Je Voudrais Qu On M Efface

le destinataire « Monsieur », ensuite Bernard vouvoie son père dans la lettre entière « En me sentant si peu d’amour pour vous, […] » et à la fin de la lettre il donne une formule de salutation « Je signe du ridicule nom qui est le vôtre, que je voudrais pouvoir vous rendre, et qu’il me tarde de déshonorer. », il finit par son nom « Bernard Profitendieu » et il a rajouté un post-scriptum « P.-S. –je laisse chez vous toutes mes affaires qui pourront servir à Caloub plus légitimement, je l’espère pour

ligne 12 « libre » : idéalisation de la vie des tahitiens unis avec le « nous ». Européens = vocabulaire dépréciatif : ligne 1 « et toi chef des brigands » apostrophe accusatrice. Tutoie, plus de respect. Brigand = voleur. « Nuire à notre bonheur, effacer de nos âmes son caractère » : volonté de détruire, champ lexical de la domination, ligne 13 « futur esclavage ». Pour étayer son discours, prend l’exemple des femmes. Ligne 7 à 12, les ; marquent la rapidité du changement. Ils ont perverti leur

ont écouté Des sensations personnelles D’aucun rituel ne saurait livrer Pour vous faire éprouver A votre tour Mes impressions émotionnelles D’aucun symbole ne saurait résumer Pour vous faire apprécier A votre tour Ce soir, ce que je voudrais, C’est partager mon moi secret … Vous faire la visite Des joies qui m’habitent 1 -----------------------------G – COMME GEOMETRIE Un art qui évoque l’esprit Cinquième art libéral Banal hasard ? Hasard banal ? Ordres d’architecture :

maximes sur les écrans de chargement et inventaires des créatures – On devrait effectivement percevoir les seconds degrés que j’évoquais, et bien d’autres encore, le scénario étant particulièrement dense. En fait, il y a certains points que je voudrais préciser voire corriger dans les termes. Bien sûr, Alice souffre d’épisodes psychotiques sans quoi il n’y aurait pas de jeu ! J’aurais été plus inspiré d’employer le terme paranoïaque ou affabulatrice. Ses visions/transpositions de la réalité londonienne

son sourire prédateur. Une beauté à peine croyable, si fascinante que pendant des années, que dis-je, des siècles, j’ai cru m’en satisfaire. Mais j’ai ouvert les yeux. Et mon unique but, à présent, est de me défaire de son souvenir. Je veux effacer de ma vie et de ma mémoire la compagne de ma très longue existence. Je dois cependant lui rendre justice : ce n’est pas Drina qui a changé. Les saisons et les siècles ont passé, mais elle est restée la jeune fille que j’ai un jour sauvée de l’orphelinat

encochée : Sa tête, en ce beau mois, sans plus, était couverte  D'un riche escoffion (1) ouvré de soie verte,  Où les Grâces venaient à l'envie se nicher ; Puis, en ses beaux cheveux, choisissaient leur demeure.  J'en ai tel souvenir que je voudrais qu'à l'heure  Mon cœur pour n'y penser plus devenu rocher. 1. Escoffion est une coiffe de femme Henri Gervex (1852)- Jeune femme rousse à la toilette Joachim Du Bellay (1522-1560) est un poète de la Renaissance qui

froideur; Et quelques coups de poing satisferaient mon coeur. AGNES Hélas! vous le pouvez, si cela peut vous plaire. ARNOLPHE, à part. Ce mot et ce regard désarme ma colère, Et produit un retour de tendresse de coeur Qui de son action efface la noirceur. Chose étrange d'aimer, et que, pour ces traîtresses, Les hommes soient sujets à de telles faiblesses! Tout le monde connaît leur imperfection; Ce n'est qu'extravagance et qu'indiscrétion; Leur esprit est méchant, et leur âme fragile;

veux tracer ma route, puis la détruire ainsi, sans repos. Je veux rompre ce que j'ai créé, pour créer d'autres choses, pour les rompre encore. C'est ce mouve­ment qui est le vrai mouvement de ma vie : créer et rompre. Je veux imaginer pour aussitôt effacer l'image. » La Guerre (1970) est d'abord un grand livre d'images, violentes et bariolées. Le Clézio fait d'ailleurs suivre son texte d'une série de vingt « clichés », volontairement ternes, qui présentent quelques aspects, parmi les plus quotidiens

coeur Il dit oui à ce qu'il aime Il dit non au professeur Il est debout On le questionne Et tous les problèmes sont posés Soudain le fou rire le prend Et il efface tout Les chiffres et les mots Les dates et les noms Les phrases et les pièges Et malgré les menaces du maître Sous les huées des enfants prodiges Avec des craies de toutes

l’âme qui t’appartient toute , qui t’appartiendra toujours , et qui t’attendra au delà de ce qui passe. Pour toi , je vais redevenir pure , retrouver ma blancheur et ma virginité. Ne te presse pas de me rejoindre , car il me faudra des siècles pour effacer tant de boue et redevenir ce que je veux être pour toi. » « Yvée Lester » : « Seigneur , entendez les battements de mon cœur , envoyez moi dans le vide , et laissez moi sans vie…Prenez mon être qui s’offre , abîmez le , absorbez le , écrasez le