Je l'aimais

sentiment important qui se traduit par des gestes (« pris le bras en souriant », l. 18). * Le conformisme social : l'accomplissement pour une femme réside dans le mariage, qui est une suite logique de l'amour (« Elle a voulu savoir alors si je l'aimais », l. 3 ; « Pourquoi m'épouser alors ? » l. 5). Le mariage est l'engagement total de deux êtres (« une chose grave », l. 9). * La curiosité : Marie a des projets, des envies (« elle aimerait connaître Paris », l. 21). Elle vit dans le présent

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. » Dans la fin deuxième partie, il se révolte contre l'aumônier, montre pour la première de la colère, lui dit que c'est qu'il a vécut est vrai « J'avais vécu de telle façon et j'aurais

j'essayais de le cacher, je ne voulais pas qu'il voit ma déception. J'aurais tellement voulu qu'il m'aime autant que je l'aime. Je lui ai alors demandé pourquoi voulait-il bien m'épouser. Il m'a alors redit que ça n'avait aucune importance pour lui. Je l'aimais tellement. Pour moi le mariage était quel que chose de sacré et je ne concevais pas qu'on puisse se marier sans amour, donc au fond de lui il devait m'aimer un minimum. Je lui ai alors demandé si il aurait demandé si il aurait accepté la même proposition

un sentiment important qui se traduit par des gestes (« pris le bras en souriant », l. 18). Le conformisme social : l'accomplissement pour une femme réside dans le mariage, qui est une suite logique de l'amour (« Elle a voulu savoir alors si je l'aimais », l. 3 ; « Pourquoi m'épouser alors ? » l. 5). Le mariage est l'engagement total de deux êtres (« une chose grave », l. 9). La curiosité : Marie a des projets, des envies (« elle aimerait connaître Paris », l. 21). Elle vit dans le présent et dans

n'est pas touché. Ensuite il rencontre une femme qui elle à l'air de l'aimer. Elle lui demande ce qu'il ressent pour elle, il dit qu'il ne pense ne pas l'aimer :"Elle a voulu savoir si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas" (l.67) On dirait que ce personnage n'a pas de sentiment et que rien ne le touche. 5- Tout d'abord, le premier lieu présenté dans le roman est celui de la morgue de l'asile à Alger

m'enfermais seul avec elle pour la sentir sur ma peau, pour enfoncer mes lèvres dedans, pour la baiser, la mordre. Je l'enroulais autour de mon visage, je la buvais, je noyais mes yeux dans son onde dorée afin de voir le jour blond, à travers. Je l'aimais ! Oui, je l'aimais. Je ne pouvais plus me passer d'elle, ni rester une heure sans la revoir. Et j'attendais...j'attendais...quoi ? Je ne le savais pas ? - Elle. Une nuit je me réveillai brusquement avec la pensée que je ne me trouvais pas seul dans ma chambre

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. « Pourquoi m'épouser alors? » a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. « Pourquoi m'épouser alors ? » a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

le jour, Que ma maîtresse, après si long séjour, Voyant le soin qui ronge ma pensée, Toute une nuit, folâtrement m'ayant Entre ses bras, prodigue, ira payant Les intérêts de ma peine avancée. Maurice SCÈﾈVE Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis Et tant la vis, que malgré moi, je l'aime Le sens, et l'âme y furent tant ravis, Que par l'Oeil fault, que le coeur la désaime. Est-il possible en ce degré suprême Que fermeté son oultrepas

seul avec elle pour la sentir sur ma peau, pour enfoncer mes lèvres dedans, pour la baiser, la mordre. Je l'enroulais autour de mon visage, je la buvais, je noyais mes yeux dans son onde dorée afin de voir le jour blond, à travers. Je l'aimais ! Oui, je l'aimais. Je ne pouvais plus me passer d'elle, ni rester une heure sans la revoir. Et j'attendais...j'attendais...quoi ? Je ne le savais pas ? - Elle. Une nuit je me réveillai brusquement avec la pensée que je ne me trouvais pas seul dans ma chambre