Je l'aimais

n'occupez seulement _pas sa tête »). Si le récit que Cécile fait de son viol est si dérangeant, c'est bien à cause de cette ingénuité qui la conduit à la perversité par ignorance de ses propres pulsions : « il y avait des moments où j'étais comme si je l'aimais...» (L. 97, p. 274). Elle devient finalement l'être le plus dépravé du roman car elle n'en a même pas conscience, transformée en pur objet sexuel dont on peut « obtenir ce qu'on n'ose même pas exiger de toutes les filles dont c'est le métier ; et

elle qui a rompu, c'est elle qui a fait sa pute, comme d'habitude ! Lenny- Je t'ai choisi toi. Lenny- Hein ? De quoi tu parles ? Lenny- Elle m'a demandé de choisir entre elle et toi. Je t'ai choisi toi. Lenny- Je... pourquoi tu as fait ça ? Tu l'aimais, non ? Ton amour est plus important que moi, enfin je pense. Lenny- Est-ce que je suis plus important que cette fille, celle dont tu n'as jamais voulu me dire le prénom ? Lenny- C'est différent. Tu ne peux pas comprendre. Lenny- Alors toi non

utilise aussi carrément des mensonges qui donnent un caractère particulièrement romancé voire théâtralisé à ce récit de la folie de Dorante. · Dans son récit de la folie d’amour de son ancien maître Dubois y cache une éloge à Dorante L20/21 « car je l’aimais : c’est le meilleur maître ! » · puis L21/22 Dubois va faire une énumération des qualités de son ancien maître « ce bon sens, cet esprit jovial, cette humeur charmante » · pour ensuite créer une antithèse et exprimer qu’Araminte et l’amour de Dorante

regard était si vif que quand je fermais mes yeux, je pouvais reconstruire chaque détail de son visage. Écouter sa voix faisait oublier mes problèmes. J’aimais sa bonté, sa calme, son engagement avec lequel il traitait tout le monde. Vraiment, je l’aimais. Dieu tout puissant, pardonnez-moi pour avoir tombée amoureuse du Père. Enverrez-moi un autre homme pour que je puisse l’oublier et démontrer ma famille ce que je peux atteindre dans ma vie… Soudain le Père est apparu derrière moi. Il avait tout

: * Il se contente * Il se tait ( 3 mentions du silence ) b) Se caractérise par : *les phrases courtes, des mots -> " Oui ", " Naturellement " * Et la lourdeur du style indirect englue le poids de ses propos : " Elle a voulu savoir si je l'aimais, j'ai repondu que cela ne signifiait rien " => Effet d'ennuie, d'indifference. c) Des echos : il ne réagit qui en réponse " nous pourrions le faire, si elle le voulait " ; " nous le ferions dès qu'elle le voudrait ". Lecture analytique 3 Le

part de Camus car il révèle une véritable réflexion de Marie, le souci de ne pas faire les choses à la légère ! 2) Tout naturellement, elle cherche à s’assurer de la nature des sentiments de Meursault envers elle : « Elle a voulu savoir alors si je l’aimais ». Ses positions sont conformes à la gravité des circonstances, elle croit au mariage, à l’amour et souhaite être aimée ! 3) Même ses silences trahissent un effort sincère pour comprendre Meursault, comme le soulignent les indices temporels « un

d’après, elle ne parle toujours pas à sa mère, mais sa mère essaye quand même de lui parler pour lui faire part de ses excuses. Sa poupée, était la seule chose qui lui restée de sa grand-mère. _ « Maman je ne te comprends pas, tu savais bien que je l’aimais ma poupée, pourquoi tu m’as fait ça ? C’était le cadeau de grand-mère et maintenant je n’ai plus rien d’elle. » Sa mère, se sentait tellement égoïste, et demande le pardon de sa fille. Sa fille accepte les excuses de sa mère, mais n’oublie pas ce

laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié dont je parle, elles se mêlent et se confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel, qu'elles effacent, et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : Parce que c'était lui, parce que c'était moi ». Ainsi Montaigne traduit l’évidence et l’intensité de sa relation avec Étienne de La Boétie, son alter ego trop tôt disparu. La bibliothèque

s’entretiennent[3] . En l’amitié de quoi je parle, elles se | | |mêlent et confondent l’une en l’autre d’un mélange si universel qu’elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a | | |jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant : « Parce que c’était | |5 |lui ; parce que c’était moi. » | | |Il y a, au-delà

voulait pas me laisser car j’étais encore petite. Quelques jours passèrent, Jeanne lui dit qu’il devait absolument quitter cette ville, ou sinon il pouvait à tout moment mourir. Je ne voulais pas me séparer de lui car je n’avais plus de mère et je l’aimais. Mais je lui ai dit : « Papa, va-y ! Ne t’inquiète pas pour moi, je serai très bien avec Jeanne. » Je lui ai donc fait un gros câlin et je lui ai dit à bientôt. Je ne voulais pas que mon pour meure. Mon père pleura, mais moi je me retenais,