Jean Jaures Discours De 1906

menace allemande en 1905) (« coup de Tanger » l'empereur Guillaume II y prononce discours sur ambitions allemandes au Maroc d'où grave crise avec France) cherche à approfondir traditions de la France (Antiquité, Christianisme, Révolution) pour préparer la génération de la Revanche ancien socialiste, internationaliste et pacifiste évolue vers patriotisme à nuance mystique; retour au catholicisme renforce admiration pour Jeanne d'Arc. Tué dès début bataille de la Marne... Charles Mauras (1868-952) ou le

1896 à juin 1898, que presque toute la droite soutient le 12 mars 1898 à l’occasion d’une interpellation sur la politique générale. C’est la République modérée qui dure de 1893 à 1898 [VIe législature]. L'affaire Dreyfus L’affaire Dreyfus, de 1894 à 1906, est une nouvelle épreuve pour la République, après le scandale de Panama qui rejaillit gravement sur certains dirigeants politiques et déclenche une vague d’antiparlementarisme et d’antisémitisme. Le capitaine Alfred Dreyfus est dégradé et condamné

L’AFFAIRE DREYFUS Il y a 100 ans, Dreyfus était réhabilité. De 1894 à 1906, l’affaire Dreyfus est l’une des crises les plus graves de la IIIe République, tant par ses répercussions politiques que par le trouble moral qu’elle a créé. C’est à l’origine une simple affaire d’espionnage, devenue politique par ricochet, sur un fond de polémique, puis rapidement antisémite, nationaliste et religieuse. Elle est considérée comme l’un des épisodes fondateurs de la politique française contemporaine et de

profit de l'Allemagne. Cette affaire entraine une indignation générale car c'est la énième trahison décelée depuis 1871 (presse). Immédiatement une contestation forte vient de Jean Jaurès de la chambre : il ne comprend pas pourquoi on a condamné Dreyfus à la perpétuité alors qu'il aurait fallu le fusiller. Dans son discours, le gouvernement avait voulu favoriser une famille d'exploitants juifs, alors que la loi permettait de fusiller ce traitre. Dreyfus est dégradé au cours de la cérémonie humiliante

parlementaires publiques supprimées L’évolution politique o Victoire de la gauche républicaine aux élections de 1879 (discours de Jules Grévy : « Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n’entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale, exprimée par ses organes constitutionnels ») o Mais en 1894 : déplacement à droite confirmé avec l’élection de Jean Casimir-Perier (orléaniste rallié) o Position de la gauche pendant l’affaire Dreyfus : la plupart des radicaux

L’ATTACHEMENT AU PARTI ET DIRIGEANTS - Rite et étiquette du culte de la personnalité pour Thorez et Staline : réunions / expositions, affiches / discours /chansons / poèmes au centre de l’activité militante pour affirmer la suprématie de ces grands cadres - Qui se poursuivent dans leurs morts, leurs funérailles, qui permettent aussi d’écrire voir réécrire leur vie pour servir les intérêts du parti

une erreur judiciaire[1],[2] sur fond d’espionnage et d'antisémitisme, dont la victime est le capitaine Alfred Dreyfus (1859-1935), français et alsacien d'origine, et juif. Cette affaire a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906. La révélation de ce scandale, dans « J'Accuse…! », un article d’Émile Zola, paru en 1898 dans L'Aurore, journal de Clemenceau , provoque une succession de crises politiques et sociales uniques en France. À son paroxysme, en 1899, elle révèle les

de genre humain. Ces hommes parmi les plus représentatifs qui participèrent à cette œuvre collective et républicaine sont notamment le Président du Conseil, celui que l'on surnomme le "père Combes", le grand républicain socialiste, élu du Tarn, Jean-Jaurès, le Rapporteur Aristide Briand ou  encore le député socialiste blanquiste Maurice Allard. Ces hommes faisaient l'Histoire et faisaient de la République, l'émancipatrice de la personne humaine. Plus d'un siècle après son entrée en application,

conservateurs. La « grande loi » de l’Assemblée majoritairement catholique est celle sur la liberté de l’enseignement supérieur en 1875… Par peur d’un mouvement d’opinion en faveur de l’instruction gratuite et obligatoire traduit par la ligue d’enseignement de Jean Macé et repris par les républicains, ainsi que de l’invasion croissante de thèses matérialistes dans les facultés, les catholiques réclament, pour l’Eglise, le droit de posséder des établissements supérieurs. Etant majoritaire à la chambre, les catholiques

juillet, le vieux leader socialiste et pacifiste Jean Jaurès est assassiné au Café du Croissant, par Raoul Levillain, membre de la " Ligue des jeunes amis de l’Alsace-Lorraine ". L'effroi que génère cet évènement va modifier la donne politique et entrainer les pacifistes dans la guerre. Le 4 août 1914, les députés socialistes votent à l'unanimité les crédits militaires. La guerre à l'Empire allemand est déclarée. Ce même jour, lors des obsèques de Jean Jaurès, le secrétaire général de la C.G.T., Léon Jouhaux