Jean Genet Les Bonnes Préface

exceptionnelle du roman fait courir un risque majeur à l’existence du roman comme genre. La notion de genre suppose en effet l’existence d’invariants dont se nourrissent toutes les œuvres particulières inscrites dans une même catégorie générique. Gérard Genette appelle « architexte » ou « architextualité », « l’ensemble des catégories générales ou transcendantes – types de discours, modes d’énonciation, genres littéraires, etc. – dont relève chaque texte singulier ». Si l’on situe toujours le roman du côté

PROJET ARTS LITTERATURE & HOMOSEXUALITE | Sommaire PLATON page 2 à 4 ZEUS ET GANYMEDE page 5 CHARLES BAUDELAIRE page 6 à 11 GUY DE MAUPASSANT page 12 PAUL VERLAINE page 13 à 14 JEAN CANET page 15 à 16 SATRE page 17 WILLIAM SHAKESPEARE page 18 à 19 MARGUERITE YOURCENAR page 20 YAOI page 21 PLATON Platon parle de l'amour comme d'une relation entre deux hommes, ou même plus précisément entre un homme d'âge

qu’on leur pose, de s’adresser au bon destinataire ou de se défendre quand ils sont contestés. J. Herman suit la trace de cette métaphore de l’enfant trouvé ou abandonné figurant le texte écrit dans le roman du XVIIIe siècle. D’un côté, beaucoup de romans des Lumières confrontent leur lecteur à des héros dont l’origine est problématique : orphelins, enfants trouvés. De l’autre, le texte rapportant l’histoire des héros, souvent, a une origine incertaine : la préface le présente comme un manuscrit trouvé

LA NOTION DE “RECIT EXEMPLAIRE” CHEZ TZVETAN TODOROV Jean Verrier1 Le parcours critique de Tzvetan Todorov, depuis la première publication, Littérature et signification, en 1967, jusqu’à L’homme dépaysé qui vient de paraître, convient particulièrement bien au thème : “De la narratologie à l’ethnologie” (mais on pourrait dire aussi : de la Grammaire du Décaméron, 1969, à La vie commune, essai d’anthropologie générale, 1995). J’ai essayé de montrer ailleurs2 la continuité sous l’apparente rupture

l’imaginaire * Gaston Bachelard et la phénoménologie de l’image poétique * Jean-Pierre Richard et l’analyse des formes thématiques * Jean Starobinski ou l’expérience critique * perspective et enjeux de la critique 2) littérature et psychanalyse * la critique confrontée aux sciences humaines * lire avec la psychanalyse * les textes fondateurs * Charles Mauron et la méthode psychocritique * la textanalyse de Jean Bellemin-Noël ou le texte « hors l’auteur » * perspectives 3) littérature

sortir du Théâtre. À quoi il est aisé de répondre, que le Mariage n’est point un achèvement nécessaire pour la Tragédie heureuse, ni même pour la Comédie. » 9. Préface de Tyr et Sidon , pièce de Jean de Schélandre (1628), in Giovanni Dotoli, Temps de préfaces. Le Débat théâtral en France de Hardy à la Querelle du Cid, Klincksieck, 1997, page 189 : « Cette économie et disposition dont les Anciens se sont servi en

seulement trois parmi celles qui nous semblaient les plus intéressantes du point de vue du travail de réécriture ou d'adaptation de l'auteur. Nous avons donc un corps d'étude de trois ouvrages de jeunesse: deux adaptations créatrices qui sont la version de Jean-Pierre Kerloc'h[3] et la version de Gérard Moncomble[4], ainsi qu'une réécriture du conte par Anne Ikhlef[5] Ma peau d'Ane publiée à Seuil Jeunesse où l'auteur s'approprie le texte pour en proposer une version nouvelle. Nous étudierons donc les choix

c’est peut-être quand même une question de fond qui est en jeu) Jean Genet, au Xxeme siècle, s’est vu adresser le même reproche à propos de sa pièce Les Bonnes « Lors de la création de cette pièce, un critique théâtral faisait la remarque que les bonnes véritables ne parlent pas comme celles de ma pièce : qu’en savez-vous ? Je prétends le contraire, car si j’étais bonne je parlerais comme elles. Certains soirs. Car les Bonnes ne parlent ainsi que certains soirs : il faut les surprendre, soit

d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, L’Illusion comique, p. 147 – Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 145 – Pirandello, Six Personnages en quête d’auteur, p. 150 – Genet, Les Bonnes, p. 152 • Objet d’étude : les héroïnes féminines Œuvre intégrale : Musset, Les Caprices de Marianne ou On ne badine pas avec

Kobisch-Miana maquillage et coiffure création du mannequin assistantes à la mise en scène Pauline Ringeade, Catherine Umbdenstock avec Elsa Bouchain, Christophe Brault, Caroline Chaniolleau, Claude Duparfait, Philippe Girard, Anthony Jeanne, Maud Le Grévellec, Anne-Laure Tondu, Manuel Vallade, Emmanuel Vérité avec la participation d’Annie Mercier 1 du 5 septembre au 7 octobre 2012 Grand Théâtre du mercredi au samedi à 20h30, le mardi à 19h30 et le dimanche à 15h30 production