Je vous salue Marie

stage m’a permis de « passer de l’autre côté du miroir » comme on dit… J’en profite donc pour remercier tout spécialement le personnel soignant qui était là durant mon séjour. Enfin, je tiens à remercier mes professeurs de l’Ordre de Malte de Toulon, Marie Chantal et Vincent pour leurs conseils avisés durant la formation et d’une façon plus générale pour leur enthousiasme vis-à-vis du métier d’ambulancier qu’ils ont su me transmettre tout au long de cette formation. Page 3 sur 20 HISTORIQUE F

présidentielles de 2002, offrira une énorme surprise. Le 21 avril, c'est la stupeur : Lionel Jospin est battu dès le premier tour. Jacques Chirac, arrivé en tête avec 19,88 % des suffrages (le plus faible score pour un président sortant) se voit opposé à Jean-Marie Le Pen (16,86 %). Assuré de l'emporter, il décide de refuser de débattre avec son adversaire, déclarant que « face à l'intolérance et à la haine, il n'y a pas de transaction possible, pas de compromission possible, pas de débat possible ». Il laisse

Biodiversité, Eau et Paysages Correspondante Ecophyto en DREAL ARS DDCSPP 2A DDCSPP 2B FREDON – Président FREDON – Directeur FREDON –Animatrice ZNA Joseph COLOMBANI Jean-Jacques FIESCHI Jean-Marc VENTURI Marie-Noëlle CULIOLI Isabelle MILLELIRI Jean-Philippe MICAELLI Daniel PAPINI Rita OUAIRI Marie-Vincente RISTORI CRA – Président CRA – Elu CDA 2B – Elu CDA 2A - Elue CRA – Animatrice interfilière axe 5 CRA – Animateur Ecophyto CDA2A – Chef du service agro-environnement CDA2A – Chargée de mission environnement

Terrible humiliation. CB est un poète marginal, solitaire, endetté, et peu solidaire avec les mouvements sociaux et politiques. Écriture salvatrice. 3 femmes occupent le cœur et l’œuvre de CB : - Jeanne Duval, infidèle (charnelle/séductrice) - Marie d’Aubin (modèle de la femme enfant) - Apollonie Sabbatin, qu’il adore en secret. Il lui adresse des poèmes anonymes. Pour Baudelaire l’expérience du réel ne répond pas à l’attente de l’idéal. Condamné, obligé à supprimer 6 poèmes per offense à l’ordre

grand-père qui l’a éduqué vu que son père était décédé un an après sa naissance. Charles Schweitzer : C’est le grand-père de Jean Paul, un allemand célèbre, très cultivé, dominant et entêté. Il ime son petit fils et est un très bon grand père. Anne-Marie Schweitzer : C’est la mère de Jean Paul, elle l’aime énormément et c’est elle qui a en quelque sorte éveillé la passion de son fils pour la lecture à l’âge de quatre ans. Elle est très fière de son fils et croit que c’est un enfant prodige.

Des plantes, partout. LAURENT L’aube vous salue, vous caresse. Les traits lumineux du jour trouent les nuées pour vous faire grandir, graminées, astéracées. Le soleil sur tes tiges te réchauffe, chardon-marie ? Tu grandis mieux encore qu’un enfant au berceau, tes vertus murissant dans le calme de l’aurore. Bon matin à vous, millepertuis, valériane, artichaut et calendula

destinaire. En se présentant, il faut plutôt utilser son nom que prénom. Quand on obtient la carte, il ne faut pas cacher les inscriptions avec les doigts. Le destinaire lit la carte, remercie en disant ‘choudai-itashimasu’ ou ‘choudaishimasu’ et il salue en s’inclinant. Il n’est pas poli d’échanger des cartes avant la prèmiere salutation. Enfin, on place la carte dans un boîtier de cuir. Si le destinaire plie la carte, écrit sur la carte ou la cache dans sa poche, c’est une grande insulte pour la personne

bleus et d'un chapeau gris Orné d'une seule petite plume défrisée Je vous aime Disait-il Comme le pigeon aime la colombe Comme l'insecte nocturne Aime la lumière Trop tard Répondait la vivante Repoussez repoussez cet amour défendu Je suis mariée Voyez l'anneau qui brille Mes mains tremblent Je pleure et je voudrais mourir Les barques étaient arrivées A un endroit où les chevau-légers Savaient qu'un écho répondait de la rive On ne se lassait point de l'interroger Il y eut des questions

ans, brave, mais emporté et violent. Il n’était point marié. La beauté de Manon l’avait touché dès le jour de notre arrivée ; et les occasions sans nombre qu’il avait eues de la voir, pendant neuf ou dix mois, avaient tellement enflammé sa passion, qu’il se consumait en secret pour elle. (…) Une heure après, je vis entrer l’aumônier chez moi. Je m’imaginai qu’il venait me donner quelques instructions sur mon mariage ; niais, après m’avoir salué froidement, il me déclara, en deux mots, que M. le Gouverneur

(poèmes et romans) qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il est né à Paris, le 3 octobre 1897. Il était un enfant naturel. Sa mère, Marguerite Toucas, avait vingt-quatre ans ; son père, Louis Andrieux, en avait cinquante-sept, était marié et poursuivait une carrière de préfet de police et de député. Aussi ne reconnut-il pas l’enfant, mais devint son tuteur et lui choisit son prénom, Louis, le même que le sien, et son nom, Aragon, en souvenir de l’Espagne où il avait été ambassadeur