Je m'en vais

2. Description de la situation : 13 heures, horaire auquel je débute mon service. Etant de l’après-midi, je m’en vais voir l’équipe du matin afin de procédé à des transmissions orales sur l’état des résidents du service. Une fois l’échange effectués, j’ai fait un tour des chambres pour parler 5 à 10 minutes avec chacun des résidents afin d’identifier leurs besoins

vous-même ; mais c'est pourquoi je ne m'attèle pas, ni plus que moi les chevaux de pur sang. Tenez, mon oncle, ou je me trompe, ou vous n'avez pas déjeuné. Vous êtes resté le coeur à jeun sur cette maudite lettre de change; avalons-la de compagnie, je vais demander le chocolat. Il sonne. On sert à déjeuner. VAN BUCK Quel déjeuner ! Le diable m'emporte ! tu vis comme un prince. VALENTIN Eh ! que voulez-vous ? quand on meurt de faim, il faut bien tâcher de se distraire. Ils s'attablent. VAN BUCK Je suis

« J'ai le gout des remords , j'ai le parfum des regrets , essayer encore c'est mieux que de dire je m'en vais , notre amour n'est pas mort .. J'ai beau essayer de t'oublier , J'ai beau essayer de t'effacer .. Je peine a t'oublier » T'arrive a la maison, Tu montes dans ta chambre tête baissé, Bouche fermée, Tu fermes bien toutes les portes, Tu fermes ton volet (&) tu descends ton store, Tu t'appuie contre un mur tu te laisse glisser jusqu'à terre, Tu penses, Tu regrettes, tu pleure, tu veux

que je vais lui faire la toilette comme chaque jour mais que ce jour 2 infirmières seront là pour vérifier que j’effectue ce soin comme il le faut, tout en me désinfectant de nouveau les mains. Mme A me dit qu’il n’y a aucun problème et que ça ne la dérange pas. Je lui dis ensuite que je vais préparer tout mon matériel avant de commencer, je vais donc désinfecter l’adaptable qui se trouve dans sa chambre avec une lavette, j’y dépose ensuite mon matériel. Je prends la seconde bassine et vais dans la

Ce jour la , ma vacation était l'après midi . Je vais donc assisté à la relève entre infirmière et aide -soignante du service . Je m’occupais ces derniers jours d'un patient âgé de 85 ans admis pour une nécrose de son pied gauche et s' était fait amputé la jambe la veille . Ce monsieur était très algique et très anxieux. Ce patient était en polypnée et sous oxygène permanent . Il suffisait que je m'approchait de lui et de lui toucher la main qu'il avait peur ; il sursautait de frayeur . Je le

personnel soignant. Il est diabétique non insulino-dépendant (D.N.I.D.). Ce midi il n’a pas mangé suite à « une boule » qui l’en empêche. Je consulte son dossier de soins et m’aperçois qu’il fait parfois des hypoglycémies. Je dis à l’infirmière que je vais aller lui faire une glycémie capillaire puisqu’il n’a pas mangé ce midi. Je frappe à la porte de la chambre 5-6 et j’entre. Je vois Mr F assis sur son lit, le regard fixé vers la fenêtre, je m’approche de lui et j’engage la conversation. -« Mr F,

a découvert le cadavre et qui a appelé la police. Bizarre que personne n’ait entendu... Et on sait combien de temps va prendre l’analyse du cheveu ? On devrait avoir les résultats demain si tout se passe bien. Bon, en attendant les résultats je vais faire des recherches au poste. D’acc, appelle moi si tu trouves quelque chose. » Suite à cela je me rends à mon cher bureau au poste de police et je me mets tout de suite au travail en quête de meurtres similaires à celui-ci : rien de comparable

associé à l’automne. « Et je m’en vais, au vent mauvais ». Le poète est poussé (v.15) « qui m’emporte ». C’est la différence entre les poètes romantiques et lui. Verlaine essai de trouver un ailleurs. L’âme du poète et de l’automne semble être liée. La métaphore « des sanglots long des violons » font penser au bruit du vent. Le poète semble subir les actions de l’automne comme la phrase suivante «  les sanglots long des violons, blesse mon cœur ». « Et je m’en vais » signifie qu’il se laisse

a frappé"(v3). C'est donc en insistant sur une déshumanisation charnelle que le poète indique implicitement qu'il s'amender consciencieusement deson corps pour ainsi préparer son âme a rejoindre le paradis comme l'explique le dernier vers : "Je m'en vais le premier vous préparer la place"(v14).  ! Ce corpus est composé de trois sonnets qui usent donc de cette forme poétique commune pour peindre la laideur, C'est ainsi que PIERRE DE RONSARD dans son recueil Derniers Vers, PAUL SCARRON, dansRecueil

dernier n’apparait pas dans les contes en temps normal) : « […] t’es couchée » / « Moi j’en ai marre en tout cas ? » / « Et que t’es fatiguée ? » Un conte classique revisitéDès la première phrase on sait que l’histoire racontée est un conte : « Je vais vous raconter une histoire d’il y a très longtemps »Conte au départ de Charles Perrault ou des frères Grimm : met en scène une jeune fille qui perd sa mère et qui va se retrouver maltraitée par sa marâtre/ belle-mère  ici la très jeune fille perd