Jean-Claude Casanova

revues, il prend pour pseudonyme Apollinaire. Il rencontre en 1907 Marie Laurencin Artiste peintre avec qui il entretient une relation chaotique et orageuse. A cette même époque, il commence à vivre de sa plume, il se lie d'amitié avec Pablo Picasso, Jean Metzinger, Paul Gordeaux, André Derain, Edmon-Marie Poullain, Maurice de Valminck et le Douanier Rousseau. Il se fait un nom de poète et de journaliste, de conférencier et de critique d'art. En 1911, il est accusé de complicité de vol du tableau « La

sociales 16. ↑ Marc Montoussé (1999), Théories économiques, Paris, Bréal, p.242 Annexes[modifier] Bibliographie[modifier] ▪ Joseph Alois Schumpeter, Histoire de l’analyse économique, Traduit de l'anglais sous la direction de Jean-Claude Casanova, préface de Raymond Barre, trois tomes, Gallimard, 1983, collection Tel 2004 (1600 p. au total, une véritable mine, un monument d’érudition et d’intelligence de la connaissance économique). ▪ Maurice Baslé, Histoire des pensées économiques

puissant, sa couleur d'éventail qui plaisait aux dames de la cour, fut chargé d'une quantité de travaux, et dont les oeuvres se trouvent dans la plupart des grands hôtels de l'époque. Que d'autres artistes il faudrait mentionner à la suite de celui-ci : Jean-Baptiste et Carle Vanloo, que les contemporains présentaient comme l'égal de Titien, puis Lagrenée et Doyen, Vien, qui se mit à la tête du mouvement que devait précipiter son élève Louis David, etc. La peinture des fêtes galantes, celle où revit le

Le film « C.R.A.Z.Y », écrit et réalisé par Jean-Marc Vallée, raconte une histoire d’un jeune homme homosexuel qui grandit dans une société homophobe dans les années soixante. Ces années représentent ceux de la Révolution Tranquille où le gouvernement de province a repris des secteurs auparavant gouvernés par l'Église catholique. Cependant, la religion était toujours dominante dans la famille comme on peut la voir dans celle de ce jeune homme. Un trait commun de l'Église est la dominance des hommes

imagé, les professeurs M. Cozian, A. Viandier et F. Deboissy définissent ainsi la personnalité morale : « La personne morale n’est pas une personne ; ni souffrante ; ni aimante, sans chair et sans os, la personne morale est un être artificiel. Et Casanova le savait bien, qui poursuivit nonnes et nonnettes, mais ne tenta jamais de séduire une congrégation ; on n’a jamais troussé une personne morale »[1]. Cette définition peu banale permet de poser le problème : la personnalité morale est-elle une

XIXe siècle pour ses drapés de soie a toujours son Palais à Venise. • Le célèbre peintre français impressionniste Claude Monet (XIXe-XXe siècle) y séjourna avant de se rendre à Giverny définitivement. • Le peintre Zoran Music a vécu à Venise de 1947 jusqu'à sa mort en 2005. Sa veuve, Ida Barbarigo-Music, peintre elle-même y habite toujours. • Le peintre et décorateur (auprès de Jean Vilar et du TNP) Leon Gischia a vécu à Venise, près de l'Accademia de 1962 jusqu'à sa mort en 1991. Artistes et

la peste / qui semble un cauchemar attardé de Goya…») et où arrivent les nouvelles des camps de la mort : «Auschwitz Auschwitz ô syllabes sanglantes.» Il évoque les femmes patriotes déportées à Auschwitz : Maïe (Politzer), Danièle (Casanova), qui y moururent, Marie-Claude (Vaillant-Couturier), qui en revint, et c'est à elles que s'adresse le vers qui ouvre le finale du poème : «Je vous salue Maries de France aux cent visages.» Dans la septième et dernière partie du poème, il entrevoit l’horizon de

fruits dans le verger du paysan qui l'avait accueillie. Sylemma Andrieu /, 1979, Cote : C 088 Kalibo dans la cuisine. Martin, Claude / Buis, Christian / Tout est calme dans la cuisine quand arrive Kalibo, le génie qui fait vivre les objets qui s'ennuient. Sylemma Andrieu /, , Cote : C 257 La bonne confiture de Madame Ecureuil. François, Henriette / Gautier, Jean dit / Maman écureuil fait de la confiture pour ses enfants gourmands. DEVA /, , Cote : C 066 La cuisine et l'enfant. Lambert

Saint-simonienne écrit uniquement par des femmes. 1848 : Création de clubs féministes, rapidement interdits. Publication de nombreux journaux féministes : la Voix des femmes d’Eugénie Niboyet, l’Opinion des femmes de Jeanne Deroin, la Politique des femmes de Désirée Veret. 1849 : Jeanne Deroin tente de se présenter aux élections législatives. 1868 : Marie Goegg-Pouchoulin lance un appel pour fonder une association internationale des femmes. 1870 : Création de l’association pour le droit des

américaine, alertant les Européens sur la tendance américaine à édifier une « République impériale » et hégémonique (4). Toutefois, dans un contexte intellectuel très clivé opposant libéraux (dont Aron fait partie) et socialistes (soutenus entre autres par Jean-Paul Sartre, son condisciple à Normale Sup), Aron réserve la plupart de ses flèches aux Soviétiques, coupables à ses yeux de priver les citoyens de liberté au nom de l’idéal d’égalité. Or, pour Aron, rien ne justifie d’ôter aux hommes leur liberté