Je Veux Mourir Pour Tes Beautés Ronsard

jolies femmes ! Était-elle grande ou petite ? – Grande, dit M. Zaturecky. – Était-elle brune ou blonde ? – Elle était blonde » répondit M. Zaturecky après une seconde d’hésitation. […] Klara n’est ni grande ni blonde. Seule la grandeur interne de la beauté pouvait lui prêter aux yeux de M. Zaturecky l’apparence de la grandeur physique. Milan Kundera, Risibles amours, © Éditions Gallimard, 1970. 6 Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours 1. Comment le portrait de Klara est-il remis en question

guerre et ce qui s’ensuivit », Le Roman inachevé, 1956 Texte 2 : Robert DESNOS, « Ce cœur qui haïssait la guerre » Destinée arbitraire,1975 (Lecture analytique) Documents complémentaires : 1) Corpus I : « La poésie lyrique et amoureuse »: RONSARD, Amours de Cassandre 1552 « Comme un chevreuil »(manuel p.264) HUGO, Les Contemplations, 1856 « Elle était déchaussée »(manuel p. 266) ELUARD, Capitale de la douleur,1926 « La courbe de tes yeux » (manuel p. 268) 2) HISTOIRE des ARTS : (photocopies)

va mourir ne l’est pas à la fin de l'extrait car c'est elle qui parle. Elle maudit finalement ses enfants. Le fait de parler de cette idée de la mort est une prosopopée. C'est une malédiction qui porte sur Esaü et Jacob. D'Aubigné a changé le jugement car Jacob n'est pas coupable, initialement, de cette guerre. II - Violence Le texte est d'un réalisme très criant. Il y a quelques détails abstraits : "il brise le partage…l'usage" (v. 56), "Il méprise … d'envie"(v. 10). Il est prêt à mourir, à

Contemplation (xxe siècle), huile sur toile (musée du Petit Palais, Paris). 75La poésie Lyrique76 La poésie lyriqueREPÈRES LIttÉRAIRES Vers 1261-1262 � La Complainte Rutebeuf, de Rutebeuf (1230 ?-vers 1285). 1552, 1555, 1556 � Amours, de Pierre de Ronsard (1524-1585). 1558 � Les Regrets, de Joachim Du Bellay (1522-1560). 1820 � Méditations poétiques, d’Alphonse de Lamartine (1790-1869). 1856 � Les Contemplations, de Victor Hugo (1802-1885). 1866 � Poèmes saturniens, de Paul Verlaine (1844-1896)

les plus fréquentes sont 8, 10 et 12. Un vers de 8 syllabes est appelé un octosyllabe, celui de 10 un décasyllabe et celui de 12 un alexandrin. 8:  « Les hommes courent haletants » de Théophile Gautier 10: « Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse, » de Pierre de Ronsard 12:  « Mourir d'un cancer, ou d'un bête accident, »  de Flora Nous expliquons maintenant ce que sont la coupe, la césure et l'hémistiche qui sont liés. La coupe est une pause dans le vers. Elle se situe après chaque syllabe

pied le conduit : De rets ni d'arc sa liberté n'a crainte, Sinon alors que sa vie est atteinte, D'un trait meurtrier empourpré de son sang : Ainsi j'allais sans espoir de dommage, Le jour qu'un oeil sur l'avril de mon âge Pierre de Ronsard (1524 - 1585) Les amours 1552 Réveil Arrière de moi vains mensonges, Veillants et agréables songes, Laissez-moi, que je dorme en paix : Car bien que vous soyez frivoles, C'est de vous qu'on vient aux paroles, Et des paroles aux effets

"morale" ce qui exprime sa réfutation, sa contestation ⤷ l.15 Bérenger reformule l'argument de Jean avec ironie, que l'on remarque grâce au point d'exclamation ⤷ l.19 Jean développe sa thèse : "Il faut…" ⤷ l.24 Jean pose une ambiguïté : "je veux respirer" st il toujours dans le débat ou la transformation a commencé ? Bérenger ne remarque même pas, n'y fait pas attention et ajoute argument sur la supériorité de l'Homme. ⤷ l.28 : Jean : volonté de destruction

pères militaire et est de milieu bourgeois. Mélancolia est sorti d’un long recueil. Il est romantique mais il écrit aussi des textes engagés(les misérables=histoire social). un peu de vocabulaire La pléiade: groupement de 7étoiles (il y a du Bellay, Ronsard….) Carpe Diem: cueille le jour - épicurisme Dramaturge: qui écrit des pièces de théâtre. Eglogue : petit poème pastoral dialogué. Quelques poèmes Une allée du Luxembourg Gérard de Nerval (Odelettes 1853) Elle a passé, la jeune fille Vive

qu'un bref instant, mais ça fait du bien » -P.Claudel- source: http://desbellescitations.skyrock.com/tags/5bDHuemHkWz-Philippe-Claudel.html Sommaire : la Renaissance : - Sur le mort de Marie de Pierre de Ronsard p5 le baroque -A mademoiselle de Rohan, sur la mort de Madame de la Duchesse de p6 Nevers de Théophile de Viau -vers funèbre sur la mort d'Henri le Grand de F. De Malherbe

du sens, du Moyen Âge à nos jours PROBLEMATIQUE : L’écriture poétique peut-elle réparer le non-sens ? [pic] S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - TEXTE 1 Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose Pierre de Ronsard, Second livre des Amours, IV, 1578 Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose