Je l'aimais

nostalgique. Au bout d’un moment, Arianne me révéla quelque chose dont je fus abasourdi. Vers huit heures, j’appelai Alice pour lui dire de venir à Rimouski le plus vite possible, que c’était urgent et sans même prendre le temps de lui dire que je l’aimais. Elle fit donc garder Rose chez sa sœur et arriva vers une heure du matin à Rimouski. Aussitôt qu’elle eu mis les pieds dans la ville, Alice se rendit à l’hôtel des Gouverneurs et frappa à la porte de ma chambre. C’est alors qu’elle aperçut un papier

seulement comme une personne, mais aussi comme une connaissance commune de Noémi et de la mer. La personnification de la mer est également illustrée par la réaction hostile du personnage lorsqu’elle la voit pour la première fois : « Au début, je ne l’aimais pas (…) puis on s’est apprivoisées » ligne 27 et 28. On assiste également à une personnification de la Décharge, « la bête toujours en train de crever « (ligne 25), que Noémi semble tout d’abord associer à la mer, en déclarant « c’était comme à la

le gosse qui joue avec elle n'ait à aucun moment le problème qu'il s'agisse ou non d'une oeuvre d'art, que le résultat soit pertinent, présent, utilisable. Mais en même temps, je m'intéressais beaucoup à son apparence. Et quand elle bougeait, je l'aimais bien arrivée à un degré de vitesse où tout devenait ridicule, et que c'était burlesque. » J.Tinguely Le jeu, comme celui entre deux pièces qui produit un espace. Cela crée comme un interstice, un vide. Ces mécanismes jouant, sont rudimentaire, produisent

sentir transporté par ces mots qui leur sont au fond destinés, le lecteur finit par débuter un voyage à la fois à travers la conscience du personnage principal mais qui au final se reflète par un voyage à travers lui-même. Lorsque dans le roman Je l’aimais d’Anna Gavalda publié en 2002, le personnage principal prononce la phrase « On parle toujours du chagrin de ceux qui restent mais as-tu déjà songé à celui de ceux qui partent », c’est en quelque sorte la thèse du roman. Tout va s’articuler autour

8.12.2022 Romain Gary, La vie devant soiTravail sur le texteFragment 1 « La première chose que je peut vous dire […] Je l’aimais bien pour ça. »1. Le sujet + présentation des protagonistes (Momo, Mme Rosa)Mohamed, que tout le monde appelait Momo. Il nous présente sa gardienne, Mme Rosa, et nous décrit son quartier. Mme Rosa s'occupe de nombreux enfants de putes. Mme Rosa est une vieille femme qui est grosse et qui pense qu'elle mourra dans les escaliers. Elle est

et que, là, sous la porte cochère, j’avais l’air d’un sauveur ; j’en avais conscience. Ah, les bassesses, voilà ce dont on a aisément la conception !... Après tout, était-ce donc vraiment une bassesse ? Comment juger un homme en pareil cas ? Ne l’aimais-je pas déjà, alors ? Attendez. Il va sans dire que je ne lui ai pas soufflé mot de mes bienfaits, au contraire ; oh ! au contraire : « C’est moi qui suis votre obligé et non vous mon obligée. »J’ai dit cela tout haut, sans pouvoir m’en empêcher.

retirais son calçon à l'aide de mes pieds et l'abandonnais en bas de ses chevilles. Je m'approchais encore un peu plus. Nos baisers s'enflammèrent et nous fimes l'amour. Là, dans notre cricque. Là où tout était secret et rien ne sortait dévoilé. Je l'aimais. J'aurais donné n'importe quoi pour vivre ma vie, éternellement à ses côtés. A ce moment, jamais je n'aurais imaginé de ce qu'il allait arrivé.

partie première pag.23 La justice : deuxième partie (chapitre 1-4) La vie sociale : partie première (chapitre 3-4) VIII. Recopiez un ou deux passages qui vous sont particulièrement plu ou déplu. “Un moment après, elle [Marie] m'a demandé si je l'aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu'il me semblait que non. Elle a eu l'air triste.” (partie I, chapitre 4, pag 39). Ce passage m’a particulièrement plu parce qu’il montre l’indifférence et la froideur de Meursault, le protagoniste

et a été coupé de toute vie sociale, entourée uniquement de la famille et ami de sa femme. Ensuite, les violences physiques sont apparues, des claques, des coups de poing, des objets lancés… Elle a profité de ma fragilité : je me taisais, car je l’aimais. Son but, c’était de me faire craquer. Je ne l’ai pas frappée, mais ce n’était pas loin, car elle voulait vraiment me pousser à bout. » Après la naissance de leur deuxième enfant, la situation a encore empiré.   « Elle me jette des cailloux »

lecteur peut se reconnaitre. De nombreux poèmes racontent des souvenirs en lien avec l’enfance, permettant au lecteur de s’identifier dans cette voix lyrique. Comme dans le poème « Lyse » où il raconte ses premiers émois amoureux « Elle m’aimait. Je l’aimais. Nous étions deux purs enfants, deux parfums, deux rayons ». Les thèmes lyriques dans Les Contemplations permettent de toucher tout le monde. Il y a l’amour qui est le thème central. Victor Hugo le développe sous ses différents aspects