Jean Luc Godard

INTRODUCTION Á LA PIÈCE JUSTE LA FIN DU MONDE de Jean-Luc LAGARCE Présentation de l’auteur et de son œuvre Objectifs : ➢ Faire connaissance avec l’auteur, son parcours, son œuvre ➢ Entrer dans la pièce : contextualisation, réflexion sur le titre, étude des didascalies initiales, lecture du prologue, présentation des enjeux thématiques et dramaturgiques A- Présentation biographique de Jean-Luc Lagarce (1957-1995) ➢ Auteur dramatique, metteur en scène et fondateur d’une troupe de théâtre

(1880-1941), auteur entre autres du Bazar du bonheur et traducteur, avec le philosophe Walter Benjamin, de l'oeuvre de Marcel Proust. Sa mère est l'artiste et intellectuelle juive berlinoise Hélène Grund, qui sera immortalisée en 1962 au cinéma par Jeanne Moreau dans le film de François Truffaut, Jules et Jim, tiré du roman autobiographique de son compagnon Henri-Pierre Roché. Il suivra ses études à Paris et fera son entrée en 1937 à l’Ecole Normale Supérieure. Lorsque le 2e guerre mondiale

banalité affligeante et l'on défend, voire même on réhabilite, des auteurs comme Renoir. Les revues du cinéma font de la critique un genre littéraire, sous l'impulsion des futurs nouveaux réalisateurs. Puis, à l'autre bout de la décennie, les Truffaut, Godard et autres Chabrol passent de la critique, puis du court, au long métrage... Générant ainsi ce que l'on a appelé « La Nouvelle Vague », un raz de marée, à vrai dire... Une véritable révolution. Après l'émergence de sa comédie, la Grande Bretagne se

émotions qui ne sont pas les nôtres. Bien au chaud dans le cocon rassurant de la salle de cinéma, le spectateur est plongé dans le noir, prêt à accepter tout ce qu’il va voir apparaître sur l’écran : « la fenêtre de tous les possibles » disait Jean-Luc Godard. Il peut ainsi « devenir » le héros du film, et vivre par procuration ses aventures. Par le phénomène d’identification, nous acquérons de l’expérience « virtuelle », et c’est là tout l’Art du cinéma : il fait ainsi naître dans nos cœurs des émotions

anglophones ne sont pas si ethnocentriques et ont accepté certains de nos chanteurs français comme Edith Piaf, Charles Trenet ou Charles Aznavour. Au niveau du cinéma nous ne sommes pas si en reste que cela car des films français comme ceux de Jean-Luc Godard ou encore François Truffaut avec Les quatre-cents coups ont également su traverser l’Atlantique. Ce pourquoi la France est connue mondialement reste bien évidemment sa gastronomie, et cela n’est pas près de changer. Etant le pays le plus visité

(1976), le grand timonier. Cette révolution culturelle est admirée en Occident, nottament lors des événements de Mai 1968 en France, par une jeunesse trompée, leurée. On pensait que la Chine avait enfin atteids le communisme. À ce moment là , Jean-Luc Godard tourne son célébre film la chinoise. Cela devient une folie, une hystérie, collective. Le rouge, mais le rouge du sang. Fin des années 1960: rupture totale sino-soviétique et Mao se rapproche des Etats-Unis!! Nixon est même reçu officiellement

Moi, un noir (France, 1958) de Jean Rouch Moi, un noir se pose comme un film marquant de la fin des années cinquante et du cinéma en général ; il remporte, d’ailleurs, le Prix Delluc en 1959. Poursuivant le travail de Robert Flaherty, le père du documentaire, Jean Rouch quitte ici le domaine de l’ethnologie traditionnelle et nous propose un documentaire fictionnel dans lequel il libère la parole africaine : Des personnages locaux racontent, pour la première fois, leur vie quotidienne, étouffante

autre face celui de Mamma Roma et de la Magnani comme revenante palimpsestueuse de Roma città aperta. L’espoir de l’hypothèse est que la forme de l’arrêt, dans les deux cas sans relation possible avec l’arrêt sur image – qui ne serait, si on lit bien Jean-Claude Biette, qu’incompréhension tardive des modalités du mortel au cinéma –permette de comprendre ce qui se passe entre le chu et le suspendu. Gertrud Koch (FU Berlin) Geste filmique et geste opératique dans les premiers films de Werner Schroeter

directeur artistique, et obtient le prix vocation et le prix Pierre Cardin. S'adonnant à la musique soliste, d'ensemble, de chambre, d'orchestre et vocal, il reçoit en 2007 le grand de l'académie Charles Cross. (insert video gris noir ou image ?) -Jean Nouvel et Jerome Combier collaborent pour la première fois en 2006 pour l'installation "Noir gris" à l'occasion de l'exposition Beckett au centre Georges Pompidou. (nouvel insert trailer) - Bertrand Couderc étudie à Ecole national des arts et

la littérature fondé sur l’unique mise en image des impressions de lecture. Cette union a donné naissance à des chefs-d’œuvre filmiques comme La Chute de la maison Usher du cinéaste Jean EPSTEIN adapté en 1928 de deux nouvelles (La chute de la maison Usher et Le Portrait ovale) du conteur américain Edgar Allan POE. Jean EPSTEIN rend en effet cette histoire de maison hanté et de femme possédée par le biais d’un langage visuel original et déclare à cet effet : « Je traite tout scénario comme original