Je l'aimais

que faire ? Après avoir réfléchi, je m’étais dis que j’allais m’en prendre à cette autre personne car une fois mise sur le côté, rien n’empêchait que ce soit moi qu’il aimera alors. Puis je me suis dit que si je le faisais, alors c’est que je ne l’aimais pas : si je m’en prenais à celle qu’il aime, c’est lui qui serait blessé en quelque sorte. Donc si je le faisais, je le blesserai. Donc l’amour comprend un souci de l’autre, pas seulement de notre bonheur. En fait, il privilégie même le bonheur de

bien puis il ma dit que ya un message que sa ta blessé je veux savoir c'est laquelle si tu  veux bien...     7) Après je l'ai dit ça "Ta soeur ma dit que je la mérite pas car je suis un bon gars et tt quand  elle ma dit ça j'étais choquer mais je l'aimais donc je m'enfoutais si elle était pas une bonne  fille pour moi si je mérite mieux pque j'avais des sentiments pour elle c'était pas ça qui va  enlever mes sentiments ne plus avoir pour elle j'ai passé pour se truc mais regarde  comment la elle ft Oo" 

coups de poing, des coups de pied dans les testicules, elle m’a même frappé avec le pistolet d’arrosage. Elle m’a aussi envoyé des chaises à la figure, j’ai encore des cicatrices aujourd’hui. Elle a profité de ma fragilité : je me taisais car je l’aimais. Son but, c’était de me faire craquer. Je ne l’ai pas frappée mais c’était pas loin car elle voulait vraiment me pousser à bout. » Après la naissance de leur deuxième enfant, la situation a encore empiré. « Elle me jette des cailloux »

Chloé et moi habitions dans le même appartement depuis plus d’un an. Je l’avais rencontrée deux ans auparavant. Elle avait étudié en science en même temps que moi à l’université de montréal. Je l’aimais tellement Chloé, elle qui m’avait tant donné. C’était mon rayon de soleil qui illuminait mes journées. Elle était d’une joie de vivre, toujours souriante même dans les moments les plus sombres. Notre amour était profond et nous avions plein de projets pour l’avenir. Malheureusement, notre futur

très étrange, il n’est pas clair dans ses paroles. Selon elle, c’est cela qui fait son charme. Elle est vraiment très patiente face au comportement de Meursault et l’admire malgré son drôle de caractère : « Un moment après, elle m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu’il me semblait que non. Elle a eu l’air triste. » Ce personnage est vraiment étrange, comme s’il n’éprouvait aucun sentiment et que tout lui était étranger.

souvenir de sa visite, qui m'a semblé plutôt inopportune, parce que j’étais un peu gênée vis-à-vis des autres enfants d'avoir encore une mère». Les séquelles sont toujours présent et malheureusement, elle n’arrivera pas a aimé sa mère comme elle l'aimais au par avant, sa mère mourra avant qu'elle ne le fasse. Finalement son père n'est jamais revenu, «Mon père n'est jamais revenu. Je ne sais pas exactement quand j'ai compris qu'il ne reviendrait pas.» J'ai choisie ce livre car de vraie

rallumer la télé maintenant.Je déposais maman à l’asile le lendemain, ce n’est pas que je ne l’aimais pas mais elle était trop imposante pour moi, elle mangeait trop, parlait trop et fumait trop !A ce moment là, je décidais d’aller vivre loin de ce pays pluvieux !En Amazonie !Arrivée

deux. Avec Mlle de Vulson aurait passé sa vie. Il l’aime en grande compagnie ; les plaisenteries, les agaceries, mêmes les jalousies l’attirent d’elle : il est tourmenté avec elle, mais il adore ce tourment. À nouveau le masochisme apparaît: « Je l’aimais en frère, mais j’en étais jaloux en amant » L-I p.41 Elle va se marier et lui, jure ne plus la revoir « cette perfide ». Vingt ans plus tard, il la revoit mais il prefère changer de chemin pour tout oublier. Un nouvel exemple de jalousie chez

rencontre et revue amoureuse,L'accompagnant, non de sévérité,Non de rigueur, mais de grâce amiable,Qui doucement me rende ta beauté,Jadis cruelle, à présent favorable. Louise Labé, (extrait des « Oeuvres ») - 1555.  Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis Et tant la vis, que malgré moi, je l'aime Le sens, et l'âme y furent tant ravis, Que par l'Œil fault, que le cœur la désaime.Est-il possible en ce degré suprême Que fermeté son oultrepas révoque ?Tant

plus bas, j'ai cru qu'on coupait la chair lentement avec un couteau très tranchant » registre lyrique : car il y à des émotions liée à l'amour, la mélancolie,la nostalgie, elle nous fait part des sentiments qu'elle ressent. Page 55 : «  Et je l'aimais comme s'il avait été moi-même. J'aurai voulu le choyer beaucoup, il m'était très précieux et j'avais peur de le perdre » Thème de la trahison amoureuse page 41 : «  je sentais confusément que vous pensiez à une autre personne entièrement opposée