Jean-Louis Fournier

1 – Présentation 1 ) L’HISTOIRE. La fondation de l'entreprise date de 1853, lorsque Louis Bonduelle-Dalle et Louis Lesaffre-Roussel fondent une distillerie de grains et de genièvre située à Marquette-lez-Lille. Ils achètent ensuite une ferme à Renescure le 17 juin 1862, qu'ils transforment en distillerie d'alcools de grains. En 1901, l'entreprise et ses sept usines sont partagées en trois entreprises familiales : Bonduelle, Lesaffre et Lemaître. C'est à partir de 1926 que l'entreprise

archives Paul DELSALLE [dir.], La recherche historique en archives : XVIe-XVIIe-XVIIIe siècles, Gap, Paris, Ophrys, 1993, 214 p. Paul DELSALLE, Lexique des archives et documents historiques : du papyrus au vidéodisque, Paris, Nathan, 127 p. FAVIER (Jean), Les archives, PUF, QSJ, 1985, 127 p. Charles SAMARAN [dir.], L’histoire et ses méthodes, Gallimard, 1986, 1771 p. réed. Gallimard, coll. « Encyclopédie de la Pléiade », 1961, réed. 1967, 1771 p. II – Blablabla P Quels apports du master ? Son

Alain Fournier [pic] Sa biographie Henri-Alban Fournier est né le 3 octobre 1886 à la Chapelle-d'Angillon, au nord du département du Cher. Fils d'instituteurs, il passe son enfance à Berry. Après cinq années passées à Marçais, près de Saint-Amand-Monrond, son père est nommé en 1891 à l'école d'Epineuil-le-Fleuriel au sud du département. Il sera son élève jusqu'en 1898, avant d'entrer en sixième, comme pensionnaire au lycée Voltaire à Paris, où il restera trois ans. En 1901, songeant à devenir

historique Le mouvement des « Lumières » commence au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715. Cette période se caractérise, d'une part, par un fort mouvement de remise en question ainsi que par l'établissement d'une plus grande tolérance et, d'autre part, par l'affaiblissement de la monarchie. La situation financière était devenue catastrophique sous les règnes du régent Philippe d'Orléans, de Louis XV et de Louis XVI et suscitèrent la haine du peuple envers la monarchie. Parallèlement, la bourgeoisie

« damnée » de la publication ou dans les bibliothèques. Leurs idéologies politiques les a fait bannir, et les a mis à la marge de la littérature, pour ne pas dire les a effacer. Ceux avec un certain tempérament et caractère se sont bien imposés, comme Louis Ferdinand Céline et son style « ordurier », anti-bourgeois, et le parler franc-à l’époque secrétaire de Brasillach dans l’hebdomadaire « je suis partout »-, ceux qui n’ont pas pu résister à la critique, se sont trouvés dans les cimetières ! « Les

Charles Le Brun passe au service du roi soleil : dès 1660, il se charge du décor de l’entrée royale de Louis XIV à Paris. La même année, il concourt à la création de la Manufacture des Gobelins et en devient le directeur. La cour lui commande les œuvres les plus variées : scènes équestres, vastes fresques, décorations de jardins, cartons de tapisseries, meubles et objets décoratifs. Anobli par Louis XIV en 1662, il est alors Premier peintre du Roi et reçoit une pension de 12 000 livres. En 1663, il

véritables chefs-d'oeuvre. JEAN DE LA FONTAINE Issu d'une famille relativement bourgeoise, Jean de La Fontaine passe toute son enfance et son adolescence en Champagne. Après avoir suivi, sans vraiment s'y intéresser, des études de théologie et de droit, il hérite de la charge de maître des Eaux et Forêts de son père. Il s'installe ensuite à Paris, où il fait la connaissance de Nicolas Fouquet - alors surintendant des Finances de Louis XIV - qui le prend sous sa protection et

Monsieur Jean-Louis Mucchielli Déterminants de la délocalisation et firmes multinationales. Analyse synthétique et application aux firmes japonaises en Europe In: Revue économique. Volume 43, n°4, 1992. pp. 647-660. Abstract Location determinants and multinational firms. A synthetic approach and application to japanese firms in europe In the synthetic approach logic, when a firm has a discordance between its own competitive advantage and the comparative advantages of its home country, by locating

est ainsi devenue le premier marché européen et le deuxième marché mondial derrière les Etats-Unis. Et ce n'est pas fini. "L'Hexagone compte 12 millions de jardins, et selon nos études, 7 millions ont la possibilité d'en accueillir une", estime Jean-Louis Desjoyaux, le PDG du groupe éponyme, numéro 1 français du secteur. 7 millions moins 1,4 million, cela laisse plus de 5 millions de clients potentiels aux pisciniers. Or "les ménages s'équipent de plus en plus, rappelle Joëlle Pulinx, la secrétaire

seconde désertion, ils sont fouettés, on leur coupe un jarret¹, on les met à la chaîne. A la troisième fois, ils sont pendus […]. De temps en temps, on en baptise. On leur dit qu’ils sont devenus frères des blancs et qu’ils iront en paradis […]. Au Port-Louis de l’Ile-de-France², ce 25 avril 1769. PS : Je ne sais pas si le café et le sucre sont nécessaires au bonheur de l’Europe, mais je sais bien que ces deux végétaux ont fait le malheur de deux parties du monde. On a dépeuplé l’Amérique afin d’avoir une