Jean De La Fontaine La Jeune Veuve

(comportant respectivement 2, 5, 16, 5 et 6 scènes)1 en prose (sauf les entrées de ballet qui sont en vers), représentée pour la première fois le 14 octobre 1670, devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. La musique est de Jean-Baptiste Lully, les ballets de Pierre Beauchamp, les décors de Carlo Vigarani et les costumes turcs du chevalier d'Arvieux. Dans cette pièce, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le comportement et le genre de vie des nobles. Ce spectacle

Bellay rencontre Pierre de Ronsard, qu’il suit au collège de Coqueret. C’est là, sous l’influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu’ils décident de former un groupe de poètes appelé la Pléiade, qui s’agrandira par la suite. Son premier recueil de L’Olive imite le style Italien de Pétrarque. Plus tard, en 1553 il quittera la France pour accompagner le cardinal Jean du Bellay un cousin de son père, à la cour pontificale à Rome. Il attendait beaucoup de ce voyage cependant il vivra une vie d’ennui

Bougrelas les trouve dans la caverne, ils se battent. Père et Mère Ubu sont sauvés par le retour de Pile et Cotice avec des renforts. Traversant la Livonie, Père et Mère Ubu s’embarquent pour la France. L’Avare Molière Molière (Jean-Baptiste Poquelin) est baptisé le 15 janvier 1622 à Paris. Fils d’un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans. Il crée l’Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes. Cette même année, il

« Les mots » de J.P. Sartre CHAPITRE 1 : Présentation des « Mots » de Jean-Paul SARTRE I°) : Biographie de Jean-Paul SARTRE (1905 – 1980) ▪ A) : Enfance et formation Jean-Paul SARTRE est né le 21 juin 1905 à Paris. Son père, officier de marine, décède un an plus tard. Sa mère Anne-Marie Schweitzer retourne vivre chez ses parents. Sartre sera un enfant gâté par son grand-père, Charles Schweitzer, professeur d’allemand. Il vivra ainsi dans le cocon familial jusqu’au remariage

Les passions sont dominées par la raison. Mais selon Molière, en dépit de la faute originelle, l’homme peut faire qqch pour son salut. Il s’agit alors de l’optimisme auquel va s’opposer, vers le milieu du siècle, une attitude morale différente. La Fontaine et Molière ne croient plus au stoïcisme. Ils ne pensent pas qu’on puisse beaucoup compter sur l’homme, ni beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme

Contrairement à Une vie, dont le rythme lent s’accordait parfaitement à la vie étriquée de Jeanne, Bel-Ami a pour cadre un monde parisien trépidant dans lequel le héros, arriviste et séducteur, veut se frayer un chemin. Changeant et inconstant dans le domaine de l’amour comme dans celui des idées, Georges Duroy se sert de son corps et des femmes pour s’élever, d’où le surnom de Bel-Ami, que Laurine, fillette de Clotilde de Marelle, l’une de ses maîtresses, lui a donné. À travers le personnage, l’auteur

de l'inverse de Guy de Maupassant; Georges Duroy devient une sorte de contraire de l'auteur, dont Maupassant se moquera tout au long de roman. L'histoire Contrairement à Une vie, dont le rythme lent s’accordait parfaitement à la vie étriquée de Jeanne, Bel-Ami a pour cadre un monde parisien trépidant dans lequel le héros, arriviste et séducteur, veut se frayer un chemin. Véritable « homme-fille », changeant et inconstant dans le domaine de l’amour comme dans celui des idées, Georges Duroy se sert

de l’illusion. « Roméo et Juliette » de Shakespeare est pour exemple une œuvre bâtie sur le motif de l’illusion. Roméo, aveuglé par son amour envers sa chère et tendre, est trompé et manipulé par l’apparence tragique de la mort de celle qui, trop jeune encore a été arrachée à la vie : Juliette, à la scène V de l’acte IV, qui n’est en fait que leurre et artifice afin d’envisager un avenir meilleur pour les deux amoureux transis. Tout comme l’intrigue amoureuse du songe d’une nuit d’été, basé sur l’erreur

Frédéric-Auguste Bartholdi (dit Auguste Bartholdi) vient d’une famille aisée. Il a vécu en Alsace (Colmar) jusqu’à ses deux ans, âge auquel il a perdu son père. Après la mort de son père, sa mère décide de partir vivre à Paris pour y éduquer ses enfants. Le jeune Bartholdi présente très tôt des dons artistiques. De 1843 à 1851 il fréquente le lycée Louis-le-Grand et l’atelier du peintre Ary Scheffer par le biais de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts. En 1852, Bartholdi s’installe dans son premier

surprise, épreuve et déguisement. Son surgissement fait théâtre et son aveu est attendu. Ici il s'agit bien, dans un microcosme social magistralement évoqué, du long combat que mène, contre elle-même et les convenances factices, Araminte, jeune et riche veuve, pour accepter l’amour de Dorante, amant désargenté. Pour tisser les fils de cet ingénieux complot du cœur et faire avancer sa comédie, Marivaux, cette fois, s’est donné un double : Dubois, valet zélé et retors à la fois ; il est l’artisan