Jean De La Fontaine Intentions

Phèdre, auteur latin de fables (14 av.-50 ap. J.-C.). Titres[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Phèdre, tragédie grecque d'Euripide. Phèdre, dialogue de Platon. Phèdre, tragédie de Sénèque. Phèdre, tragédie de Jean Racine. Phèdre, tragédie de Nicolas Pradon. Pour Phèdre, Per Olov Enquist Pour l'amour de Phèdre, Sarah Kane Musique[modifier | modifier le code] Phèdre, suite de ballet de Georges Auric Phèdre, opéra en cinq scènes de Marcel Mihalovici Cinéma

adapté aux audaces et aux ambitions moralistes de l'écrivain. II. Une forme adaptée à la transmission des idées 1. Un pied de nez à la censure La fiction, s'opposant par nature au réel, est un masque commode pour dénoncer indirectement. La Fontaine a ainsi pu fustiger les travers de la royauté en remplaçant les hommes par des animaux dans ses Fables. Personne, y compris le roi, n'était dupe, mais la dénonciation sociale prenait alors l'allure plus acceptable de constats moralistes. Au siècle

libre. Aller à : Navigation, rechercher [pic]Pour les autres membres de la famille, voir Famille Du Bellay. [pic]Ne doit pas être confondu avec le lycée Joachim-Du-Bellay à Angers Joachim Du Bellay [pic] [pic] Portrait de Joachim Du Bellay par Jean Cousin. |Données clés | |Activités |poète

idées ,des valeurs symboliques. Ces écrivains laissaient libre cours à l' imagination des lecteurs afin de deviner les intentions du récit. Dans ces textes, les personnages permettaient de faire passer un message de manière indirecte, . Le choix des auteurs était libre et certains se servaient du monde animal pour donner vie à de nombreux acteurs. Par exemple, Jean de la Fontaine fait appel à ce procédé dans ses fables, afin de critiquer la société. Ainsi, la fable « les obsèques de la lionne »

délicat et plus recommandé d’évoquer certaines réalités humaines par le biais d’animaux : c’est une règle de bienséance, c’est-à-dire conforme aux normes morales d’une société. Un souci de vraisemblance doublé d’une fonction symbolique anime donc La Fontaine dans la peinture des animaux. Certains animaux incarnent un état, un rang social : le lion représente le souverain ; l’ours, le tigre, le renard et le loup, les puissants. D’autres révèlent plutôt un trait de caractère : la pie, le bavardage ;

facile à comprendre. La tradition ésopique s’est ensuite transmise grâce au fabuliste latin Phèdre au Ier siècle, puis grâce à l’humanisme au XVIe siècle qui a donné des traductions et des imitations des fables antiques, et enfin grâce à l’œuvre de La Fontaine au XVIIe siècle qui s’est inspiré des Anciens. • Depuis l’antiquité, l’apologue a donc beaucoup évolué et recouvre aujourd’hui de nombreuses formes narratives qui possèdent toutes, à des degrés divers, les caractéristiques suivantes : → Discours

Sommaire de la séquence 7 t Séance 1 Entrer dans la lecture des Fables de La Fontaine t Séance 2  Découvrir l’origine grecque d’une fable et sa réécriture latine t Séance 3 Analyser la composition d’une fable t Séance 4 Étudier le caractère du Loup à travers des fables t Séance 5 Comprendre une réécriture moderne t Séance 6 Écrire et dire des fables t Séance 7 Je m’évalue ƒ Pour que cette plaisante écriture continue de faire rire les gens sans mesure. Ce cours est la

persuader son interlocuteur et cela peut être reproduit à l'écrit par l'auteur. Par exemple, Le Neveu de Rameau est un dialogue philosophique écrit par Diderot entre 1762 et 1773. Il s'agit d'une discussion entre moi, le narrateur, philosophe, et lui, Jean-François Rameau. Le moi est à la fois un intervenant du dialogue et le narrateur . Moi joue surtout un rôle majeur, il fait parler Rameau, le pousse à approfondir ses réflexions. Lui et Moi ont deux visions opposées de la vie et le dialogue est surtout

pas:Nulle peine n'était pour ce crime assez grande:Le dommage devait être aussi réparé.Quand on eut bien considéréL'intérêt du public, celui de la partie,Le résultat enfin de la suprême courFut de condamner la FolieA servir de guide à l'Amour. Jean de La Fontaine est né le 8 Juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables. Destiné au départ à faire une carrière religieuse, il abandonne

systématique du décalage sont aujourd’hui encore d’une efficacité remarquable et contournent facilement la censure. En ce qui concerne le théâtre, des écrivains utilisent la mythologie pour faire passer des messages aux lecteurs. C’est le cas de Jean Anouilh, qui se sert du mythe d’Antigone. Enfants d’Œdipe et de Jocaste, les deux frères d’Antigone, Etéocle et Polynice, se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, nouveau roi, décide que seul Etéocle aura droit à une sépulture décente et que