Jean Bodin Famille Et Etat

qui identifient pouvoir et souveraineté partagent une conception commune de la nature du pouvoir. On inscrira dans cette tradition aussi bien l'inventeur de la notion moderne de souveraineté, Jean Bodin (auteur des Six Livres de la République, 1576), que les théoriciens contractualistes, de Thomas Hobbes à Jean-Jacques Rousseau. On y inscrira également, pour l'époque contemporaine, Max Weber dont la célèbre définition de l'État (« L'État est cette communauté humaine qui, à l'intérieur d'un territoire

se constitue progressivement en formalisant et en unifiant les « usages et bonnes pratiques » de la théorie mercantile. Par la suite, les formulations deviennent plus élaborées et plus volontaristes, comme celle promue et systématisée en France par Jean-Baptiste Colbert (le colbertisme). Au cours de cette période une littérature diversifiée se répand dans la plupart des nations européennes en s'adaptant aux spécificités nationales : Le bullionisme - influent en Espagne - préconise l'accumulation

Ces assemblées vont concourir à la formation d'une idéologie royale. B- les institutions Le point de départ des transformations résident dans l'accroissement du domaine royal. Les territoires recouvrés par le roi vont être cèdes au cadet de la famille pour vivre de leur terre royale des apanages. Au niveau local, l'administration change de visage les prévôts (agents locaux qui administraient ses terres qui percevaient les revenus des terres royales qui s'occupaient au nom du roi de la justice)

Séance 4 : la transformation moderne de la politique Introduction : continuité de la politique et de l’histoire et non succession de rupture et de tranche. Machiavel et BODIN inconscient de ce qui se développe. La modernité : jusqu’ici on a étudié le monde ancien de l’occident. Le monde ancien c’est globalement un monde dans lequel l’individu, l’homme, est soumis à un ordre qui le dépasse. C’est techniquement l’hétéronomie. La loi est déterminante et extérieure à l’homme (cosmos, loi de nature

la République de Florence. Machiavel, qui exerçait différentes missions diplomatiques est destitué de sa charge et exilé. Cette carrière politique manquée lui fournit matière à réflexion. Il est de plus en plus convaincu que l'Italie doit devenir un État puissant et unifié, et se dit, très opportunément, convaincu que Julien de Médicis est l'homme de la situation. Suite à la mort de ce dernier, le Prince est finalement dédié à Laurent de Médicis. Le Prince est l'outil que Machiavel souhaite utiliser

chrétienne qui est la religion du roi. La religion chrétienne est la base de la société de l’ancien régime, c’est une société d’ordre = tripartition : Le clergé : ceux qui prient = oratores La noblesse : ceux qui combattent = bellatores Le tiers- état : ceux qui travaillent = laboratores Inégalité entre les sujets = réalité juridique. Pour la France la dynastie mérovingienne (règne de Clovis) prend la suite de l’empire romain. Utilise héritage politique + juridique Romain. Utilise la religion chrétienne

(PERICLES) Mais il ne faut pas l’idéaliser (il y avait de la corruption et de la violence), et seuls participent les citoyens (exclus les femmes, les étrangers, les esclaves qui n’ont aucun droit civique). De plus, inégalité entre les citoyens (grandes familles qui contrôlent la cité) Cette insuffisance donne naissance aux grandes réflexions sur la politique au 5ème siècle. II LA PHILOSOPHIE : SCIENCE DU GOUVERNEMENT POLITIQUE A) Des sophistes à Socrate : la naissance de la philosophie politique

sciences morales et politiques, communications de l’année 2000, Paris, PUF, 2001. FOUGEROUSSE Jean (dir.), L’État régional, une nouvelle forme d’État ? Un exemple de recomposition territoriale en Europe et en France, actes du colloque d’Angers, 23 et 24 mai 2007, Bruxelles, Bruylant, 2008. HEUSCHLING Luc, Rechtsstaat, Rule of law, Etat de droit. Etude comparative, Paris, Dalloz, 2002. LECLERCQ Claude, « La France, État fédéral ? », in Mélanges Patrice Gélard. Droit constitutionnel, Paris, Montchrestien,

matière. La première partie portera sur l’Etat, la deuxième partie sur le pouvoir et la dernière partie sur la démocratie. PARTIE 1 : L’ETAT L’Etat est l’élément de base de notre matière. Chapitre 1er : La notion d’Etat Quel est le sens du mot Etat ? Il n’y a pas d’essence objective de l’Etat. L’Etat n’existe pas dans la nature. Quels sont les définitions qu’on a voulu en donner et quelle est la plus pertinente ? L’Etat serait une communauté nationale comportant certains caractères politiques

matière. (Semestre1) Thème 2 : Etude de la VÈme République. Le Droit constitutionnel actuel. (Semestre2) PARTIE 1 : L’ETAT L’état est l’élément de base du Droit constitutionnel. CHAPITRE 1 :NOTION D’ETAT 1er définition : Quel est le sens du mot Etat ? le mot Etat n’as pas de sens, on vas lui en conférer un. il n’existe pas d’essence objective de l’état. l’état n’existe pas dans la nature. Quelles sont les définitions? est quelle est la définition la plus pertinente juridiquement et politiquement parlant