Je veux tout

et de l'embrasser sur la bouche à lui faire mal. Par fierté. Ils étaient têtus. Ils se disaient au revoir à chaque fois avec un air désinvolte, un air de c'est pas grave si je te revois pas demain. Mais ils savaient, ils savaient.. " On passait toutes nos journées ensemble, avec une paire d'écouteurs, de la bonne musique, des gens autour de nous, et nos rires qui se complétaient. On était heureuses ensemble, on oubliait nos problèmes. Je pourrais te dire que tu me manques mais ce serait mentir

LETTRE DE GARGANTUA À SON FILS PANTAGRUEL J'entends et je veux que tu apprennes parfaitement les langues: premièrement le grec, comme le vieux Quintilien; deuxièmement le latin; puis l'hébreu pour les saintes Lettres, le chaldéen et l'arabe pour la même raison; et que tu formes ton style sur celui de Platon pour le grec, sur celui de Cicéron pour le latin. Qu'il n'y ait pas d'étude scientifique que tu ne gardes en ta mémoire et pour cela tu t'aideras de l'universelle encyclopédie des auteurs qui

nouvelle maison, je monte dans ma chambre pour y poser mes cartons : elle était assez grande pour une personne, un lit était au milieu de la pièce, une armoire était placé sur le mur de gauche et un bureau à droite de la pièce,il ne me restait plus qu'à tout remplir. J'entendais ma tante au rez-de-chaussée inscrire ma sœur et moi au lycée du coin : Sweet Amoris. J'ouvris les deux cartons de mes vêtements (j'avais grandi pendant les vacances) et les rangeais dans l'armoire qui était beaucoup trop grande

non? Je veux que tu sois bien. Pourrais-je te faire du mal? Alors, tu dois le laisser te gifler. Allez, on y va! A partir d'où, Sarah? . Depuis "Tu ne me comprends pas!" M. "Tu ne me comprends pas! Tu voudrais, mais tu ne peux pas. Il t'est impossible de me comprendre. Tu veux sortir et te saouler?Ou te droguer? Tu veux coucher avec un type à 4 heures de l'après-midi? Vas-y! C'est ton problème." P1. "Je suis affreuse. Je m'endie de nouveau. Pourquoi nous disputons-nous?" M."Tu veux retrouver

tenir sur vos gardes, et que, depuis quelque temps, il y a des voleurs ici autour. DON JUAN. Je te suis bien obligé, mon ami, et je te rends grâce de tout mon cœur. LE PAUVRE. Si vous vouliez, monsieur, me secourir de quelque aumône ? DON JUAN. Ah ! ah ! ton avis est intéressé, à ce que je vois. LE PAUVRE. Je suis un pauvre homme, monsieur, retiré tout seul dans ce bois depuis dix ans, et je ne manquerai pas de prier le Ciel qu’il vous donne toute sorte de biens. DON JUAN. Eh ! prie-le qu’il te donne

yeux. Est-ce que ça va ? Ne baisse pas les yeux. Raconte moi.  - Je te promets Papa que je fais tout pour aller bien, je te le promets. Mais c'est tellement dur, comprends moi. Elle me manque, elle me manque si fort que j'ai l'impression qu'elle ne cessera jamais de me hanter. Papa, je croyais avoir fait le deuil. Papa, je croyais que j'étais forte. Papa, pourquoi tout s'en va quand je pense à elle ? Tout le monde me tend la main, mais je ne suis pas capable de les attraper. Je dois combattre le manque

Marceline Desbordes-Valmore …J’ai semé ma joie au sommet d’un roseau ! Au cœur même de ces poèmes qu’on trouve parfois négligés – ma plume court, dira volontiers Marceline – et qui manquent certainement de tout désir de composition, apparaît ce qu’on ne peut dire autrement que par l’idée de lumière. Comme si les mots retrouvaient une intensité, une qualité d’évidence qui seraient en puissance dans chaque chose, un vers puis un autre et un autre encore se détachent de la méditation ou du souvenir

fils → les vôtres ses fils → les siens leurs fils → les leurs Féminin, plurielle mes robes → les miennes nos robes → les nôtres tes robes → les tiennes vos robes → les vôtres ses robes → les siennes leurs robes → les leurs L’inversion Tu veux quoi ? → Que veux-tu ? Tu as combien de sœurs ? → Combien de sœurs as-tu ? ! Quel âge François a-t-il ? Où Lucie va-t-elle ? –t- se přidává ve třetí osobě jednotného čísla u sloves první třídy (např. habiter), u avoir, être. Le subjonctif Emplois : vouloir

solitudes. Il y a je le sais des traces sur le vide, Des blessures qui dessinent le chaos de mon cœur. Je suis au labyrinthe où je me suis perdu, En rêvant de me perdre sans retour avec toi. Je te veux dans mes bras comme au ciel, Je te veux à tous les échos essoufflés, Je te veux à bout portant accordée, Je te veux avec moi dans un néant solitaire. En ton visage est au creux de mes mains, Je le presse si fort sur mon propre visage, Que je traverse monts et désastres, ruines ou glaciers, Jusqu’à toucher

cachottages à volonté, n’est-ce pas ? La femme qui : HISTOIRE ! dit le Petit Robert : récit d’actions, d’évènements réels ou imaginaires. Janis : Trois personnages… Astrid : … visibles. Trois femmes, visibles. La Femme qui : Et une tribu de fantômes tout autour. (Les trois sortent en même temps de la scène et la musique continue mais en baissant au fur et à mesure le son, jusqu’à ce qu’elles disparaissent.) *** 1. (Janis entre dans la cour de récré et Astrid l’a rejoint.) Astrid : Bienvenue au