Jean Cocteau

_______________________________________ __ La dissertation qui suit traite de l’acte trois d’une œuvre intitulée «La machine infernale» parue en 1934. Cet ouvrage est écrit par Jean Cocteau, un grand auteur français né en 1889 à Maisons-Laffitte et mort en 1963 à Milly-La-Forêt. Poète, dramaturge, cinéaste, il est un artiste polyvalent qui sait faire profiter de son art. Il s’inspire du théâtre de Sophocle afin de créer une nouvelle version d’«Œdipe roi» qui sera ici notre thème principal.

Discours Hugo, le plus grand des poètes…Hélas Bonjour à tous et à toutes, « Victor Hugo, Hélas », voici la réponse d’André Gide, écrivain français de la fin XIX et début XX siècle, lorsqu’on lui demanda qui était le plus grand poète français. Jean Cocteau, poète, dramaturge et cinéaste français, n’hésitait pas non plus à se moquer de Victor Hugo en disant : « Victor Hugo était un fou qui se prenait pour Victor Hugo ». Pourquoi Victor Hugo était-il le plus grand des poètes français ? Et pourquoi

Pendant la Première Guerre mondiale, Picasso séjourne à Rome avec Jean Cocteau, à partir du 17 février 1916. Il s'installe Via Margutta, d'où il voit la Villa Médicis. Outre de nombreux portraits dessinés, il peint L'Italienne, L'Arlequin et femme au collier. En mai, Cocteau présente Diaghilev à Picasso36. Il travaille comme décorateur pour le ballet Parade de Léonide Massine et les Ballets russes de Serge de Diaghilev, sur une musique d’Erik Satie. Il rencontre Stravinski et la danseuse Olga

photographié du xxe siècle3. Les Œuvres Complètes de Colette sont publiées en quinze volumes par la maison d'édition Le Fleuron, créée par Maurice Goudeket. En 1953, elle est élevée à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur. Elle compte Jean Cocteau parmi ses voisins. Sur ses vieux jours, celui qu'elle surnomme.son meilleur ami », c'est-à-dire Maurice Goudeket, l'aide à supporter son arthrose. Elle meurt le 3 août 1954. En dépit de sa réputation sulfureuse et du refus par l'Église catholique

Maurice Goudeket passer toute la durée de la guerre. En 1945, Colette est élue à l’unanimité à l’Académie Goncourt, dont elle devient présidente en 1949. En 1953, elle est élevée à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur. Elle compte Jean Cocteau parmi ses voisins. Sur ses vieux jours, Maurice Goudeket, son dernier mari, l’aidera à supporter son arthrose. Elle meurt le 3 août 1954. Malgré sa réputation sulfureuse et le refus par l’Église catholique d'obsèques religieuses, Colette est la

Aperçu du corrigé : Selon Jean Cocteau, la poésie "dévoile, dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement" Vous vous demanderez comment s'exerce dans "Alcools" cette fonction de dévoilement de la poésie. * Cocteau : Romancier, homme de théâtre et de cinéma, peintre, dessinateur, poète, partisan de la modernité qui a participé à toutes les recherches (surréalisme

pouvons remarquer une certaine familiarité entre les personnages, comme le montre la pièce de Jean Cocteau. Mis à part le fait que ce sont des personnages nobles, cela ne les empêche pas de se donner des surnoms ridicules tels que  « Zizi » et « Ma petite brebis », ce qui brise le mythe, la noblesse de ces personnages. En réécrivant la tragédie de Sophocle (Œdipe roi), nous pouvons nous demander si Cocteau ne voulait pas en faire une parodie, une comédie en jouant avec cet élément ainsi qu’avec l’anachronisme

Silbermann : Jean Lacretelle Vipère au poing : Hervé Bazin Billy : Albert French Le journal d’Anne Franck : Anne Franck Le petit prince : Antoine de Saint-Exupéry Le dernier jour d’un condamné : Victor Hugo Le chien de Baskerville : Conan Doyle Le passe-muraille : Marcel Aymé Le vieil homme et la mer : Ernest Hemingway L’île au trésor : Robert Louis Stevenson Les contes de Charles Perrault Le parfum : Patrick Süskind Poil de carotte : Jules Renard La machine infernale : Jean Cocteau Les

journalisme comme chroniqueur et publie quelques-uns de ses vers sous le pseudonyme de Raymond Rajky. Fréquentant le milieu de Montparnasse, il fait la connaissance, en 1918, de Jean Cocteau qui devient rapidement un ami intime. Grâce à lui, il publie ses poèmes dans les revues d’avant-garde. En 1920, Radiguet et Cocteau fondent la revue Le Coq et collaborent à l’écriture du livret Paul et Virginie dont Satie aurait dû composer la musique. Raymond écrit aussi une comédie : Les Pélicans et publie

Alice et devient son amant alors que le mari de celle-ci est parti à la guerre mais cette liaison ne dure qu’un an. Il devient journaliste et fait la connaissance de jean Cocteau qui l’introduit dans de nombreux cercles parisiens. Il publie son recueil de poèmes et en 1919 il débute l’écriture du Diable au corps. Très proche de Cocteau, il mène avec lui plusieurs projets comme l’écriture de comédies et la publication d’un journal. En 1923, le Diable au corps est enfin publié. Il lui apporte une renommée