Je ne suis pas coupable

mais c’était un meurtre sans pitié pour se venger. Dans la citation suivante, on s’aperçoit que ce n’était pas un crime délibéré, mais plutôt par vengeance : « Peu vous importe pourquoi je haïssais ces hommes. Je vous dirai seulement qu’ils étaient coupables du meurtre de deux personnes, le père et la fille, et qu’ils l’ont payé de leur vie. » (p.132) La distinction c’est que ce n’était pas un meurtre gratuit sinon par vengeance. La mort de Drebber profitait à Hope car il voulait prendre sa revanche

cherche dans ses souvenirs et fais des efforts ce qui souligne un contre-rejet du vers 49 à 54. Au vers 51 nous voyons une énumération ce qui montre sa précision des détail, qu'il veut éclairer ses fautes et se sent coupable. Il reconnait sa culpabilité, sa faute et se rend coupable en parlant du diable ( vers 52 ). L'interrogatoire finit par son aveu. • Il existe une disproportion entre la faute commise et la condamnation ( vers 59 et 60 ). Le procureur est le loup, il n'est ni fiable ni sage (

accomplit ! La reine Jocaste va alors se pendre et Œdipe prendra une épingle de son voile pour se crever les yeux, il laissera sa place au trône à Créon et errera jusqu’à la fin de sa vie. Par ce résumé nous pouvons d’hors et déjà remarquer trois coupables dans cette tragédie oedipienne : l’oracle, les parent et Œdipe lui-même. L’oracle de Delphes est un personnage peu présent mais très important dans le déroulement de l’histoire. En effet il n’apparaît que trois fois mais toujours avant des moments

* « Vous me soulagé. » dit-elle. * « Comme je le disais depuis le début ce n’est pas Rose Débriefe la coupable. » rétorquais-je. Je ne savais pas comment , ni pourquoi Madame Redfield était si étonné, ça m’avait paru logique. Herbert m’avait demandé comment j’avais découvert le coupable aussi facilement. * «  Hé bien mon cher Herbert, ce n’est qu’une suite logique des choses, tu comprendras par toi-même. Écoute bien.  Madame Redfield, pouvez-vous nous expliquer ce qui s’est passé dans

Figaro : la liste des personnages rend explicite cette relation: " Figaro valet de chambre du Comte et concierge du château; Le Comte grand corrégidor d'Andalousie" +troupe de valets Dans La Mère Coupable , la liste entérine tout en l'enrichissant de précisions, les relations entre les personnages: "Figaro: valet de chambre, chirurgien et homme de confiance du Comte; homme formé par l'expérience du monde et des événements

 et  à  chaque  fois  nous  criâmes  «  Coupable  !  Coupable  !  »   Coupable  de  haute  trahison  envers  le  peuple,  coupable  de  nous  mentir  et  de  nous   manipuler,  coupable  de  détruire  notre  Monde  et  notre  société,  coupable  de  s’enrichir  sur   le  dos  des  petits  gens,  coupable  d’avoir  lancé  un  monstre  destructeur  sur

caractérisant ce genre de document. Nous trouvons un suspect, un élève nommé Léo Legrand, un agent qui se croit très futé que l’auteur nomme toujours inspecteur (heureusement qu’il est aidé de l’enquêtrice Élisabeth Chamberland, M. Choquette la victime et le coupable Bay, concierge muet de l’école. L’auteur, Robert Soulières, semble grandement préoccupé par le fait que l’enfant lecteur doit trouver du plaisir à lire. Découvrir l’amour de la lecture en passant par l’humour. Le lecteur n’a pas l’impression de lire

Commentaire de texte : Aristote Quand sommes nous jugés coupables de nos mauvais actes ? L’ignorance peut-elle excuser un délit ? Selon Aristote, nous sommes responsables de nos actions lorsqu’elles sont faîtes volontairement et en toute connaissance de cause, ainsi si notre ignorance à une cause extérieur, on ne peut pas en être tenu responsable, mais si au contraire elle vient de nous, alors on peut nous châtier pour elle. L’auteur commence par définir quelles sont les actions volontaires

ce qu’elle va dire. Présentation de l’extrait : Thésée est empli de doutes quant à la culpabilité de Phèdre. Il préférerait ne pas savoir. Phèdre lui avoue cependant ses fautes. C’est son troisième et dernier aveu, le plus grave puisqu’il la rend coupable d’adultère aussi bien que d’inceste. Le dénouement s’achève donc sur Phèdre qui prononce elle-même son oraison funèbre. problématiques envisageables : Ce dénouement est il complet ? Ce dénouement correspond-il aux règles de la tragédie ?

offense… LAÏOS : Que pourrait-il exister de plus horrible ? Je tremble à l’idée de ce que cela pourrait être. ŒDIPE : Eh bien, je vais tout te dire. LAÏOS : Je t’écoute. ŒDIPE : Non content d’avoir commis un parricide, je suis également coupable d’inceste. (Laïos a un mouvement de recul) Vois-tu, après avoir assassiné mon père, j’ai épousé ma mère, et j’ai couché dans le lit qu’ils avaient partagé ; elle fut à la fois la mère et la grand-mère de ses propres enfants…mais elle ne souffrit