Je l'aimais

honnête, puisqu’il ne voit pas pourquoi il faut mentir, vu que nous allons tous mourir un jour. Par exemple, quand Marie lui a demandé s’il l’aimait, il lui a dit la vérité, au lieu de dire des mensonges pour lui faire plaisir. « Elle m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai dit que non. Elle a eu l’air triste. » Même quand il était accusé d’avoir tué l’Arabe, il a dit la vérité, ce qui paraissait très bizarre au monde. Il aurait pu mentir et dire qu’il éprouvait de la tristesse face à la mort de sa mère

il en cherche davantage. Plus tard, il dit « Marie… m’a demandé si je voulais me marier avec elle. J’ai dit que cela m’était égal et nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu…que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. » Il ne peut pas lui mentir en lui disant qu’il ressent quelque chose pour elle, mais son indifférence vient d’une source plus simple: son incompréhension. Ce n’est pas qu’il ne veut pas comprendre, c’est

Cet amour insensé que je lui porte reste pour moi un insondable mystère. Je ne sais pas pourquoi je l'aimais à ce point là de vouloir mourir de sa mort. J'étais séparée de lui depuis dix ans quand c'est arrivé et je ne pensais que rarement à lui. Je l'aimais, semblait-il, pour toujours et rien de nouveau ne pouvait arriver à cet amour. J'avais oublié la mort. A dix-huit ans j'ai vieilli. Je ne sais pas si c'est tout le monde, je n'ai jamais demandé. Il me semble qu'on m'a parlé

 lorsque le feu avait embrasé mon âme, j'avais su que  ni la vie ni la mort n'avait plus d'emprise sur moi. C'était toi. Je l’aimais et plus encore, je  n’avais plus peur, mes jambes avait arrêter de trembler et la peur de mourir s’était envolé  avec, parce que je savait que si demain on allait me tuer, j’avais vécu. Elle m’avait appris à  vivre et surtout à aimer. Je l’aimais tant , peut­être trop, plus que se qu’il ne fallait l’aimer,   Mais je l’ai compris seulement une fois après que l’on nous avait surpris

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. "Pourquoi m'épouser alors?" a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs, c'était elle qui le

 «…Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle. J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle voulait. Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme que je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais sans doute je ne l’aimais pas… »[footnoteRef:2] Marie continue par le questionner sur pourquoi il est indifférent au mariage et que le mariage est une chose énorme, Meursault fait juste dire non et agit comme le mariage

"pénétré de compassion, je l'embrassai" (l.28). Mais en plus de vouloir rasséréner Augusta, il essaie aussi de déculpabiliser sa propre conscience. Comme il se marie avec elle et qu'il ne l'aime pas, il tente de se tranquiliser "Je ne puis dire que je l'aimais, et pourtant il est certain que je n'aurais pas voulu lui faire de mal" (l.5-6-7). La souffrance morale des deux jeunes époux influe directement sur l'ambiance

aime Pauline depuis toujours mais cette dernière épouse le comte Horace de Beuzeval pour qui elle a eu de l’admiration et qu’elle aimait « j’étais faible… j’étais femme… je l’aimais.. » (p.120). Alfred étant moins riche qu’Horace et n’ayant pas le même niveau sociale que Pauline, se fut contraint de ne pas l’épouser « Je l’aimais alors de toute mon âme, que j’eusse certes tenté d’être son époux, si, à cette époque, j’avais eu la fortune que je possède aujourd’hui, et que je me suis tu, parce que j’étais

éprouvent une certaine indifférence pour les femmes. En effet, le rapport entre Marie et Meursault semble plus physique que sentimentale. Lorsque Marie lui demande si Meursault l’aime, il répond : « que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas », et surtout quand elle lui demande s’il veut l’épouser, et s’il aurait eu la même réponse si une autre femme lui avait demandé, il répond « Naturellement ». Ce qui montre l’indifférence de Meursault pour les femmes en général, puisqu’il n’épouserait

Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dis que cela m'était égal, et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulut savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fais une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l'aimais pas. a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n'avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D'ailleurs;c'était elles qui le demandait et moi je me contentais