâchement enchantée, J'aime en lui sa beauté, sa grâce tant vantée, Présents dont la nature

plaindre sont divers : J�ay, quant à moy, choisi celuy des vers Pour desaigrir l�ennuy qui me tormente. Et c�est pourquoy d�une doulce satyre Entremeslant les espines aux fleurs, Pour ne fascher le monde de mes pleurs, J�appreste icy le plus souvent à rire. Or si mes vers meritent qu�on les loüe, Ou qu�on les blasme, à vous seul entre tous Je m�en rapporte icy, car c�est à vous, A vous Seigneur, à qui seul je les voüe : Comme celuy qui avec la sagesse Avez conjoint le droit et l�æquité

personne. Le genre est à son apogée au XIXème siècle, en particulier, lorsqu'il se voit touché par le romantisme puis par le surréalisme et autres grands courants littéraires et artistiques, objets de bouleversement et parfois de querelles. Bien souvent associée au lyrisme, la poésie semble n'avoir d'autre but que celui de déclamer les sentiments propres à un seul, emprunts de mélancolie romantique, d'ivresse douloureuse. Mais est-elle seulement, selon Lamartine, "le chante intérieur de l'âme" ?

matin XV.  Paroles dans l’ombre XVI. XVII.  Sous les arbres XVIII. XIX.  N’envions rien XX.  Il fait froid XXI. XXII. XXIII.  Après l’hiver XXIV. XXV. XXVI.  Crépuscule XXVII.  La nichée sous le portail XXVIII.  Un soir que je regardais le ciel LIVRE TROISIÈME  LES LUTTES ET LES RÊVES I.  Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia II.  Melancholia III.  Saturne IV.  Écrit au bas d’un crucifix V.  Quia pulvis es VI.  La source VII.  La statue VIII. IX. X.  Amour XI.   ? XII

.................................... 123 XXVI. Crépuscule ................................................................... 126 XXVII. La nichée sous le portail............................................. 128 XXVIII. Un soir que je regardais le ciel ................................. 130 LIVRE TROISIÈME LES LUTTES ET LES RÊVES................ 133 I. Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia................ 134 –3– II. Melancholia..................................................

3.4 Tiburce et d’Albert – la comparaison. 25 Conclusion 27 Je tiens à remercier dr hab. Barbara Sosień pour son soutien, ses précieux conseils et son aide pendant la rédaction de mon mémoire de licence Introduction Cette étude est consacrée au conte de Théophile Gautier intitulé La Toison d’Or. L’œuvre est particulièrement importante parce qu’elle concerne les idées de Gautier sur l’art et la valeur de la beauté. Dans le

émotions à l’égard d’une peinture. Les images produites par la poésie peuvent être vues différemment selon chaque lecteur comme la peinture peut être interprétée selon le point de vue de chaque spectateur. L’émotion générée par la peinture apparaît souvent plus directement que par la poésie qui demande d’arrêter sa pensé sur les mots et les phrases pour en examiner le sens. Ces deux formes artistiques à priori éloignées peuvent toucher de manière semblable, on peut parler alors de connotation euphorique

Janine font écho - dans Le vent à Djémila (in Noces) peut préciser l’origine de ce mal premier « C’est dans la mesure où je me sépare du monde que j’ai peur de la mort, dans la mesure où je m’attache au sort des hommes qui vivent au lieu de contempler le ciel qui dure. » De fait, le prêtre de la nouvelle Le Renégat ou un esprit confus illustre parfaitement ce conflit entre l’homme et la nature. Dans son délire il révèle une part de son passé et son attitude « confuse » exprime une certaine incohérence

votre affection, hors de la portée de ses dangereux désirs. La vierge la plus chiche est assez prodigue si elle démasque sa beauté pour la lune. La vertu même n'échappe pas aux coups de la calomnie ; le ver ronge les nouveau-nés du printemps, trop souvent même avant que leurs boutons soient éclos ; et c'est au matin de la jeunesse, à l'heure des limpides rosées, que les souffles contagieux sont le plus menaçants. Soyez donc prudente : la meilleure sauvegarde, c'est la crainte ; la jeunesse trouve la