Jean Jaures Discours De 1906

républicaine : les Opportunistes dirigés par Léon Gambetta et Jules Ferry et les Radicaux dirigés par Georges Clémenceau qui souhaitent une République plus démocratique en séparant les Eglises de l’Etat et en adoptant de véritables réformes sociales. Les discours des orateurs sont lus dans tout le pays et passionne l’opinion publique. II) LA REPUBLIQUE EN DANGER. Comment la République a-t-elle survécu aux crises qui l’ont ébranlée entre 1887 et 1899 ? A) La faiblesse des Opportunistes. L’extrême

républicaine : les Opportunistes dirigés par Léon Gambetta et Jules Ferry et les Radicaux dirigés par Georges Clémenceau qui souhaitent une République plus démocratique en séparant les Eglises de l’Etat et en adoptant de véritables réformes sociales. Les discours des orateurs sont lus dans tout le pays et passionne l’opinion publique. LA REPUBLIQUE EN DANGER. A) La faiblesse des Opportunistes. L’extrême gauche leur reproche de ne pas se préoccuper des difficultés économiques et du chômage important

Discours du 4 août 1914 Commentaire Le discours parlementaire de René Viviani est daté du 4 aout 1914, c’est-à-dire au lendemain de la déclaration de guerre de l’Allemagne à la France. En 1914, en Europe, la situation est très tendue depuis des années. La soif de revanche, la course aux armements, la montée des nationalismes, les querelles qui éclatent à propos des colonies, tous ces éléments prépaparaient dès lors le terrain à l’éclatement d’un conflit. Le 28 juin 1914, l’archiduc François-Ferdinand

vaincra et instaurera la communisme : c'est-à-dire une société sans classe. 1) le système capitaliste : 2) le système communiste : 2) Jean Jaurès et le socialisme 1) Quelle forme d’action du prolétariat Jaurès condamne-t-il ? pourquoi ? 2) Que doit faire, selon Jaurès, le prolétariat ? 3) Quel moyen d’action préconise-t-il ? Pourquoi ? Selon Jaurès, le prolétariat ne doit pas faire la révolution, car toute action violente ne ferait qu’engendrer une réaction du patronat (et donc une aggravation

reconnaître dans la république. De l’autre côté, le fait d’avoir été vu encore pendant quelques années comme les masses dangereuses a conduit les ouvriers à s’exclure du jeu politique. L’affaire Dreyfus ou la tentation de la bifurcation autoritaire (1894-1906) : nationalisme xénophobie, antisémitisme et fragilité républicaine Introduction : « l’affaire » : des controverses multiples, une épreuve pour le régime C’est un moment pivot de la 3è république. On a un scandale politique et judiciaire. C’est un

sanglant". Pendant la Première Guerre mondiale, l'armée russe subit de lourdes défaites, alors que le pays est en crise. Les tensions intérieures aboutissent en février 1917 à la Révolution bolchévique, puis à l'exécution du Tsar en 1918. • Jean JAURES (1859 – 1914) : D’abord prof de philo puis maitre de conférence, il fut élu député du Tarn en 1885 et siégea au centre gauche. Battu en 1889 il fut de nouveau élu en 1893 mais cette fois comme socialiste. Son soutient fervent à Dreyfus provoqua

il est assassiné par un anarchiste italien, Caserio, qui voulait dénoncer les lois de Carnot restreignant la liberté syndicale. 6. Jean Casimir-Perier (1894-1895) Elu en juin 1894 après l'assassinat de son prédécesseur, Jean Casimir Perier n'est resté que 6 mois à la tête de l'Etat. Ne supportant pas les attaques répétées des socialistes dirigés par Jean Jaurès, il démissionne en janvier 1895. La gauche socialiste l'a notamment accusé d'être à l'origine de la condamnation d'Alfred Dreyfus.

le socialisme français n’est pas un vrai socialisme, seulement le dernier avatar du radicalisme : pas de structure social-démocrate (pas d’enracinement ouvrier, pas de lien avec les syndicats). Mais une telle définition minimise l’importance du discours de la SFIO : Pourquoi le socialisme aurait-il mis autant d’acharnement à se distinguer des radicaux et à éviter le pouvoir s’il était seulement réformiste ? Pourquoi a-t-il toujours condamné toute dérive gestionnaire ? Pourquoi a-t-il cherché

républicains défenseurs de l'armée ( qui dans l'esprit de revanche est seule capable de restaurer l'honneur de la France ). Jean Jaurès défendra aussi Dreyfus, publiant le 11 octobre, dans La Petite République, un article intitulé « Les Preuves ». Dessin de Caran d'Ache dans le Figaro du 14 février 1898 Le 7 juillet, Godefroy Cavaignac, nouveau ministre de la Guerre, dans un discours devant la Chambre mentionne un document accablant pour Dreyfus. Mais on ne tarde pas à découvrir qu'il s'agit d'un faux

dispensés à tous par la « fée électricité ». La France « d'avant l'orage » La passion nationale. • Électrique, l'atmosphère politique et sociale de la Belle Époque l'est également. Politiquement close en 1899, l'affaire Dreyfus l'est juridiquement en 1906, mais elle a provoqué une profonde redistribution, voire une fixation durable des comportements idéologiques et des doctrines au tournant du siècle : deux France se trouvent clairement face à face, et pour longtemps. À droite, l'affaire marque l'acte