Je Veut Peindre La France

entreprend une épopée. A sa sortie de prison, son habileté à préparer ses succès futurs, son mérite et son génie le servent, et il est consacré comme le plus grand poète tragique de son temps. Sa gloire et sa renommée sont donc assurées. Mais Voltaire veut aussi s'enrichir, en partie par goût du luxe, en partie pour ne dépendre que de lui et pouvoir traiter les grands du royaume d'égal à égal et, parfois, les mépriser. S'entendant bien en affaires - n'oublions pas qu'il est fils de notaire -, il guette

temps « Le désespoir de la vieille » (2) : peur de l’enfant devant elle ; elle ne plaît même plus aux enfants La haine des concitoyens « Un plaisant » (4) : il salue un âne ce qui fait dire au poète qu’il concentre en lui « tout l’esprit de la France » « Le tir et le cimetière » (45) : une voix sortant d’une tombe rappelle que « tout est néant, excepté la Mort » « Chacun sa chimère » (6) : idées obsessionnelles des concitoyens La haine des concitoyens (2) « La fausse monnaie » (28) : il critique

un cheval agonisant attire notre attention .Il symbolise, des dires même du peintre, le peuple. La lame acérée dans sa gueule signale son courage au combat; mais une lance ennemie l'a atteint mortellement. Une large plaie béante en forme de losange veut communiquer au spectateur la souffrance vécue par l'animal. La contorsion impossible représentée par le peintre décuple l'impression de douleur indicible, d'épouvante de la fin imminente. Les sabots du cheval sont ici protecteurs. Ils entourent en

mais elle a plus de force et de hardiesse. Montesquieu se livre à la gaieté de son siècle ; il la partage, pour mieux la peindre : et le style de son ouvrage est à la fois le trait le plus brillant et le plus vrai du tableau qu’il veut tracer. La Bruyère, se plaignant (Note ext 1) d’être renfermé dans un cercle trop étroit, avait esquissé des caractères, parce qu’il n’osait peindre des institutions et des peuples : Montesquieu porte plus haut la raillerie. Ses plaisanteries sont la censure d’un gouvernement

plusieurs œuvres au travers desquelles la résistance s'est manifestée, puis, dans une seconde partie, nous étudierons un des emblèmes de la résistance française. 1. La résistance à travers l'art Il existe de nombreuses traces de la résistance en France comme dans les autres pays. Des poètes, écrivains et politiques engagés, comme Robert Desnos, Paul Eluard, Louis Aragon, Vercors et Charles de Gaulle ont rédigés nombre de textes exprimant leur oppositions contre l'occupation, leur haine envers la

Présentation de l’auteur Claude MONET est né le 14 novembre 1840 à Paris, mais il vécut toute sa vie à la ville du Havre. A partir de 1855, et grâce à Eugène Boudin, Monet se spécialisera dans la peinture de paysages et commencera à peindre en plein air. En 1859, il rencontre Pissarro à Paris. En 1862, après avoir fini son service militaire en Algérie, Monet entre dans l’atelier du peintre Gleyre. Il y rencontre Renoir, Sisley et Bazille et se lie d’amitié avec Manet. En 1867, Monet et Camille

l'imprimerie par Gutenberg, dont le premier livre imprimé en 1454 a été la Bible. -  multiples inventions techniques : la caravelle, la boussole et la cartographie, qui facilitent la navigation maritime, ou la peinture à l'huile qui révolutionne la façon de peindre. - nouvelles démarches scientifiques : le corps humain et de découvrir la circulation du sang - Héliocentrisme : Nicolas Copernic affirme que ce n'est pas la Terre qui est au centre du monde, comme on le croyait, mais le Soleil autour duquel elle

temps « Le désespoir de la vieille » (2) : peur de l’enfant devant elle ; elle ne plaît même plus aux enfants La haine des concitoyens « Un plaisant » (4) : il salue un âne ce qui fait dire au poète qu’il concentre en lui « tout l’esprit de la France » « Le tir et le cimetière » (45) : une voix sortant d’une tombe rappelle que « tout est néant, excepté la Mort » « Chacun sa chimère » (6) : idées obsessionnelles des concitoyens La haine des concitoyens (2) « La fausse monnaie » (28) : il critique

signe de longue vie ! Harpagon Tu te connais à cela ? Frosine Sans doute. Montrez-moi votre main. Mon Dieu, quelle ligne de vie ! Harpagon Comment ? Frosine Ne voyez-vous pas jusqu’où va cette ligne-là ? Harpagon Eh bien ! qu’est-ce que cela veut dire ? Frosine Par ma foi, je disais cent ans ; mais vous passerez les six-vingts. Harpagon Est-il possible ? Frosine II faudra vous assommer, vous dis-je ; et vous mettrez en terre et vos enfants, et les enfants de vos enfants. Harpagon Tant

Le XIXe siècle, introduction A. Repères historiques 1799 – 1815 Bonaparte, devenu Napoléon 1er en 1804, rétablit l’ordre en France aux dépens des libertés. Il rédige le Code civil (fondement du droit civil français actuel). Sa politique d’expansion militaire se termine par la défaite de Waterloo (1815). 1815 – 1830 La Restauration : monarchie « constitutionnelle » (reconnaissance d’un monarque comme chef de l'État, ses pouvoirs sont toutefois limités par une constitution) sous Louis XVIII