Je l'aimais

parlement il rencontre Étienne de La Boétie, un écrivain et poète français qui sera son ami jusqu'à la mort de celui-ci en 1763. Leur amitié fut soupçonnée à tort d’homosexualité. Montaigne avait écrit les Essais : « Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut s’exprimer’’. Montaigne est proche d'Henri III ainsi qu’Henri IV. (Il est d’ailleurs nommé Gentilhomme de la Chambre du Roi (Noble préposé aux offices intérieurs service et dépenses). Comme sont père, il fut élu maire

voilaient leurs inscriptions de leurs ombres, et rendaient leur lecture difficile. Le vent s’était levé et couvrait les chambres de morts des feuilles qu’elle transportait. J’avançai, maussade, jusqu’à cette tombe que je haïssais tout autant que je l’aimais, cette tombe qui enfermait, en son sein, une personne que je chérissais, une personne à qui j’avais promis de vivre aussi longtemps que je le pouvais, nonobstant son départ. Mais à mon plus grand regret, je n’étais point assez fort pour respecter

l'auteur : L'auteur est Anna Gavalda. C'est une écrivaine française et romancière, qui vit encore de nos jours. Elle est née en 1970 à Boulogne-Billancourt. Elle écrit surtout des nouvelles et des romans. Elle a écrit plusieurs best-sellers dont Je l'aimais, Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part et Ensemble c'est tout. 3.Critiques Je trouve que le passage au Mc Donald est un peu trop long, à tel point qu'au moins la moitié du texte est une description de la femme, et du fast-food. L'auteur

blanches et les rues noires de Paris. Tout le contraire de l'Algérie. - il est complètement indifférent à la vie, ce n'est jamais lui qui va parler, il va se contenter de répondre aux questions de Marie. - une quantité de négations "sans doute je ne l'aimais pas" etc.. La négation de ce qui fait normalement une vie sociale, la société. Ce negations nie les bases de la société. Il se nie presque lui même, il n'a pas de grands dessins de la vie, comme si il n'avait aucune activité cerebrales. - un univers

gauche qu’il préférerait courir loin trèèès loin de moi. Omagad le cauchemar … Rien que l’idée me donne envie de me tirer une balle. Et le pire ce serait qu’il soit hétéro … Est-ce que me faire poser un vagin serait possible ? Euh … Oui, mais je l’aimais bien moi mon zigouigoui … Roh. La vie était vraiment compliquée des fois ! Et pourquoi est-ce que je me posais ce genre de question seulement maintenant ? A croire que mon cerveau était bien trop lent pour capter qu’il fallait se demander tout cela

Mon frère était blond, il avait les yeux marron et dans son regard si froid il y avait une sorte de crainte de dévoiler quelque chose. J’ai toujours été très distante avec mon frère, rien qu’en le regardant j’en avais presque des frissons mais je l’aimais quand même, après tout nous sommes frère et sœur. Dix ans plus tard je commençais mes études en zoologie. J’ai toujours voulu en savoir plus sur les animaux, leurs comportements, leurs façons d’êtres… J’étais surtout très intéressé par les loups

principal soit un homme, pour une fille, il est plus difficile de rentrer dans le peau du personnage, lorsqu'il décrit Marie, qu'il la désir, je me suis sentie hors de l'histoire. Passages « Un moment après, elle [Marie] m'a demandé si je l'aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu'il me semblait que non. Elle a eu l'air triste. » (I, ch. 4, p.59) Ce passage m'a fait « rire », il a montré la simplicité du personnage à exprimer ses sentiments sans « prendre des gants »

quad le docteur lui a demander de l’épouser et il lui a dit d’apprendre la médecine il travaillé dur pour ça et il avait une raison pour réussir ça a été son amour pour « Cécile » Un jour il a eu un choc par ce que Cécile lui est dire quelle ne l’aimais pas il été malade et il voulait voir sa mère mais son marie l’empêcha de partir mais finalement elle est partis mais c’été trop tard il est mor sou les yeux de son amour il est décédé dramatiquement après avoir vécu une vie misérable depuis son

combien continueront à m'aimer en secret? combien viendrons visiter ma famille? quand elle sera ébranlée,emportée et fragile combien porteront conseils à ma petite sœur? avec sincérité,vertu et douceur combien lui rappelleront à quel point je l'aimais? combien écriront à quel point je peinais,saignais tant ce monde me blesse? je suis comme un étranger j'attends que le vie me laisse je vais sûrement quitter ce monde comme j'y suis venu,seul,je vais certainement mourir comme j'ai vécu,seul, mes

consoler en lui déclarant un peu maladroitement:«Demain à 10heures précise ,je t' attendrai toi et ton mari chez moi . Ramenez mes 500 francs et je vous rendrai votre parure . Pendant toutes ces années , la parure est restée dans son écrin car je ne l'aimais pas vraiment. Je la trouvais trop tape à l’œil . »Mathilde répondit entre deux sanglots . « Même si je récupère cette parure, cela ne me redonnera jamais les dix ans de ma vie .Regarde ce que je suis devenue : je suis vieille , je suis minable, je