Jean-Claude Gayssot

Vichy est une parenthèse dans l’histoire de la République + la France a combattu avec les alliés et la résistance et contribuée à la libération du pays. ~> + lieu de mémoire : Mont Valérien 1960 pour les otages fusillés + transfert des cendres de Jean-Moulin (résistant) au Panthéon en 1964. ~> Mémoire communiste: Contre mémoire Gaulliste (PCF=parti communiste Français) s’autoproclame « parti des 75000 fusillés » = chiffre faux + valorise des héros communistes résistants. Le PCF veux faire oublier

1er dimanche d'avril 2.Résistance mise en avant et glorifiée Guy Moquet : R communiste assassiné à 17ans (p qui a marqué l'histoire par ses lettres) _ mémoire GAULLISTE / mémoire COMMUNISTE : 2 mémoires exatées, autres groupes peu mis en valeur 64 : Jean Moulin rentre au panthéon, discours André Malraux très célèbre → acte qui héroise la R _ Henry Rousso cite dans Le syndrome de Vichy (87) cette période en disant qu'elle a vécu dans le mythe résistancialiste (on laisse entendre que toute la France

excuts) et en 1959 en fait un mmorial. Un mmorial cest un monument qui sert commmorer un vnement ou des personnes disparues. Il renomme la station Gabriel Pri. Comme les unificateurs, les gaullistes prnent lunion. Cette rsistance est incarne par Jean Moulin car il a unifi les mouvements de rsistance pendant la guerre et a travaill avec De Gaulle. C - Le tournant des annes 70 le basculement des reprsentation de la priode de la guerre Anne 70 marque un tournant dans la vision de la seconde

l'université Paris-I, où il enseigne jusqu'en 1994, date à laquelle il devient professeur émérite[4]. Parallèlement à sa carrière universitaire, il fonde en 1965 avec Jean-Denis Bredin le cabinet d'avocats Badinter, Bredin et partenaires[9], où il exerce jusqu'à son entrée dans le gouvernement en 1981. Il participe à la défense du baron Édouard-Jean Empain après l'enlèvement de celui-ci et exerce autant comme avocat d'affaires (Boussac, talc Morhange, Empain, l'Aga Khan, etc.) que dans le secteur du droit

leur mémoire. Stations métro parisien rebaptisées pour rappeler le souvenir de Jacques Bonsergent, Guy Moquet, Gabriel Péri. . . En 1964, cendres Jean Moulin créateur du Conseil National de la Résistance sont transférées au Panthéon. Pour la droite, Jean Moulin est l’homme courageux qui est mort sous la torture. La gauche salue l’un des siens car Jean Moulin avait soutenu le gouvernement de Front Populaire en 1936. C) Une mémoire conflictuelle • Malgré action résistancialiste, mémoire de ces

souffrances de l’Occupation. La figure du déporté est celle du résistant. L’organisation des camps et des centres de mise à mort n’est pas connue et on néglige le caractère racial de la déportation. Le film Nuit et Brouillard (1956), d’Alain Resnais et Jean Cayrol, donne une vision unique du camp de concentration (et non du centre de mise à mort) et du déporté (un résistant). L’époque est à l’occultation de la responsabilité des autorités françaises dans la déportation. II.La mémoire juive du génocide

souffrances de l’Occupation. La figure du déporté est celle du résistant. L’organisation des camps et des centres de mise à mort n’est pas connue et on néglige le caractère racial de la déportation. • Le film Nuit et Brouillard (1956), d’Alain Resnais et Jean Cayrol, donne une vision unique du camp de concentration (et non du centre de mise à mort) et du déporté (un résistant). L’époque est à l’occultation de la responsabilité des autorités françaises dans la déportation. La mémoire juive du génocide revendique

politique du double jeu de Pétain, – La mémoire gaulliste: idée de rassemblement des français, période trouble(mai 1958), grande popularité même à gauche, donc retour du mythe de l'union de tous les français, orchestration avec la panthéonisation de jean Moulin, discours de André Malraux (ministre de la culture),héroïsation de la résistance , de toute la résistance, Vichy, seulement une parenthèse qu'il faut savoir fermer, contexte de la réconciliation franco-allemande ( Oberg et Knochen, chef SS en

de la presse qui a notamment été modifiée par la loi “Pleven” du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme. La loi française n° 90-615 du 13 juillet 1990, dite Loi Gayssot, « tend à réprimer tout raciste, antisémite ou xénophobe ». Elle a été présentée au Parlement par le député communiste Jean-Claude Gayssot. Le Haut Conseil à l'Intégration (HCI) a remis au Premier ministre un rapport intitulé « Lutter contre les discriminations » : faire respecter le principe d'égalité en octobre

également tout son soutien à l'URSS lors de la répression menée contre l'insurrection anti-soviétique en Hongrie. De nombreux intellectuels français commencent à se détacher du parti français, qu'ils en soient adhérents, ou compagnons de route comme Jean-Paul Sartre. Le PCF reste cependant solidement implanté dans la classe ouvrière et dans les nouvelles couches qu'il a su conquérir à la Libération. Siegfried dans le Figaro à propos du scrutin de 1946 « je viens toujours buter contre ce phénomène