Jean Jaurès Discours

l'armistice conclue par le maréchal Pétain. À partir de juillet et d'octobre 1940, De Gaulle rejeta les lois répressives sur le statut des juifs. Il critiquait l'absence de légitimité de ces lois. http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/accueil/discours/pendant-la-guerre-1940-1946/appel-du-22-juin-1940.php Les gaullistes qui le pouvaient ont alors rejoint les territoires britanniques pour s'engager dans les Forces Françaises Libres, et combattre aux côtés des Alliés, ou alors ils ont déclenché

Jeanne D’arc (1412-1431) Sujet : Le processus d’héroïsation de Jeanne d’Arc Problématique : A quoi tient le processus d’héroïsation de jeanne d’Arc ? Plan : I) Jeanne : de la bergère à l’héroïne de guerre. a) L’appel divin : au service de la France. b) La prise d’Orléans. c) Le procès de Rouen. II) Du mythe à la démythification. a) La naissance d’une héroïne mythique. b) Un parcours controversé. c) Jeanne d’Arc, un instrument de complot. III) Une icône politique

les plus démunies au sein de la république. Dans ce contexte on revoit les crimes de la Commune de Paris. Dans ce même contexte les socialistes vont faire le jeu électoral et vont se présenter aux élections. On constate l’émergence du salariat. Jean Jaurès fonde en 1904 « L’humanité », il prône pour les ouvriers le droit de vote. « Nous n’avons pas besoin d’être des émeutiers dans un temps ou la légalité est révolutionnaires » : l’idée est que le régime parlementaire peut être un instrument de la

républicain se diffuse : à Paris, le gouvernement commande une statue de la République pour la place du Château-d'Eau. Elle est rebaptisée « place de la République ». ◦ La société est transformée. La République entre dans les têtes. ▪ Dans ses discours, Léon Gambetta evoque l'entrée en politique de nouvelles « couches sociales ». La Troisième République avant 1914 : un régime politique, un empire colonial 3/15 ▪ La moyenne bourgeoisie des villes doit être le soutien naturel de la République. Il

certains orléanistes rejoignant les légitimistes, et cinq gouvernements se succèdent de 1893 à 1896. Cette instabilité gouvernementale se double d'une instabilité présidentielle : au président Sadi Carnot, assassiné le 24 juin 1894, succède le modéré Jean Casimir-Perier qui démissionne le 15 janvier 1895 et est remplacé par Félix Faure. Suite à l'échec du gouvernement radical de Léon Bourgeois en 1896, le président nomme Jules Méline, homme du protectionnisme sous Ferry. Son gouvernement prend acte

devant la république opportuniste. Certains des partisans du général se retrouve ensuite dans les rangs du socialisme naissant où se refugie les républicains déçus par l’absence de politique sociales. Par ailleurs les éléments du programme et du discours de Boulanger sont à partir de 1889 complètement discrédités auprès de la gauche républicaine de gouvernement. Ce qui veut dire que les idées de révisions de la constitution, de renforcement du pouvoir exécutif sont absolument exclus des perspectives

la gauche qui attend des «  lendemains qui chantent  » pour les démunis. C’est avec la victoire de la gauche en 1936 que tous les espoirs sont permis. Deux documents concernent le Front populaire. Le premier est un discours radiodiffusé prononcé par Léon Blum le 5 juin 1936. Le second provient du journal satyrique de gauche le Canard enchaîné d’août 1936. Le caricaturiste évoque ici les premiers congés payés de l’été 1936. Début juin, L. Blum

se battent pour empêcher la déclaration de guerre, et ainsi préserver la paix. Membre du SFIO, Jean Jaurès passait son temps à tenir des meetings en France, Allemagne, Belgique, pour que la guerre n'ait pas lieu. Fin juillet 1914, Jaurès est assassiné par pistolet par un type nommé Vilain, qui avait été chauffé par les presses nationalistes, catholiques...qui voulaient la guerre et qui traîtaient Jaurès de traître. Après la guerre, Vilain est acquitté en 1919 alors qu'il méritait bien la peine de

française, et est le successeur des milices instituées par Louvois. C'est la loi Jourdan-Delbrel qui l'institue en 1798. -Vote par les consuls législatifs français de la loi Jourdan-Delbrel — du nom des députés qui l'ont proposée : Pierre Delbrel, Jean-Baptiste Jourdan — instituant la « conscription universelle et obligatoire » de tous les Français âgés de 20 à 25 ans, c'est-à-dire le service militaire obligatoire. Le principe de cette loi — « Tout Français est soldat et se doit à la défense de sa

la Charte. Enfin, la petite organisation libertaire Confédération nationale du Travail a réédité (comme la CGT) le compte rendu du Congrès d’Amiens qu’Emile Pouget (1860-1931) avait rédigé pour la revue Le Mouvement Socialiste. Cent ans après, le discours d’Amiens demeure pour partie une source d’inspiration et à coup sûr, un enjeu. Aucune nostalgie n’inspire le constat. Le simple retour au passé engage dans une impasse comme son e 17 - Notre histoire Repères ACO - n°78 - Juin 2007 dénigrement