Je Suis Si Méchant Albert Camus

autres arts Séquence 4. Dossier Les sciences humaines dans la littérature et les arts 64 Séquence 5. Groupement de textes et d’images Des situations et figures mythiques 92 Séquence 6. Œuvre longue Un roman philosophique : La Peste de Camus 108 Objet d’étude 3 La parole en spectacle Séquence 7. Dossier Scènes de parole, paroles en scène 128 Séquence 8. Groupement de textes et d’images Les tribunes politiques et leur médiatisation 152 Séquence 9. Œuvre longue Du

pas. Lorsque l’un veut parler, l’autre n’écoute pas. Lorsque l’autre sourit, l’un devient ombrageux. Et ces cons de Je t’aime qui commencent par Je. Ca marcherait mieux quelquefois si l’on disait tu es aimé. Sans plus jamais parler de soi en premier. (P. Tisserand) Si je ne suis pas moi-même, qui le sera pour moi ? Et si je ne vis pas pour moi-même, qui vivra pour moi ? (Hillel) Pour certains, le seul accord possible : être en désaccord ensemble au même moment Extraits de « Parle-moi... J’ai des choses

o Hugo, Ruy Blas ▪ Consigne : « Individuellement, lisez attentivement les deux résumés proposés. Ensuite, en groupe, tentez de répondre aux quelques questions qui vous permettront d’isoler certaines caractéristiques propres à chaque genre. Si vous vous aider de connaissances extérieures au texte, précisez-le. » ▪ Laisser travailler les élèves durant toute l’heure, tout en répondant à leurs questions. 2e heure de cours : approche des différents genres (2e partie)

promesse de lutter contre l’ignorance et la haine, et lui rend hommage de tous les sacrifices qu’elle a fait pour lui. Puis il se souvient de quand il était tout petit et des histoires, que lui racontait sa mère, peuplées de vilains personnages, de méchants dieux incarnant les comportements horribles de certains hommes tel que : la bêtise, la méchanceté, la violence, le racisme, la guerre.(Totoche : dieu de la bêtise, Merzavka : dieu des vérités absolues, Filoche : dieu des préjugés, du mépris et de

cartésien « Mais aussitôt après, je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n’étaient pas capables de l’ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. » René Descartes (1594-1650)

être reconnu, surtout ne pas leur parler de projet professionnel : si la base n'est pas là, l'échappement va se produire systématiquement. Intervenant : je viens de l’Éducation Nationale, où il y a nécessité du partage et de la coresponsabilité. Actuellement l'E.N. incite les établissements à travailler dans ce sens. Au lieu de « dans quelle case les mettre ? » se demander « quel parcours pouvons-nous construire ensemble ? », même si c'est compliqué, voire très douloureux. JY Barreyre : ce qui apparaît

beaucoup de chefs qui, à faute de maîtriser les ensembles, cultivent les détails et se nourrissent de formalités.» (Charles de gaulle, le fil de l’épée) «Le vrai pacha, c’est celui qui est à vos cotés, prêt à faire le point si nécessaire, pour passer le raz de Sein par mer démontée ; pas celui qui va se réfugier dans sa bannette dès que le bateau tangue un peu mais qui est le premier à la coupée quand le bateau est à quai et l’Amiral monte à bord.» (Frédéric Chavagne)

Silvia ont pris l'identité de leurs valets pour mieux s'observer. Dorante s'est démasqué alors que Silvia poursuit le rôle de Lisette pour voir si l'amour vaincra le préjugé.] [...] SILVIA. [...] — Que vous importent mes sentiments ? DORANTE. — Ce qu'ils m'importent, Lisette ? peux-tu douter encore que je ne t'adore ? SILVIA. — Non, et vous me le répétez si souvent que je vous crois; mais pourquoi m'en persuadez-vous, que voulez-vous que je fasse de cette pensée-là, Monsieur ? Je vais vous parler

remarques s’appliquent à l’indicatif futur et au conditionnel présent que l’on ne peut distinguer qu’à l’écrit. Certaines lettres qui apparaissent à l'écrit ne se prononcent pas à l'oral. On parle alors de lettres muettes. Elles n'ont aucune raison d’être si ce n’est l’évolution historique du mot. Nous connaissons tous le e file:///F|/DocumentS%20de%20Nianglemzo/Grammaire%20Francaise/Grammaire%20&%20Ort/ortho.htm (1 sur 2)09/10/2005 20:04:15 L'orthographe muet final sans qu’il n’ait comme fonction

de la tragédie que nous étions alors en train de vivre31. » Autre indice allant dans ce sens, le 14 septembre 1942, Anouilh écrit à Barsacq : « S'il en est encore temps avant de donner Antigone, relisez le manuscrit en pensant à la censure et si vous repérez des phrases dangereuses (les affiches, le discours du chœur à la fin), envoyez-le moi. Il vaut mieux que cela ne soit pas tripatouillé sur le manuscrit qu'on enverra32. » Malgré cela, quelques critiques et résistants ont voulu voir au