Je Voudrais Qu On M Efface

Sabatier (1923-2012), lauréat de l`Académie française, membre de l`Académie Goncourt, qui participe activement à la vie littéraire. Ses écrits répondent à la question adressée aux jeunes : Qu`est-ce que tu veux devenir quand tu seras grand ? : «Je voudrais être…tout.» Jacques Charpentreau né aux Sables- d`Olonne en 1928 est un écrivain et poète français qui avait écrit le poème La ville enchantée : «Quand je suis un peu triste Quand on me dit que tout va mal Je vais acheter mon journal

mains pendantes ! Que le faible dise qu'il est fort ! §55- Le Saint-Esprit ce matin vous apporte par la Parole la bonne nouvelle que Dieu a écrit vos noms sont dans le Livre de Vie de l'Agneau avant la fondation du monde. Aucun démon ne peut effacer cela. Dieu l'a écrit et l'a prononcé. Que notre Père est glorieux ! Comment être parfait comme il est parfait ? Ce n'est pas votre perfection, mais c'est la sienne qui vous a choisis et placés en Christ. Vous êtes donc en sécurité et aussi parfaits

surpris plusieurs fois... ça me déplaisait que mon père touche ma mère... j'étais jalouse... je détestais ça... je sais pas à quelle place j'aurais voulu être... ma mère qui était embrassée par mon père ou mon père qui caressait ma mère... Moi, je voudrais que notre ménage ne soit pas à la dérive, mais y'a plus rien entre nous... ça ne dérive pas, ça coule !" : première rencontre avec une mère qui parle tout de suite de sa sexualité et de celle de la génération d'avant comme explication à l'inhibition

nous verse le bonheur, S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ! Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous

l’identité du destinataire ne soit précisée. Ce n’est que dans la dernière strophe que le locuteur dévoile sa présence, laissant transparaître sa souffrance et son inquiétude mais comme amoindrie, amortie par divers procédés de mise à distance. Je voudrais montrer que se fait jour ici dans ce poème liminaire des Romances sans paroles une tension entre le refus de se dire et le désir de se dire. Je m’interrogerai également sur les caractéristiques particulières du discours poétique qui accompagne cette

LES CLOWNS DE LA CITÉ FERTILE ET DE L’ENFANT MULTIPLE PORTRAIT D’UNE ÉCRIVAINE FRANCOPHONENadia HARRIS American University, WashingtonJe voudrais parler de deux romans d’Andrée Chedid, La Cité fertile et L’Enfant multiple, hypertexte de la nouvelle L’Enfant des manèges. Ces deux récits dont la production s’échelonne sur une vingtaine d’années – de 1972 à 1989 – racontent essentiellement la même histoire qui a pour cadre Paris et pour protagoniste un clown. Ils attestent l’influence du carnaval

pas près a continuer, je préfère te quitter. Je relis le message, c'était bien la réalité. Je me sent toute bouleverser, tout ce met a s'écrouler. A ce moment là, personne est l'a pour m'aider, je n'ai yeux que pour pleurer. J'aurais voulue tout effacer, pour tout recommencer. Malheureusement la vie n'est pas comme sa, il faut savoir l'accepter avec les bas. Alors j'ai décidée d'avancer, pour ne plus y penser. Parfois en regardant l'horizon, je me dis que la bas tout doit être si bon. Je suis

pourtant, je te jure que j'ai essayer.." La première fois qu’on c'est embrasser je ne m'en rappel plu, tu me manque, je t'aime mais je n'te veu plu . J'ai aimer, parfois trop même. J'ai souffert mais je me suis relever. J'ai appris a oublier, a éffacer toutes ces fois ou j'ai pleurer. Je m'attachait trop, j'aimais sans retenue ..  J'ai deux amis, la téquila et le whisky. La téquila quand t'es pas là, le whisky quand t'es parti. On me l'a tellement dit, de l'oublier. Mais, même si je l'aurais voulu

absolue.-(Entrent Macbeth, Banquo, Rosse et Angus.) O mon très-digne cousin, je sentais déjà peser sur moi le poids de l’ingratitude. Tu as tellement pris les devants, que la plus rapide récompense n’a pour t’atteindre qu’une aile bien lente.-Je voudrais que tu eusses moins mérité, et que tu m’eusses ainsi laissé les moyens de régler moimême la mesure de ton salaire et de ma reconnaissance. Il me reste seulement à te dire qu’il t’est dû plus qu’on ne pourrait acquitter en allant au delà de toute

absolue. – (Entrent Macbeth, Banquo, Rosse et Angus.) Ô mon très-digne cousin, je sentais déjà peser sur moi le poids de l'ingratitude. Tu as tellement pris les devants, que la plus rapide récompense n'a pour t'atteindre qu'une aile bien lente. – Je voudrais que tu eusses moins mérité, et que tu m'eusses ainsi laissé les moyens de régler moimême la mesure de ton salaire et de ma reconnaissance. Il me reste seulement à te dire qu'il t'est dû plus qu'on ne pourrait acquitter en allant au delà de toute