Jean Bodin Famille Et Etat

banquiers (Say). * la pratique : - avantages : des institutions, une prise avec le réel, des visions personnelles - inconvénients : pas d’autonomie par rapport aux politiques. On obtient cette autonomisation au 19éme : siècle des lumières. (Un état ne se confond pas avec le prince). La richesse d’une nation = celle de ses membres. PARTIE II : le 18ème siècle et la naissance, utilitaristes et socialistes Quel type de connaissance scientifique faut il quand on s’intéresse à la richesse d’une

Moyen-Age (VIIe siècle-XVe siècle): invasion de l'empire romain. Période de décadence, pas d'Etat fort. A partir XIIe siècle il y a une période de paix donc une renaissance économique. -Ancien Régime (XVIe siècle - XVIIIe siècle): constitution d’un Etat fort. Régime politique = monarchie absolue (pas de contre-pouvoir s’opposant au roi). Première partie : les institutions de l’antiquité (antiquité grecque) Chapitre 1 : La civilisation grecque Aperçu historique : de la royauté à l’aristocratie

: exercice de pouvoir illégalement - tempérée : pouvoir partagé entre différentes institutions En Mésopotamie, la monarchie est absolue. 1ère trace de peuplement en 10 000 avant JC, regroupement en cités au 6ème millénaire. Il y a 4 grandes familles : assyriens, acadiens, sumérien, et babyloniens. Succession de dynastie jusqu’à la dynastie babylonienne avec Hammourabi au 16ème siècle avant JC. Il mène cette dynastie à son apogée et unifie la Mésopotamie. Il a laissé le 1er code entier. Déclin

insectes…), nous montre qu’il existe des règles. Donc à l’inverse du droit divin, le droit naturel existe dans l’organisation dans certaines sociétés animales. Les grands théoriciens des droits naturels : Aristote, Saint Thomas d’Aquin, Jean Bodin, Grotius, Pufendorf, Locke, Kant, Quesnay. Le droit divin est une limite aux abus de pouvoirs. Le droit naturel est un frein à la puissance des tirans. Dans le droit positif (droit d’aujourd’hui), les droits naturels sont reconnus,

Comparé H: Historique A: Annonce du plan I: Intérêt du sujet (théorique, pratique) T: Théorie Commentaire: QQOCP Q: Qui? (auteur) Q: Quand? O: Où. C: Comment? P: Plan Bibliographie: Marie-Anne COHENDET: Ed. Montchrestien Olivier DUHAMEL: Ed. Seuil Jean GICQUEL: Ed. Montchrestien Introduction générale Mardi 3 Octobre 2006 La constitution peut être définie comme étant l’ensemble des règles considérées comme étant fondamentales dans l’Etat relatives aux normes de production de norme et généralement

loi, et tout ce qui est légal n’est pas forcément moral » et c’est là que peut intervenir la réflexion éthique. L’apparition de l’éthique Les faits tels qu’ils apparaissent aujourd’hui appellent donc le droit. Ils ont auparavant suscité l’éthique. Jean Bernard, président du conseil national d’éthique la défini ainsi « Deux origines étymologiques pour le mot éthique. Le terme ithos signifie « la tenue de l’âme », le style au sens de ce mot dans la France classique, « le style c’est l’homme ». Le terme

siècle, les empereurs seront toujours élus. Le principe d’hérédité est mort. Cela va plus loin, politiquement, les empereurs sont aussi très faibles en Allemagne car ils sont dépendants des féodaux qui les a élus. L’Allemagne ne formera pas un véritable état jusqu’à la fin du 19ème comme la France par exemple. En Italie, on a une série de petits états. Certains sont pontificaux (détenus par le Pape), d’autres sont germaniques, … Les empereurs germaniques pour lutter contre la féodalité vont essayer de

jamais ou que très rarement. Le système mérovingien transforme la société occidentale en mosaïque. Le royaume perd de son efficacité. Le pouvoir perd de son efficacité. Une personne devient plus importante : le maire du palais, fonction dont une famille franque s’empare au milieu du VIIème siècle, les pipinide. A cette tendance s’ajoute une certaine incapacité des mérovingiens à organiser et maitriser l’espace du regnum francorum. On retrouve un roi fort parmi les mérovingiens au début du 7ème siècle :

d’un bien à échanger contre un autre. Pour lui, « c'est du travail d'autrui qu'il lui faut attendre la plus grande partie de toutes ces jouissances ; ainsi, il sera riche ou pauvre, selon la quantité de travail qu'il pourra commander ou qu'il sera en état d'acheter. (...) Le travail est donc la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise2. » La valeur du travail est invariante : « Des quantités égales de travail doivent être, dans tous les temps et dans tous les lieux, d'une valeur

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 3.4.
Thomas
Malthus
(1766‐1834)
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 3.4.1.
Jean
Baptiste
Say
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 a.
Loi
des
débouchées
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