Jean Anouilh Marivaux Sartre

France En France, la tragédie se développe au XVII e siècle, décline au XVIII e siècle, disparaît au XIX e siècle pour réapparaître sous des formes hybrides au XX e siècle. La tragédie classique est dominée par deux auteurs, Pierre Corneille et Jean Racine. Corneille appuie davantage sur la grandeur de l’homme et son honneur, alors que Racine montre l’homme (ou la femme) ravagé par ses passions destructrices, victime impuissante de la fatalité, placée devant des dilemmes impossibles à résoudre

Ottoman en raison de la présence d’ambassadeurs ottomans à l’époque à la Cour de France. | Andromaque, Jean Racine, 1667.Tragédie classique. | Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie. Chantage de Pyrrhus avec Astyanax le fils d’Andromaque | Le Jeu de l’amour et du hasard, Marivaux, 1730. Comédie classique. | Silvia doit épouser Dorante qu’elle ne connaît pas. Elle se travestit avec sa

la formule, d’autres villes suivront. -Les représentations en plein air =>abandon des traditionnelles scènes à l’Italienne. La voie est ouverte au « théâtre dans la rue » .  La relance du théâtre national populaire -1951 à 1953=> directeur : Jean Vilar -Subventionné par l’état -modifie les routines de représentation, facilité de location, prix modiques, systèmes d’abonnement, bulletin de liaison aux adhérents, horaires conçues pour attirer les travailleurs, accueil public. - mise en scène

Convaincre, persuader, délibérer. Le sujet comprend : Texte A : Marivaux, L’île des esclaves (1725), scène 1 et scène 2 (extrait) Texte B : Jean Anouilh, Antigone (1944), extrait Texte C : Jean-Paul Sartre, Les Mains sales (1947), 6ème tableau, scène 2 (extrait) Texte D : Bernard-Marie Koltès, Le Retour au désert (1988), extrait Le candidat s'assurera qu'il est en possession du sujet correspondant à sa série. Texte B – Jean Anouilh (1910-1987), Antigone (1944) [Œdipe a eu deux fils, Etéocle

(1635) | France, (baroque, classicisme) | Pierre Corneille (1606-1684) | Le Cid (1637) | France (classicisme) | Molière (1622-1673) | Dom Juan (1665) | France (classicisme) | Racine (1639-1699) | Phèdre (1677) | France (proche des Lumières) | Marivaux (1688-1763) | Le Jeu de l’amour et du hasard (1730) | France (proche des Lumières) | Beaumarchais (1732-1799) | Le Mariage de Figaro (1784) | France (sursaut du romantisme) | Victor Hugo (1802-1885) | Hernani (1830) | France (romantisme) |

sur le site des Classiques Bordas.  Réflexions sur le mythe d’Antigone (Ac Versailles) http://www.lettres.ac-versailles.fr/article.php3?id_article=639 Un document de Philippe TOUCHET, professeur de philosophie au lycée Jean-Jacques Rousseau, Sarcelles.  Antigone, Anouilh http://www.chez.com/bacfrancais/antigone.htm Le plan détaillé de la lecture analytique du prologue.  Bérénice, Racine http://www.universdeslettres.com/ens_liste_pdf.php?oeu_id=17 Dossier pédagogique à consulter en ligne

théâtre : texte et représentation Le sujet comprend : Texte A - Jean Rotrou, Le véritable Saint Genest (1647), Acte II, scène 4 Texte B - Molière, L’Impromptu de Versailles (1682), Acte I, scène 1 (fin) Texte C - Jean Anouilh, La Répétition ou L’Amour puni (1950), Acte II (extrait) Texte D - Jean-Paul Sartre, Kean (1954), acte IV, cinquième tableau, scène 2 (fin), adaptation de la pièce d’Alexandre Dumas TEXTE A – Jean Rotrou, Le véritable Saint Genest Genest est un acteur païen. Il

: le théâtre, texte et représentation. Textes : Texte A - Jean ROTROU, Le véritable Saint Genest (1647), acte II, scène 4. Texte B - MOLIERE, L'Impromptu de Versailles (1662), acte I scène 1 (fin) . Texte C - Jean ANOUILH, La Répétition ou l'Amour puni (1950), Acte I (extrait). Texte D - Jean-Paul SARTRE, Kean (1954), acte IV, cinquième tableau, scène 2 (fin), adaptation de la pièce d'Alexandre Dumas. TEXTE A - Jean Rotrou, Le véritable Saint Genest. [Genest est un acteur païen

en plus. Enfin en 1630, le théâtre est reconnu comme un art officiel par Richelieu. Les « unités », reconnues au XVIIe comme essentielles pour la vraisemblance, apparaissent peu à peu comme des carcans et les auteurs cherchent à s’en défaire. Chez Marivaux, les personnages ne sont plus des types comiques ou des héros tragiques, mais des individus aux prises avec un questionnement sur leur identité. Ainsi, dans plusieurs comédies, les personnages cachent leur identité à leurs promis(e), en prenant le

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