Jean Cocteau Dissertation

Auffray a peint les piliers qui furent plus tard classés monuments historiques. Un nombre conséquent d’artistes on fréquenté ce lieu. On peut citer Jean Cocteau, Joséphine Baker, Georges Braque ou Brassaï. Louis Aragon et Elsa Triolet s’y sont rencontrés en 1928. Dans les années 1930, les habitués de cet endroit sont Picasso, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, André Malraux, Jacques Prévert, Édith Piaf parmi tant d'autres. Dans les années 1940 et 1950, on peut y croiser Ernest Hemingway, Marlène

ajouteront, dans une phase ultérieure (le cubisme synthétique), l’utilisation de morceaux de divers matériaux (sable, papier, tôle, bois, tissu, carton…)  pour ne pas tomber dans l’art abstrait. Picasso abandonne le cubisme en 1915.Sur la demande de Cocteau, Picasso crée les décors et costumes pour les Ballets russes  de Diaghilev. Il  rencontre la ballerine Olga Koklova, qu’il épousera et lui donnera un fils. L’artiste retourne un temps à l’art figuratif et réaliste quelques portraits de famille.

patients La reprise des mythes antiques. Entre les années 1920 et le début des années 1950, pour exprimer leur inquiétudes,certain auteur puisent leur inspirations dans les mythes gréco*romains qu'ils transposent dans le monde de leur époque : Cocteau dans La Machine infernale (1933) et Anouilh dans Antigone (1944) s'inspirent du mythe d’Œdipe .La reprise du mythe antiquer permet d'exprimer les interrogations profondes de l'homme dans le contexte moderne (guerre, exclusions …) et conduit à une

d'Indy à la Schola Cantorum de Paris. À partir de 1915, il fréquente Igor Stravinsky et Erik Satieavant de se joindre au groupe des Six avec Arthur Honegger, Darius Milhaud, Francis Poulenc, Louis Durey et Germaine Tailleferre. Ami de Jean Cocteau, du peintre Jean Hugo, de Valentine Hugo et de Raymond Radiguet il passe avec eux plusieurs vacances au Piquey (bassin d'Arcachon) et dactylographie le texte du "Bal du Comte d'Orgel". Ses premières mélodies s'inspirent d'Erik Satie, d'Igor Stravinski

La littérature n’a rien à voir avec la richesse du vocabulaire, sinon le plus grand des chefs-d’oeuvre serait le dictionnaire. Paul Léautaud Un chef-d’oeuvre de la littérature n’est jamais qu’un dictionnaire en désordre. Le Potomak - Jean Cocteau René Goscinny ... fait partie des talents littéraires qui, au XXè siècle, ont fait autre chose de la littérature en apportant du littéraire à cette autre chose. Dictionnaire égoïste de la littérature française (2005) - Charles Dantzig

point de rentrer chez lui. Ex : Titanic. Ironie tragique. Ironie : dire le contraire de ce que l’on pense en le faisant comprendre. Pour le faire comprendre : le ton, le sourire, l’exagération, l’incohérence. Ex : Voltaire (buste sculpté par Jean Houdon et se trouve à la comédie française) : représenté avec un sourire ironique ; Montesquieu, Sur l’esclavage des nègres « ils ont le nez si épaté qu’il est difficile de les plaindre » Dès qu’il y a ironie, il y a double sens. Œdipe lance une

Lindsay ANDERSON : Théo ANGELPOULOS : Le voyage des comédiens (1975) L’apiculteur (1986) Le regard d’Ulysse (1995) La victoire en chantant – Noirs et Blanc en couleurs (1976) La guerre du feu (1981) Le nom de la rose (1986) L’ours (1988) Jean-Jacques ANNAUD Michel Angelo ANTONIONI : Le cri (1957) L’aventura (1960) La nuit (1961) L’éclipse (1962) Le désert rouge (1964) Blow-up (1967) Profession : reporter (1975) Identification d’une femme (1982) « Presque tous les films d’Antonioni

secondaire en multipliant les bourses et en instaurant la gratuité des premières années du secondaire, en 1936 le ministère de l’Instruction est renommé ministère de l’éducation nationale. C’est aussi cette année que le ministre du front populaire Jean Zay porte l’obligation scolaire de 13 à 14 ans mais se heurte à l’opposition des chambres sur la question de l’école unique Jusqu’aux années 1930 il n’existe pas de ministère de la culture mais seulement un secrétariat aux Beaux-Arts dont le rôle

par exemple) et plus tard jusque dans les spectacles d'origines lyonnaises de Guignol. Les parades traverseront aussi les siècles puisque Beaumarchais écrira Colin et Colette au XVIIIème siècle, une parade sur le thème amoureux et que, en 1917, Jean Cocteau et Picasso, en collaboration avec le danseur et chorégraphe Diaghilev et le musicien Erik Satie, crée un ballet intitulé Parade. Les farces traditionnelles ont toujours des thèmes communs : le mari trompé ou/et ridicule maltraité par sa femme

de Robert Garnier, 1580 ; Antigone de Jean de Rotrou, 1639 ; La Thébaïde de Jean Racine, 1664, reprend le mythe des frères ennemis, mais Antigone n'y est pas l'héroïne violente et subversive de Sophocle ; Antigone de Vittorio Alfieri, 1783 ; Notes sur Antigone par Friedrich Hölderlin, 1804 ; Antigone de Philippe Duplessis, 1853 ; Antigone de Jean Cocteau, 1922 ; Antígona de Salvador Espriu, 1939 ; Antigone de Jean Anouilh, 1944 ; Antigone de Bertolt Brecht