Jean Genet Analyse Texte

L’HISTOIRE AU FEMININ SELON ASSIA DJEBAR : À travers une lecture-analyse sémiotique de Loin de Médine Fatima Zohra Chiali Université d’Oran, Algèrie Chercheur au laboratoire LASELDI, Besançon chialifz@yahoo.fr lalaoui_fz@netcourrier.com Résumé : Il s’agira dans cet article, de voir comment l’écriture qui se traduit par un feuilleté où Histoire et fiction se mêlent puis s’affrontent finit par proposer une écriture autre, un troisième tracé discursif, capable de construire sa propre littérarité et

EXPOSE Le théâtre français au 17° siècle. Le XVII ° siècle français est le siècle du théâtre. Il est illustré par trois noms célèbres : -Pierre CORNEILLE -Jean RACINE -Jean-Baptiste POQUELIN (Molière) Corneille et Racine se sont consacrés à la Tragédie et Molière s'est voué à la Comédie. *La Tragédie. La Tragédie est soumise à des règles très strictes. Il y a trois unités : -Unité d'action : l'intérêt doit être concentré sur un seul fait ou sur une seule crise morale

APOLLINAIRE : "ZONE" (VERS 1 À 24), LECTURE ANALYTIQUETHÉRÈSE DESQUEYROUX (1927) DE FRANÇOIS MAURIAC : TEXTE INTÉGRALPROGRAMME DE L'ANNÉE 2012-2013ON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR (1834) : DESCRIPTIF DE LA SÉQUENCEON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR : LECTURE ANALYTIQUE DE LA SCÈNE D'EXPOSITIONON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR : BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE D'ALFRED DE MUSSETON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR : TEXTE INTÉGRALLE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ (1829) DE VICTOR HUGO : DESCRIPTIF DE LA SÉQUENCEMÉTHODE : LE COMMENTAIRE

Département de Français CSJ ANTOURAClasse de 1re F 1Lycée 1CORPUS POUR LE COMMENTAIRE Texte 1 : Corneille , L’Illusion comique , Acte V, scène 5, 1639. Pridamant cherche son fils Clindor, qu’il n’a pas vu depuis dix ans. Le magicien Alcandre l’amène dans une grotte d’où il peut voir la vie de Cindor se dérouler sous ses yeux. Désespéré de voir son fils mourir sous ses yeux, Pridamant veut mourir à son tour. Comment ce passage illustre-t-il

étude tourne autour de la place qu’il faut accorder au texte proprement dit. Si le théâtre sans texte s’impose comme une possibilité qui fait rêver aujourd’hui de plus en plus de créateurs, il peut difficilement faire l’objet d’une approche scolaire. L’enseignement, par la force des choses, met l’accent sur le texte. Peut-on vraiment le regretter quand le texte est écrit par Sophocle, par Corneille, par Racine, par Musset, par Claudel ? Le texte théâtral se distingue des autres textes littéraires

très courte qu’elle a écrit en 1936, extraite des Nouvelles orientales : Comment Wang-Fô fut sauvé . C’est avec ce texte, d’une richesse inversement proportionnelle à sa brièveté, que j’ai découvert Yourcenar. Au-delà de cette rencontre, cette nouvelle m’est particulièrement chère car elle constitue la plus belle, la plus élégante et la plus poétique des métalepses

mythologue, sémiologue, structuraliste..., Roland Barthes a exercé une influence majeure dans la critique littéraire des années soixante. S’il fut le principal animateur de la pensée théorique de cette période, il reste aussi, par la finesse de ses analyses et l’élégance de son style, une grande figure d’écrivain. Cette manifestation d’envergure propose en une dizaine d’étapes une biographie intellectuelle de Roland Barthes, en s’appuyant sur les grandes œuvres picturales, photographiques, théâtrales

conçu le plus souvent à l’image de notre monde (qu’il représente le monde d’hier ou celui de demain), bénéficie d’un effet de réalité qui entraîne la croyance du spectateur, son adhésion […] Dans le cadre de la narratologie littéraire, Gérard Genette emploie le terme de diégèse dans son acception première et rappelle que le domaine de la lexis (façon de dire, par opposition au logos, ce qui est dit) se partage entre imitation (mimesis) et récit (diegesis). Le théâtre est un genre mimétique

2 Le théâtre : texte et représentation de metteur en scène, comédien, voire technicien du théâtre à l’aide de documents écrits ou audiovisuels. Dans le manuel de l’élève, le chapitre 2 comporte deux séquences, consacrées l’une à la mixité des genres et des registres (la tragi-comédie, la comédie-ballet, l’évolution du drame, le mélange des registres), l’autre à l’art de la scène (à travers les composantes du spectacle théâtral, l’espace et les accessoires, la double énonciation, le procédé du

Paul Verlaine-Metz, CELTED, EA 3474 Enseigner la littérature sera peut-être un jour enseigner à fabriquer du texte dans ce qu’on pourrait appeler des ateliers d’écriture. On y écrira un texte mais en se demandant toujours quels procédés sont employés : l’enseignement sera une production conjointe de pratique et de théorie. Nous en sommes loin. J. Ricardou, 1975, cité par Jean-François Halté 1989a : 3. Il faudrait donner aux élèves la possibilité de créer des objets complets, dans une temporalité