Jean De Sponde Et Quel Bien De La Mort

------------------------------------------------- Texte n°1: "Sonnet sur la mort" (1582) de Jean de Sponde Jean de Sponde (1557-1585) Auteur de la 2° moitié du XVI° siècle, il est le fils du secrétaire calviniste de la Reine de Navarre. Il était un calviniste austère.

du destin humain et la mort De nombreuses peintures, appelées « vanités », représentent un crâne entouré d’objets symboliques (bulles, perles, fleurs fanées, instruments de mesure du temps) destinés à nous rappeler la fragilité et le caractère éphémère de la vie de l’homme. Nourrie de métaphores et de figures d’opposition la poésie est un mode d’expression privilégié de la sensibilité. Jean de Sponde en est sans doute le plus éminent représentant. L’angoisse de la mort est omniprésente et se traduit

parfum, baume pour les lèvres, 3 ou 4 stylos Des cigarettes oui mais elle a décidé d'arrêter Alors demi-paquets de dix, qu'elle achète deux par deux La sonnerie étouffée, téléphone qu'elle tarde à trouver Un appel manqué, ça l'énerve, encore raté Bien sûr, le portefeuille, enfoui comme un magot de pirate Lourd comme un parpaing, il contient les photos Ses parents, pattes d'éléphant. Un noël avec une cousine Au fond, la table en Formica, celle qu'est maintenant dans notre cuisine A la place de

sais je, et du scepticisme antique est aussi l’homme de la sensibilité baroque, qui ne se laisse pas abuser par les mirages de la puissance, et qui renouvelle les principes socratiques du connais toi toi-même. Ses principaux thèmes : Une volonté de bien faire l’homme, sans lourdeur didactique, ensuite une période stoïcienne, il évolue vers la nature ce qui le mène à accepter les faiblesses de l’homme. Ce qui l’amènera à se méfier des préjugés en matière de religion mais aussi en matière de science

pour sujet commun la mort qui est sujet grave controversé dans la société . Il contient différents support tous écrit à l'aide d'arguments et de techniques différentes employés par l'auteur. Ce corpus est composé d'un essai, d'une poésie, de pensées et d'une fable. L'essai est réalisé par Michel de Montaigne il s'intitule :  « Que philosopher, c'est apprendre à mourir. ».Ensuite il y a les pensées de Blaise Pascal. Ce corpus contient aussi une poésie écrite par Jean de la Sponde . Pour finir cet ensemble

Première Le Baroque Programme Quelques aspects la poésie baroque : la nature, le monde et l’homme Théophile de Viau, « Le Matin » Tristan l’Hermite, « La Mer » Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean de Sponde, « Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut, tout me tente » Malherbe, « Paraphrase du Psaume CXLV » Lectures complémentaires dans le domaine de la prose : Montaigne, « De l’inconstance de nos actions », « Du repentir » Pascal, « Disproportion

Première Le Baroque Programme Quelques aspects la poésie baroque : la nature, le monde et l’homme Théophile de Viau, « Le Matin » Tristan l’Hermite, « La Mer » Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean de Sponde, « Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut, tout me tente » Malherbe, « Paraphrase du Psaume CXLV » Lectures complémentaires dans le domaine de la prose : Montaigne, « De l’inconstance de nos actions », « Du repentir » Pascal, « Disproportion

SPONDE Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut…  Tout s’enfle contre moy, tout m’assaut, tout me tente, Et le Monde et la Chair, et l’Ange révolté, Dont l’onde, dont l’effort, dont le charme inventé Et m’abysme, Seigneur, et m’esbranle, et m’enchante. Quelle nef, quel appuy, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans estre enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Saincteté, Ton

Apollon et de ses filles Hygie et Panacée. Il est l'ancêtre mythique des Asclépiades, une dynastie de médecins exerçant à Cos et Cnide, dont Hippocrate est le plus illustre membre. Un sonnet est un genre poétique à forme fixe avec une structure bien précise. Il est popularisé en France sur le modèle des poèmes d'amour de l'italien Pétrarque, il s'impose comme le genre d'élection de la poésie à tonalité lyrique dès le XVIème siècle, qu'il soit composé de décasyllabes ou d'alexandrins. Il enchaîne

votre amour est connu et prouvé, Désormais, je serai toute à votre gré. » Le chevalier la regarda bien en face, Il la vit pâle et décolorée. « Dame, fait-il, je n’ai pas de chance Que dès l’autre année, vous n’ayez eu cette pensée. Votre beau visage qui ressemblait à la fleur de lis Me paraît avoir tellement changé de mal en pis Qu’il m’est avis que vous n’êtes plus la même à mes yeux. Vous avez pris bien tard cette décision, madame. » Quand la dame s’entendit railler1 de cette manière, Elle en eut