Jean Genet Rituel


On
peut
également
faire
un
rapprochement
avec
l'affaire
 Papin
 (1933,
 deux
 sœurs,
 employées
 de
 maison,
 assassinent
 leur
 patronne)
et
la
pièce
qu'en
a
tirée
Jean
Genet
(Les
Bonnes,
1947)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 I­
Présenter
le
film
aux
élèves
avant
la
projection:
 
 • Partir
du
titre:
cette
démarche
paraît
difficile.
Le
titre
fait
référence
à
un
rituel
sacrificiel.
Ce
sens
 n'est
 explicite
 qu'une
 fois
 le
 film
 vu.
 Or
 l'objectif
 est
 de
 préparer
 les
 élèves
 sans
 pour
 autant
 dévoiler
l'intrigue
et
leur
gâcher
le
plaisir
de
la
découverte

l’aboutissement de l’oeuvre — la fusion parfaite des deux clans opposés. Il s’agit notamment des structures profondes de l’action. Nous avons de même cru indispensable de joindre à l’étude des parcours actantiels, celle des modes de narration. Or, selon Genette, “les deux principaux continents de l’univers littéraires” sont la fiction et la diction. Il fallait donc se pencher sur le caractère esthétique caractérisant les écrits durassiens. Une partie à part traite de ce contraste entre la parole et le

jeunes auteurs de la même génération : Samuel BECKETT, Eugène IONESCO et Arthur ADAMOV dans les années 50. D’autres auteurs sont à rapprocher de ce trio tout en développant une esthétique personnelle : Boris Vian (farces satiriques) , Jean Genet (miite pour un théâtre rituel, cruel et source de scandale), Fernando Arrabal (fasciné par la perversion cruelle, il remet en cause la dictature espagnole avec violence), Roland Dubillard (théâtre du malentendu, de la communication embroullée) L’originalité

réaliserons le sens donné par le style au cours de la seconde partie. 4 Nicolas T. LP Mode 2010/2011 III. Développement 1. Introduction de l’ouvrage Dick Hebdige débute l’introduction de Sous-culture : le sens du Style en citant Jean Genet, écrivain, poète, et auteur dramatique français, en indiquant que les thèmes majeurs de ce dernier correspondent aux thèmes majeurs abordés et étudiés tout au long de son étude : « le statut et le sens de la révolte, l’idée de style comme forme

d’action » et de mélange de tons et d’éclairages, tour à tour comédie, fantasmagorie, bouffonnerie et tragédie : ce sont « autant de traits de structure baroque. » (Jean Rousset, La Littérature de l’âge baroque en France. Circé et le paon, Paris, Corti, 1954, p. 124.) 8. Éléments de bibliographie Outre le livre, capital, de Jean Rousset déjà cité : - Dubois, Claude-Gilbert, Le Baroque, profondeur de l’apparence, Paris, Larousse, coll. « Université », 1973. Petits Classiques Larousse -4-

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien

sans que l'auteur soit mêlé à cette analyse, au moins d'une façon directe. Parmi les précurseurs dans le domaine de la narratologie, nous trouvons Genette avec surtout son Figures III où il a essayé de fonder les principales préoccupations de la narratologie. Un souci qui est du en grande part à l'influence de la linguistique. Ainsi, avec Genette, la narratologie se veut comme discipline où le domaine de recherche est bien défini loin de toute confusion encombrante. Le récit qui représente

système de la langue; “la conversion de la langue en discours”(1970 : 12-13). Le discours, dira-t-il, est cette manifestation de l’énonciation chaque fois que quelqu’un parle. Cette définition de Benveniste semble entretenir un lien avec celle que Jean-Michel ADAM (1989) énonce de la manière suivante : “(…) un discours est un énoncé caractérisable certes par des propriétés textuelles mais surtout comme un acte de discours accompli dans une situation (participants, institutions, lieu, temps)”. 1.2

système de la langue; “la conversion de la langue en discours”(1970 : 12-13). Le discours, dira-t-il, est cette manifestation de l’énonciation chaque fois que quelqu’un parle. Cette définition de Benveniste semble entretenir un lien avec celle que Jean-Michel ADAM (1989) énonce de la manière suivante : “(…) un discours est un énoncé caractérisable certes par des propriétés textuelles mais surtout comme un acte de discours accompli dans une situation (participants, institutions, lieu, temps)”. 1.2

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