Je l'aimais

Marcel Proust (1871 - 1922) Du côté de chez Swann (I) À la recherche du temps perdu (Extrait) Par Robert Ferrieux Pendant que ma tante devisait ainsi avec Françoise, j'accompagnais mes parents à la messe. Que je l'aimais, que je la revois bien, notre Église ! Son vieux porche par lequel nous entrions, noir, grêlé comme une écumoire, était dévié et profondément creusé aux angles (de même que le bénitier où il nous conduisait) comme si le doux effleurement des mantes des paysannes entrant

• Détachement par rapport à la peine qu’il encourt Il se montre indifférent envers tout même lui-même, ne manifeste aucuns goût, ni préférence, ni aversion.(= Sentiment d'éloignement et de répugnance.) «  Elle ma demandé si je l’aimais. Je lui est répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu’il me semblait que non… »

et que j’ai bien eu l’impression qu’il serait rester un peu plus longtemps pour « bavarder » si Sébastien l’attendait pas derrière la porte pour aller en kiné :p  Mise à part ça, Jean est partit et ça se ressent, il était marrant mine de rien je l’aimais bien ! Adrien est toujours aussi lourd, tout le temps à faire des sous entendus ou à chercher la moindre petite brèche pour direct attaquer ! Hier il a voulu me prendre dans ses bras comme il fait à Marie, elle elle le supporte, pas moi !! Pourtant

l'amitié ordinaire (l.1/2) C. Une amitié amoureuse -Rencontre similaire à un coup de foudre [1.A] → "à notre première rencontre […] nous nous trouvâmes si pris, si connus, si liés entre nous.." (l.11) -Vocabulaire amoureux → "Union" (l.8) "je l'aimais" (l.5) "mélange" (l.4) "liés" (l.11) -Montaigne rapproche ainsi l'amour et l'amitié aidant un peut à la définir. ——————————————————————————————— Montaigne essaye au cours de sa réflexion de définir l'amitié grâce à son expérience. Il s'aide

persuader.. De le convaincre du fait que j’aime sa fille, et que, par le plus grand des hasards, elle m’aime aussi… En effet, oui, je crois notre amour réciproque… Toute timide, toute rougissante, elle m’a regardé dans les yeux quand j’ai dit que je l’aimais et que je donnerais tout mon amour… Oh, son père, quel obstacle, devant notre amour, moi qui la vois tout les jours, au même endroit, qui me regarde et qui ne me dit mot, par peur sans doute... Pourquoi s’y opposer ? J’irai demain le voir, j’irai

laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié dont je parle, elles se mêlent et se confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel, qu'elles effacent, et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : Parce que c'était lui, parce que c'était moi9 ».

elle avait tout pris , comment .. Il l'aimait , c'était ca le problème . Et puis merde , temps-pi , elle lui avait brisé le cœur , il recommença la vie qu'il avait laissé derrière lui . C'est alors qu'elle revient , comme ca ,elle lui dit qu'elle l'aimais qu'elle le re voulais , qu'elle c'était trompé , que c'était l'homme de sa vie , qu'elle était malheureuse sans lui . Mais il y a avais l'autre maintenant . Un vrai plan cul , mais une fille qui ne l'avais pas laissé. Mais elle t'enta le diable

ce/cet/cette  montre ce qui a disparu.Dubois veut rendre Araminte coupable pour qu’elle s’investisse dans le récit : « Vous avez tout expédié ». I-2) Pour montrer à Araminte que Dorante est un homme bon, Dubois en fait un portrait élogieux : « je l’aimais », « le meilleur maître ! » (Milieu 2ème r de Du) De plus, pour montrer les effets de cette rencontre, il montre son caractère mauvais dû à la transformation : tristesse, obsession, mauvaise humeur… Il invente alors une rupture avec Dorante, dû

février . Curieuse, j'acceptai et je le quittai . Je sortis et gagna le boulevard de l'hôpital . Il faisait à peine jour, il devait être dans les sept heures, mais il y avait beaucoup de mouvement . Du peu que je connaissais de cette ville, je l'aimais déjà beaucoup, tout le monde m'avait l'air si occupé. J'aimais le soir, me promener dans le petite rue Mouffetard et aller jusqu'au cinéma. Arrivée devant le grand hôpital de la Salpétrière, je me présentai a l'accueil. J'essayais d'expliquer

Adolphe commence à se lasser d’Ellénore qu’il trouve trop présente et se dispute avec de plus en plus fréquemment. Mais lorsque son père menace de la chasser, il ne peut plus supporter la pensée d’être séparé d’elle et fuis en sa compagnie : « Je l’aimais plus que je ne l’avais jamais aimée ; tout mon cœur était revenu à elle ; j’étais fier de la protéger. »On peut dire qu’Adolphe n’est pas réellement amoureux d'Ellénore : « Je suis convaincu que, si j’avais eu de l’amour pour Ellénore, j’aurais ramené