Je Voulais Juste Rentrer Chez Moi

 CHAPITRE 1 : Jour de la rentrée. J'étais avec Steph et Robin lorsque j'entendis mon nom. Je me dirige alors vers ma nouvelle classe... Avant de rentrer dans le bâtiment, je me retourne pour observer les personnes de ma classe. Je vois Steph arrivée en courant comme une folle vers moi ! J'étais trop contente  Et là... Je vois Thibaut *-* ... Il s'avançait vers nous en me regardant *o* Je suis presque sur d'être devenue toute rouge ^^ Stéphanie m'a tirée par la main pour me faire

Greffe Une matinée plus qu’ordinaire allait encore commencer, la routine me blasait, je voulais ajouter du piment à ma vie mais pas de cette façon là. Ce matin, je me levais vers 7h30 comme tous les lundis, je lisais mon journal devant une tasse café. Rien de très intéressant, pourtant un titre retint mon attention : « Trafic d’organe quand le massacre va-t-il s’arrêter ? » Je ne pris pas le temps de lire l’article, ils allaient parler de ces indiens qui pour pouvoir se nourrir vendent

Monsieur B était schizophrène et que la symbolique des chiffres était très importante chez lui. Le fait de lui dire qu’on avait le même âge ne m’avait pas paru important lorsque je ne connaissais pas sa pathologie or, il s’est avéré qu’il s’agissait d’un élément important que je n’aurais pas du donner au vu de sa pathologie. Par la suite, plusieurs fois le soir quand je quittais le pôle de jour pour rentrer chez moi je me suis retrouvée dans le même bus que Monsieur B. Il est à chaque fois venu me

Aujourd'hui j'lapel j'ai envie d'entendre sa voix... Moi : Allô yemma, oui c'est moi ca va? Maman : labess hamdoulilah benti (ma fille) malki? (quesquia?) Moi : nan t'inquiètes pas, tout vas bien je t'appelle comme ça pour te parler et puis je voulais te dire... Et la rien qui sort alors j'lui dis que j'dois raccrocher mais c'que j'voulais dire c'est que... J'voulais m'excuser pour toutes les fois ou j'ai levé la voix sur elle, j'étais qu'une petite conne j'me rendais pas compte des efforts

Pourquoi devrions-nous sauter ? » Or, ici, ils faisaient tous exactement ce qu’on leur demandait. Ça ne m’allait pas du tout, mais alors vraiment pas. Profite de l’occasion ! me suis-je dit. Ne leur donne pas raison ! Je décidai de m’adapter et de rentrer dans le moule. J’en devins presque trop gentil. C’était dingue. Mino Raiola, mon agent et ami, me dit : « Qu’est-ce qu’il t’arrive, Zlatan ? Je ne te reconnais pas. » Personne ne me reconnaissait, pas un seul de mes potes, absolument personne. Je

qu'on appelle Juan-les-pins .Dans la rue Bijou-Plage - devant la ligne de chemin de fer qui rallie la ville de Nice à Cannes en train - en face de la plage et près d'une petite épicerie où il m'arrivait d'acheter des pains au chocolat avant de rentrer chez moi, après l'école. Ayant une maison vue sur la ligne de train et la plage, je n'avais que deux voisins, un à droite et puis un à gauche. A droite, c'était une grande maison un peu snob de couleur jaune-couché de soleil comme on en trouve dans

loin, loin de ce camp qui nous fait mourir petit à petit. Et puis un garde cri: * On la retrouvé, il était sous les barbelés derrière le bâtiment C. * Qu’est ce que tu faisais là-bas on vous a pourtant défendu d’y aller. * Devinez, Je voulais partir comme tous ceux qui sont ici ! * Et tu pense que parce que tu fais partis des plus grand de ce centre tu pourrais nous échapper ! Je vois mon frère attaché que l’on martelait de coups pour ce qu’il venait de faire. * Tous en cercle

filles sur la plage. Et oui, on ne change pas un séducteur. Enfin bref à part la bande de bécasse du lycée, il n’y a personne sur la plage. En fin d’après-midi, les mecs décident de rentrer chez eux. Je reste donc seul avec moi-même mais il est hors de question que je rentre à la maison. Je n’ai pas envie de rentrer et de supporter mon imbécile de beau-père qui ne fait qu’abuser de ma mère. Je me promène donc le long de la plage sans réel but. Je m’approche de mon glacier favori quand je tombe nez

elfes, sa cabane était composée de deux chambres, d’une salle de bain, d’une cuisine et d’une salle à manger. Il vit avec ses parents Séléné et Ignis. Ce matin là il alla se rendre chez Bella, pour faire le tour de l’île, il monta sur sa jument Stella, elle avait une robe dorée et des craints blancs. Ils se rendirent chez la jeune fille. Bella descendit quelques instants après, elle abordait une tunique bleu turquoise avec un legging gris, comme tous les jours mais ses cheveux n’étaient pas attacher

garçon lumineux, intelligent et doux, en dépit de son look radical. Très vite, Damien devient Dam, adopte piercings et vêtements noirs et, surtout, trouve auprès de Samy un véritable ami, et peut-être plus, au point de déclencher des représailles chez son père, contre ces « mauvaises fréquentations ». Au fur et à mesure des pages, le lecteur découvre la profondeur de la souffrance de Dam : depuis longtemps, il a pris l’habitude de se scarifier les cuisses, incapable qu’il est d’exprimer sa souffrance