Je l'aimais

expression amoureuse, chasteté absolue. Communication des âmes, derniers mots au discours direct. La dernière parole au DI est pour Félix ainsi que le dernier regard. Ce que le perso ressent est décripté, il lui embrasse le front. « je l’aimais morte, autant que je l’aimais vivante. Des chiffres, accordés, action déchiffrage, interprétation qui montre la proximité des perso, apocalypse finale, on attire l’attention du lecteur « mystérieuse », « après ma mort », captatio benevole // expression des impressions

des rôles Tout au long du texte, on aperçoit que Marie joue le rôle que Meursault devrait avoir. En Effet, elle propose à Meursault de se marier avec elle : « Marie…m’a demandé si je voulais me marier avec elle » ; « elle a voulu savoir si je l’aimais » ; « aimerait connaitre Paris » ce qui semble très étrange, inhabituel et non conventionnel. Marie ne fait que de poser des questions, lance la conversation ce qui montre un contraste avec l’attitude de Meursault : c’est toujours elle qui demande

personne ne mérite de souffrir. Ensuite, Meursault ne prouve pas un véritable amour envers Marie. Camus décrit le manque d’amour de la part de Meursault: «Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. « Pourquoi m’épouser alors ? » a-t-elle-dit. Je lui ai expliqué que cela n’avait aucune importance. » (Ligne 4 à 7). Ce passage est un parfait exemple pour montrer le manque de sentiment

avec nos autres amis. Puis un soir un nouveau était là je ne connaissait pas. Il est de taille normal, les cheveux court et blond, les yeux d'un magnifique bleu. Je le trouvais assez mignon. Au fur et à mesure ds soir passait dans le quartier je l'aimais de plus en plus. Il était trop gentil. J'essayais de me rapprocher de lui. Tout les deux on faisait que de rire. Je restait toujours avec lui on parlaient beaucoup tout les deux. A la fin des vacances il devait repartir chez lui dans sa famille

Apres, il voulait qu’on sorte ensemble one st sorti ensemble on s’es amuses une fois je l’ai presque embrases par la bouche pasque il avait tourne la bouche il m’apellait mon amour,ma femme,me regardait tuoujour et n’avait dieu que pour moi je l’aimais aussi comme une folle. Mais comme les bonnes choses ne durent pas tout était fichue en l’air on s’est eloignes a cause de moi je savais pas se que j’avais et ce qui m’a prit j’ai tout gacher comme dabitude on s’est boucoup eloignes j’ai commencer

sortie avec Mathieu Sommet durant cinq mois environ. Je l'aimais passionément mais je pense que ce n'étais pas vraiment réciproque... Plus nous faisions des sorties plus il était distant. Puis le dix-huit avril je suis rentré chez nous d'un voyage de travail et il était en train de dormir dans les bras je sais pas trop quelle sal... fille... Je les ai réveillés et la fille avait eu vite fait de partir, moi je lui en ai voulu mais je l'aimais tant... Je savais que je n'allais pas lui en vouloir longtemps

classements des meilleures ventes et est traduit dans 19 langues. «Mon manuscrit a été refusé partout. Je ne m’attendais absolument pas à ce succès, mais je suis une fille assez fataliste, alors, je savoure» 2002 Elle signe son premier roman « Je l’aimais », une histoire entre une femme, et son mari vient de quitter. Avec ce roman, écrit dans une cellule de religieuse, Gavalda reste fidèle à son éditeur bien que plusieurs maisons lui aient fait les yeux doux. «Je dois énormément au patron du Dilettante

ressent pas de réels sentiments pour Marie, car il reste indifférent à toutes propositions qui engendraient des obligations : «J’ai dit que cela m’était égal (...) Elle a voulu savoir si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. » (p.69). Comme l’ensemble de l’histoire, la notion de plaisir se transforme à partir du seul événement significatif qui marque le récit, soit le meurtre de l’Arabe et l’incarcération

Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle. J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. » (L’Étranger, p.67) À l’époque du roman, la demande en mariage était entreprise par l’homme et non par la femme mais ce qui porte à confusion est la réponse à la proposition de Marie

d’indifférence à plusieurs niveaux. L’absurdité étant l’absence de logique ou sinon quelque chose d’illogique, le fait d’être indifférent de l’amour que Marie lui porte. « Elle a voulu savoir si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. « Pourquoi m’épouser alors? » a-t-elle dit. Je lui ai répondu que cela n’avait aucune importance et que si elle le désirait nous pouvions nous marier. » (p.66) Meursault n’est pas indifférent