Jean De La Bruyère De La Cour

une collaboration parfois orageuse. Il influença même des théologiens en les incitants à la tolérance, comme l’Allemand Nicolas de Cuse, auteur de la Docte Ignorance (1440). Le début de l’Humanisme français fut marqué par le philosophe et théologien Jean de Gerson et ses amis du collège de Navarre, fondé en 1304 sur l’emplacement de la future école Polytechnique sur la montagne Sainte-Geneviève à Paris. Comme dans le reste de l’Europe, le développement des imprimeries (celle de la Sorbonne fut installée

deux adjectifs trouvent leur exacte antithèse dans les adjectifs qui caractérisent Eugène ; toutefois, les adjectifs qui caractérisent Eugène sont opposés par la conjonction de coordination « mais » : Eugène semble fait de traits hétérogènes. La Bruyère met donc en scène deux personnages que tout oppose, jusqu’à leur cohérence interne. c. La juxtaposition par les deux-points laisse au lecteur le soin de reconstituer le lien implicite entre les propositions juxtaposées : le premier de ces signes peut

deux adjectifs trouvent leur exacte antithèse dans les adjectifs qui caractérisent Eugène ; toutefois, les adjectifs qui caractérisent Eugène sont opposés par la conjonction de coordination « mais » : Eugène semble fait de traits hétérogènes. La Bruyère met donc en scène deux personnages que tout oppose, jusqu’à leur cohérence interne. c. La juxtaposition par les deux-points laisse au lecteur le soin de reconstituer le lien implicite entre les propositions juxtaposées : le premier de ces signes peut

Microsoft Word - Explication texte 16.docxFiche du texte n°16 Source : Jean de La Bruyère, Les Caractères, Livres V à X, entre 1688 et 1696 Registre : Littérature d’idées Situation de l’extrait : Cet extrait comporte six remarques de 42 à 47 du livre VI « Des Biens de fortune » qui traite de l’importance de l’argent dans la société. Il s’agit de réflexions générales sur les riches, les pauvres, des remarques à portée générale et intemporelles. Toutes n’ont pas été écrites en même temps

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au-dessus des genêts et des bruyères, l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

« absolutisme culturel » : la vie intellectuelle est disciplinée et centralisée au service de la propagande royale. Les artistes et écrivains dépendent du roi et de son soutien financier (sous forme de pensions distribuées par Colbert). Ils sont admis à la cour à condition de célébrer la gloire royale. Le XVIIe siècle est le temps de l’art et de la littérature « classiques » : le goût de l’ordre, de la mesure, de la clarté, de la simplicité en même que le sens de la noblesse et de la grandeur. C’est l’époque

jusque chez eux, au hameau de Loisy où ils habitent la maison du garde, puis, rentrant lui-même chez son oncle à Montagny (comprendre Mortefontaine), il s'égare dans une sente qui longe la forêt d'Ermenonville, et passe la nuit dans les rochers et les bruyères. Au petit matin, il parvient à se repérer, et peut reprendre "le chemin de Loisy". À Loisy, Sylvie est éveillée, déjà à son ouvrage de dentellière. Le narrateur lui propose une promenade, le long de la Thève, jusqu'à Othys (chap. V). À Othys, chez

* Qui est Molière ? 1622 Naissance de Jean Baptiste Poquelin (pseudonyme Molière adopté en 1643). Instruction par les Jésuites du Collège de Clermont. Se passionne très tôt pour l’art de la scène. 1643 Fonde et dirige une troupe : « L’Illustre Théâtre » avec les comédiennes Madeleine et Geneviève Béjart. 1645 Faillite part en Province s’essayer au genre de la farce à la mode italienne. 1658 Retour sur Paris. 1659 Succès de sa farce Les Précieuses ridicules

Renaissance. L’École lyonnaise. Rabelais. (p.2) 2.La Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes

architecture d’ensemble trop souvent négligée, absence de liant. Enfin, le genre comique regarde encore d’assez loin la société de son temps, se bornant à mettre en scène un petit nombre de bourgeois non ridicules, de nobles campagnards, et de gens de cour, mais il n’y a là rien de bien percutant. Sur le plan dramaturgique, les choses avancent cependant grâce à Corneille et à Scarron. Le premier élabore un langage neuf, stylisé en fonction de la scène comique et propre à accuser la présence des personnages