Je Ne Crois Que Ce Que Je Vois

Joséphine, comment font les gens qui réussissent ? Sont-ils simplement touchés par la chance ou ont-ils une recette ? – Je ne crois pas qu’il y ait une recette... Ce qu’il faut au départ, c’est choisir un costume qui te va, dans lequel tu te sens bien et, petit à petit, tu l’agrandis, tu le fais à tes mesures. Petit à petit, Antoine... Toi, tu vas trop vite. Tu vois grand tout de suite et tu sautes tous les petits détails qui sont importants. On ne réussit pas du premier coup, on pose une pierre

d’être ailleurs. Tu prends un air détaché Car nos chemins se sont croisés. Je cherche dans tes yeux Des réponses à mes questions. Si tu pouvais m’emmener Ou même juste t’avancer Rien qu’une seule fois Je te dirais ce que tu ne vois pas. C’est un grand vide quand tu n’es pas là, Je crois que tu ne le sais même pas. J’aimerais que tu me prennes dans tes bras, J’ai besoin de toi près de moi. Chaque jour où je te vois, Grâce à toi, C’est la même chose, Alors, la vie devient rose.

as une confiance aveugle. Quelqu'un qui à n'importe quelle heure pourra te venir en aide, ou t'écouter pleurer au téléphone. Une personne qui te défendra envers et contre tous, quelque soit le problème. Quelqu'un de sincère, fidèle et avec qui tu ne vois pas le temps passer. Une personne avec qui tu es toi même, et qui t'aime pour ça ; C'est ça, une vraie amitié. “Te sens-tu vraiment capable d’être cette personne ?” Un sourire n'est rien quand on y fait même plus attention. Mais il peut

tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour t'oublier, fais le moi savoir. » « Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus

gênant. Oui, bien sûr, renvoyez-moi ! Je ne protesterai pas, promis juré. Mais il faut signer des papiers, des tonnes de papiers. Ces formalités me donnent l'impression de durer des siècles. Je reste penchée sur le bureau en évitant soigneusement de croiser son regard. Un instant fugace, je songe que j'ai bien fait de mettre une culotte et je réprime un gloussement. Il n'a rien vu, heureusement. Je pars comme une voleuse sans dire au revoir à personne. Je marche comme un zombie jusqu'à la cafétéria

Pourquoi ? Parce que je ne te connaissais pas assez bien pour savoir que tu aimais ce que je suis... et non pas ce que j'essayais d'être !" Regarde là un peu. Regarde comme elle essaie de sourire sans toi, et admets que ce n'est pas crédible. Tu ne vois pas qu'elle regarde toujours ses pieds quand elle marche? Qu'elle a toujours l'air seule, même si elle est entourée de tous ses amis? Et sur les photos.. Est-ce que tu as vu ce qu'il y a dans ses yeux? Non, parce qu'il n'y a rien, il n'y a plus rien

même d’être juifs ? Je crois que tu ne te rends pas compte de la gravité de ce que tu avances. Mais je n’arrive pas à comprendre comment toi, tu as pu m’écrire ces lignes. C’est pour moi, comme une trahison, comme un couteau que l’on m’aurait planté dans le dos. Je ne comprends pas. Toi, mon ami, es-tu réellement convaincu par ces gens ? Ne vois-tu pas que leurs propos ne sont que haine et violence ? Ne comprends-tu pas tout ce que cela signifie pour moi ? Par ailleurs, je crois que tu ne comprends

que j'aurai bien de la peine à convertir. Et dites-moi un peu (encore faut-il croire quelque chose): qu'est ce que vous croyez? DOM JUAN: Ce que je crois? SGANARELLE: Oui. DOM JUAN: Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. SGANARELLE: La belle croyance que voilà! Votre religion, à ce que je vois, est donc l'arithmétique? Il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que, pour avoir bien étudié, on en est bien moins

ses sœurs lui demanda d’arrêter, de se calmer un peu et de se reposer de son long voyage. Alors la miss décida de se changer les idées en prenant un bains. -Ah, je vois que la seule personne de qui je ne dois pas suivre les pas et bien tranquille. Déclara la cadette des princesse qui savait que sa sœur était pétrifiée. -Oui comme tu vois ma chère Sloane je profite allègrement des derniers moments tranquilles de ma vie. -Écoute Suy je sais que nous sommes démones mais ce n’est pas pour autant que

tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.  Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivant  Et de baiser sur cette bouche la naissance  De la voix qui m'est chère ? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués  En étreignant ton ombre  À se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas  Au contour de ton corps, peut-être.  Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante  Et me gouverne depuis des jours et des années,  Je deviendrais une ombre sans doute.  Ô balances sentimentales.